Billets avec l'étiquette ‘Web 2.0’

Feedburner : est-il fiable ?

11-03-2008 par Horacio Gonzalez
LiB geek

Suite et fin, pour l’instant, de mon feuilleton personnel avec les stats Feedburner.

Ce matin les statistiques de mon flux RSS montraient à nouveau le bon nombre de souscripteurs, les quelques 160 utilisateurs de Netvibes étaient à nouveau pris en compte.

Stats Feedburner 2008-03-11

Freetux, qui avait le même problème, me confirme par Twitter que les soucis ont aussi disparu sur son flux RSS.

La question de la fiabilité des statistiques Feedburner mérite encore une fois d’être posée. Dans mon cas c’est pas trop grave, il n’y a pas de vrais dommages (à part de pour mon ego :glurps_tb: ). Mais sachant que de plus en plus d’annonceurs prennent en compte le nombre de souscripteurs Feedburner pour choisir sur quels blogs se présenter, la question devient brulante pour les blogs qui cherchent à monétiser leur contenu. Peut-être c’est un bon sujet pour un petit billet sur Monetiweb.

Feedburner : un début de réponse

10-03-2008 par Horacio Gonzalez
LiB geek

Ce matin je vous parlais de mes soucis avec Feedburner et de comment selon leurs statistiques les 3/4 de mes souscripteurs de mon flux RSS se sont évaporés ce weekend.

J’avais posté aussi ma question sur Twitter. Encore une fois, la stratégie à marcher, car soir, grâce à Twitter j’ai trouvé un début de réponse de la main de Freetux.

Je suis donc allé comparer le détail des souscripteurs de vendredi avec celui de hier dimanche, et le résultat est sans appel, Feedburner a arrêté de prendre en compte les personnes qui utilisent Netvibes pour lire mon flux RSS.

Stats Feedburner 2008-03-07

Et oui, si on compare les statistiques ont voit que la seule différence significative sont ceux 161 utilisateurs de Netvibes qui semblent avoir disparu.

Stats Feedburner 2008-03-09

Etant moi même utilisateur de Netvibes, je suis sûr qu’au moins moi je continue à être souscris à mon flux. Cela, et le fait que je ne suis pas seul à avoir ces disparitions, prouve clairement l’hypothèse de l’erreur côté Feedburner. Maintenant il reste à savoir la cause, et quand est-ce que ça va revenir à la normale…

Et vous, êtesvous aussi affectés par ce glitch de Feedburner ?

Feedburner et ma déception de ce matin

10-03-2008 par Horacio Gonzalez
LiB geek

Un petit côté narcissiste est une condition sine qua non du blogueur, je pense que sur ça ont est tous d’accord. Dans mon cas, comme pour beaucoup de blogueurs, cela se manifeste aussi dans l’intérêt avec lequel je regarde les statistiques de mon blog.

Ce matin donc, comme tous les matins, je prenais mon café devant mon ordinateur en regardant les rapports de Google Analytics et Feedburner, et là, j’ai eu une grosse et désagréable surprise :

Stats Feedburner 2008-03-10

Selon Feedburner, ce weekend j’ai donc perdu les 3/4 des lecteurs de mon flux RSS.

Je ne vois que deux explications possibles, soit mon billet du vendredi sur l’empreinte de Gary Gygax a complètement dégoutté plus de 200 lecteurs, qui ont décidé d’effacer mon blog de leur aggregatteur, soit Feedburner se trompe dans leurs statistiques.

Etant donné que le billet sur M. Gygax n’avait pas de goatse caché, j’ai tendance à penser que le problème est du côté de Feedburner. Mais la doute est encore là…

Alors, vous que lisez ces lignes et qui êtes aussi sur Feedburner, vos stats se sont aussi effondré ce weekend ?

Rectificatif sur Emploirama

03-12-2007 par Horacio Gonzalez
LiB et les CV en ligne

Ce rectificatif n’est pas sponsorisé 😉

On me signale que dans mon billet sur Emploirama j’ai commis une erreur, car il y a bel et bien un flux RSS par recherche.

Effectivement, le lien vers le flux RSS est tout en bas de la page, après tous les résultats de recherche. Comme je n’avais pas regardé en détail toutes les offres, je n’avais pas pensé à descendre jusqu’à en bas… et je n’ai pas vu le lien vers le flux RSS.

