Ravageurs de productivité : Plants vs Zombies
Si vous suivez mon blog, je pense que vous aurez déjà compris que j’ai un faible pour les zombies. Des morts vivants de Romero aux infectés de 28 jours plus tard, de Resident Evil à Zombieland, de [●REC] à Shaun of the Dead, dès qu’il y a des zombies je suis à fond dedans.
De l’autre côté, j’aime beaucoup les jeux vidéo, surtout les petits jeux très addictifs à fort composant tactique. Et parmi mes jeux vidéo favoris il y a les jeux du type tower defense (TD), comme le Penguins attack dont je vous ai déjà parlé.
Avec ce background, je ne pouvais donc pas passer à côté du