Il est donc là :

Lien flux RSS Emploirama.fr
Lien flux RSS Emploirama.fr

Du point de vue ergonomique, ce n’est pas le meilleur choix, car il y a plein de visiteurs (comme moi dans ce cas) qui ne descendent pas jusqu’a en bas de la page et qui du coup ne voient pas le lien RSS. Mon conseil, mais ce n’est que mon avis personnel, est de mettre le lien RSS en haut, qu’on puisse le voir sans devoir faire un scroll, un peu comme Monster fait.

Emploirama, la recherche d’emploi 2.0

28-11-2007 par Horacio Gonzalez

[Billet sponsorisé, contenu librement rédigé]

LiB et les CV en ligne

Préface : Depuis quelques semaines, il y a une intense polémique dans la blogosphère sur les billets sponsorisés. Je ne vais pas y rentrer, ce n’est ni le moment ni l’endroit pour le faire. Cependant, je tiens à signaler que ce billet est bien un billet sponsorisé, mais pas un publi-reportage. Emploirama me paie effectivement pour donner mon avis sur leur service, mais ils ne me dictent pas le texte, ni me fixent la thématique du billet, ni me demandent de faire une validation avant publication. Les opinions versées sur ce billet sont donc les miennes, et mon avis sur Emploirama est donc sincère. En fait, je pense faire un mieux service à Emploirama en faisant une critique objective et en lui plaçant face à la concurrence que en rédigeant un publi-reportage qui n’apporte rien de nouveau.

Commençons par dire que dans la recherche d’emploi sur le net, je m’y connais. Tout a commencé en 2004, lorsque je me suis retrouvé avec ma thèse presque finie et peu de perspectives d’obtenir un poste d’enseignant-chercheur. L’alternative était donc chercher un emploi dans le secteur privé, alors je suis plongé dans le souvent déroutant monde des annonces d’emploi. Et étant un vrai geek comme je suis, la seule façon que j’envisageais c’était de passer par le net.

On peut dire que j’ai parcouru la plupart des sites d’emploi de l’époque, du géant du secteur, Monster, aux sites régionaux comme Ouestjobs, en passant par des site sectoriels comme LesJeudis. J’ai passé des longues heures sur ceux sites, en mettant en forme mon C.V., en parcourant des tonnes d’offres en essayant de trouver lesquelles se rapprochaient de mon profil et n’étaient pas trop loin de chez moi, en utilisant des formulaires de contact pas toujours très ergonomiques.

Bilan de l’expérience ? Strictement parlant, ils ne m’ont pas apporté grande chose, car j’ai trouvé tous mes postes de travail par d’autres voies (candidatures spontanées et mises en contact par des connaissances communes). Cependant, ils m’ont permit de remarquer ce que je veux et ce que je ne veux pas dans un service de recherche d’emploi sur le net. Aujourd’hui à la lumière de ces expériences, je vais analyser un nouveau venu dans le monde des services de recherche d’emploi, Emploirama.

Emploirama

Je vais me limiter à analyser la recherche rapide, sans dépôt de CV. La raison est purement subjective, c’est le méthode de recherche que je préfère. Lorsque je veux rapidement prendre la mesure du marché, je vais sur plusieurs sites d’emploi et je fais mes recherches sur chacun, afin de pouvoir avoir une vision d’ensemble des offres susceptibles de m’intéresser. Je ne dépose donc pas de CV, car je n’ai pas envie de l’actualiser à chaque fois et dans le secteur informatique un CV qui n’est pas actualisé ne vaut pas grande chose. Donc pour moi le critère principal pour un site d’emploi est, en plus bien sûr du nombre d’offres, l’ergonomie et facilité d’utilisation de leur interface de recherche d’emplois.

Lorsqu’on connaît les sites classiques de recherche d’emploi, une des premières choses qui ont remarque en arrivant chez Emploirama c’est ça page d’accueil. Monster ou LesJeudis ont gardé à peu près le même type de page d’accueil d’il y a quelques années, avec au centre le formulaire de recherche, composé de plusieurs listes déroulantes dans lesquels l’utilisateur choisit ses critères de recherche.

Page d'accueil Monster.fr Page d'accueil LesJeudis.com
Page d’accueil Monster.fr Page d’accueil LesJeudis.com

Emploirama présente une page d’accueil plus aérée, sans formulaires, moderne. Pas de formulaire à listes déroulantes, pas de gros pavés de texte, mais plein de photos, un look fun, une carte pour la recherche géographique et un nuage de tags, le tout un interface très web 2.0 (je reviendrai sur ça toute à l’heure, lorsque je parlerai de la recherche). En résumé, le look de Emploirama se différencie de celui des gros acteurs du secteur, avec un aspect que je trouve beaucoup plus séduissant pour un public jeune et dynamique.

Page d'accueil Emploirama.fr
Page d’accueil Emploirama.fr

Passons maintenant au truc intéressant : la recherche d’emploi. Imaginons que je cherche un travail dans l’informatique en Bretagne. Chez Monster.fr et chez LesJeudis la démarche à suivre est choisir la région, le métier et la fonction dans des listes déroulantes. Bon, on va pas se plaindre, ça marche depuis des années… mais c’est loin d’être sexy comme méthode.

Recherche sur Monster.fr Recherche sur LesJeudis.com
Page d’accueil Monster.fr Page d’accueil LesJeudis.com

Là Monster et LesJeudis gardent les listes déroulantes au centre de leur interface, Emploirama se démarque avec une recherche basé sur des filtres. La page d’accueil proposse plusieurs façons différentes de faire la recherche, afin de que chacun trouve celle le plus adaptée. Chaque type de recherche est un filtre, qu’on peut combiner à souhait :

  • Il y a le nuage de tags, ce qui donne une idée des profiles les plus recherchés par les entreprises. Lorsqu’on clique sur un tag, on va à la page correspondant à ce tag, avec toutes les offres qui ont cette étiquette, géolocalisées grâce à Google Maps.
  • Il y a la carte de France, qui en cliquant sur une région, amène à une page dédiée à cette région, avec toutes les offres d’emploi dans la région, géolocalisées encore une fois avec Google Maps.
  • Il y a les listes des dernières offres et des dernières recherches réalisés, utiles pour prendre une mesure de comment ça bouge.
  • Il y a enfin la recherche par listes déroulantes et mots clés, au cas où malgré tout vous préférez la méthode classique.Si c’est votre cas, cliquez sur Recherche d’emploi et vous trouverez le type d’interface classique. Là oui, une fois les termes choisis, vous arriverez à une page de résultats avec les offres bien géolocalisées.

Vous avez sans doute remarqué que j’aime la géolocalisation. Et oui, pour moi c’est le grand plus d’Emploirama par rapport à Monster.fr et LesJeudis.com. Les résultats de ceux-ci sont présentés sur forme de liste, souvent de plusieurs pages, que dans le cas de monster on peut ensuite refiner avec des mots clés et des codes postaux.

Page de résultats Monster.fr Page de résultats LesJeudis.com
Page de résultats Monster.fr Page de résultats LesJeudis.com

Dans la page de résultats de Emploirama on a une carte Google Maps avec la localisation des offres proposées. On peu naviguer sur la carte comme on fait habituellement sur Google Maps, et en cliquant sur une des offres on a les informations correspondants au poste. Et si on le préfère, on a bien sûr la liste pour chercher de la façon traditionnelle. Niveau ergonomie et facilité d’utilisation, on peu difficilement faire mieux, non ?

Page résultats Emploirama.fr
Page de résultats Emploirama.fr

Pour être honnête, il y a des choses chez Emploirama que j’aimerais voir évoluer. D’un côté il y a le nombre d’offres, encore très réduit par rapport aux grands, au moins dans mon secteur. Oui, c’est un peu injuste de reprocher ça, car ils viennent de démarrer. Il faudra voir dans 6 mois ce qui ça donne.

De l’autre côté, et plus grave pour moi, il y a l’absence de flux RSS. Ca est une fonctionnalité de Monster.fr que j’adore, une fois que tu as créé une recherche qui te convient, avec tous les filtrages et mots clés qui vont bien avec ton profil, tu peux souscrire au fil RSS et avoir en temps réel toutes les nouvelles offres correspondantes à ta recherche. C’est très pratique, et il me semble étonnant qu’un site aussi tourné vers le web 2.0 comme Emploirama oublie d’ajouter du RSS. En tout cas, j’espère qu’ils l’incorporeront bientôt.

En résumé, Emploirama est un nouveau venu dans le marché de la recherche d’emploi en ligne, avec des idées innovantes et un site web très agréable à utiliser. Sa jeunesse fait que le nombre d’offres ne soit pas énorme, c’est pourquoi je ne l’utiliserais pas comme site unique de recherche, mais le l’ajouterais sans hésitation à la liste restreinte de sites à consulter dans le cadre d’une recherche d’emploi.

Correction :

Effectivement, il y a des flux RSS, le lien est tout en bas de la page, après tous les résultats de recherche. Comme je n’avais pas regardé en détail toutes les offres, je n’avais pas pensé à descendre jusqu’à en bas… et je n’ai pas vu le lien vers le flux RSS.

Il est donc là :

Lien flux RSS Emploirama.fr
Lien flux RSS Emploirama.fr

Mon conseil, mais ce n’est que mon avis personnel, est de mettre le lien RSS en haut, qu’on puisse le voir sans devoir aller jusqu’à en bas de la page, car il y a des gens (moi, par exemple) qui ne descendent jusqu’à en bas de la page.

Pourri.fr

30-10-2007 par Horacio Gonzalez

Vous connaissez peut-être des sites comme Spamgourmet ou Mailinator, des services qui permettent de recevoir des messages sans avoir à donner votre véritable adresse email.

Ce type de service est vraiment pratique. Par exemple, pour toutes ces occasions où on doit laisser une adresse email pour recevoir un message mais on craigne être spammés après si on laisse sa vraie adresse. Ou encore pour s’inscrire au dernier nouveau service social trouvé sur AccessOWeb, afin de le tester et savoir si on veut s’inscrire vraiment (avec la bonne adresse) ou si on laisse tomber au bout de 10 minutes.

Spamgourmet n’est pas trop confortable à utiliser, il faut d’abord s’inscrire sur le site et ensuite on peu facilement créer des adresses de receptiuon e-mail avec un nombre d’utilisation limité, c’est à dire, des adresses e-mail capables de accepter (et de transférer ensuite vers votre véritable adresse) un nombre fixe de messages avant de s’auto-détruire. L’interface web de Spamgourmet est, pour le dire poliment, un peu rustique, et je n’aime pas trop le fait de devoir m’enregistrer d’abord.

Mailinator a une autre philosophie. Les messages ne sont pas transférés, ils sont consultables via un interface web. Il n’y a pas d’enregistrement ni d’identification, et les boîtes de réception des email sont créés à la réception des messages. C’est un système beaucoup plus souple que Spamgourmet, et qui marche assez bien.

Mailinator est assez bien, mais l’interface devient un peu lourd au bout d’un moment. C’est en faisant ce constat qu’un collègue de travail a décidé de faire son propre outil de réception de messagerie. Il s’est mis donc au boulot et quelques jours après il nous a montré le résultat : Pourri.fr.

Pourri.fr

Les fonctionnalités sont semblables à celles de Mailinator, avec l’ajout de la possibilité d’effacer des messages (ce qui est très pratique pour les emails d’inscription à des nouveaux services web). En plus, c’est un site en français, ce qui n’est pas pour déplaire par ici, je pense. Mais c’est surtout au niveau interface que Pourri.fr offre des améliorations. Il a une interface épurée, sobre et efficace, avec une certaine réminiscence de Google autant dans la page d’accueil que dans les boîtes de réception.

L’utilisation reste donc très simple : lorsqu’on vous demande votre email, utilisez une adresse au pif (par exemple dfshs544dfsgs@pourri.fr). Vous pouvez ensuite vous rendre à Pourri.fr et y recevoir le courier envoyé à cette adresse bidon. Et ensuite si vous voulez, vous l’effacez ou vous le laissez pourrir sur Pourri.fr.

Pourri.fr

Comme note ludique, signaler que le logo de Pourri.fr n’est pas fixe. L’idée est qu’un seul logo est vite ennuyant, et plus sérieusement, que c’est bien plus sympa avoir à la place du logo officiel une galerie de logos proposés par les utilisateurs du site, avec un lien vers l’auteur. Avec cette philosophie, chaque fois que vous vous connecterais sur Pourri.fr, vous verrez un logo aléatoire parmi tous ces qu’on été proposés.

En me connaissant un peu, vous vous douterez que j’ai été tenté par l’idée des logos multiples. J’ai donc soumis quelques logos, censés être des hommages à des services web que j’aime particulièrement. Voici donc les logos que j’ai envoyé pour le moment :

Pourri.fr

Pouvez-vous identifier quel service web est l’objet de l’hommage pour chaque logo ?

Des projets, des réunions, des dessins…

26-09-2007 par Horacio Gonzalez
LiB geek

Des jours assez chargés depuis le début de la semaine, autant au travail que dehors. Je ne vais pas parler de la partie travail, alors parlons du dehors.

Des projets : J’ai un petit projet de ce qui peut devenir un site web sympa, un mashup plutôt original en s’appuyant sur l’API d’un des sites sociaux les plus à la mode. C’est encore trop tôt pour vous en parler, je suis à fond dans la phase de codage…

Des réunions : Une réunion Point Triple ce soir, au menu des discussions sur les nombreux projets dont 365 Idées. Je ne vais pas vous dire plus, car je prépare un long billet sur Point Triple pour la semaine prochaine.

Des dessins : Guillaume m’a demandé des dessins pour son projet de jeu de rôle sur blog. J’ai fait plusieurs gribouillages sur papier et je suis en train de les passer à l’ordinateur, ainsi que à continuer ma petite série sur l’exploration des donjons. D’ailleurs, voici le dernier personnage, l’assassin :

Assassin

Pour ma proposition de donation de bouquins, quatre sont déjà attribués. Il restent ceux de Visual C++, PostNuke et Tcl/Tk. Alors, si cela vous tente, n’hésitez pas à me les demander…

Horacio dans Google.fr

19-09-2007 par Horacio Gonzalez

Aujourd’hui je vais faire encore une fois preuve de narcissisme. La faute, a Jeff, qui ce soir postait sur Twitter :

On dit bien que la curiosité tua le chat (au moins on dit ça en Espagne), mais étant donné que je ne suis pas un je me suis dit que je pouvais me permettre ce vilain défaut. Je suis donc allé voir sur Google.fr, et j’ai eu l’agréable surprise de constater que mon blog apparaît le premier dans la liste de résultats :

LiB geek

Sur internet, les 15 minutes de célébrité que Andy Warhol augurait à tout le monde sont devenues beaucoup moins, alors il faut mettre ce résultat en perspective. Mais je peux pas m’empêcher de ressentir une certaine fierté, car il y a à peine trois mois mon blog ne figurait même pas dans la première page de résultats sur mon prénom.

Mon prochain objectif ? Obtenir la première place sur la recherche de Horacio Gonzalez 😉

Google Maps vous facilite la vie

22-08-2007 par Horacio Gonzalez
L.i.B. et Google

Vous aurez remarqué que j’aime beaucoup Google Maps. Je l’utilise pas mal dans la vie de tous les jours, pour des trucs pratiques, comme chercher une adresse ou un itinéraire, et pour des trucs plus ludiques comme regarder des images satellite des endroits lointains ou chercher des photos aériennes curieuses.

Une des utilisations les plus sympas de Google Maps reste pouvoir inclure des cartes Google dans des billets de blogs ou des sites web en général. Cependant cette utilisations restait relativement complexe, par rapport à l’inclusion de photos Flickr par exemple. Il semblerait que Google a remarqué le problème, car dans la dernière mise à jour de l’interface de Google Maps ils ont inclus la génération du lien pour l’insertion directe de la carte.

Insertion de carte Google Maps

Maintenant lorsqu’on clique sur “Faire un lien à cette page” on a deux options, le lien HTML classique pour envoyer par e-mail ou messagerie instantanée qui permet à quelqu’un d’aller sur cette carte et un morceau de code HTML à inclure dans une page web pour intégrer la carte dans la page. Il suffit donc de copier et coller ce lien, et nous avons la carte Google Maps sur notre page web :

O.k., c’est un tout petit détail, mais c’est un détail fortement sympathique, non ?

Trouvé grâce à tufuncion.

La journée de travail d’un concepteur de sites web

17-07-2007 par Horacio Gonzalez

Curieux graphique qui explique à la perfection comme les concepteurs de sites webs investissent (d’autres diraient “perdent”) leur temps grâce aux merveilleuses incompatibilités entre navigateurs et aux non moins merveilleux standards mal implémentés.

Journée de travail d'un concepteur de sites web

Trouvé via DespuesDeGoogle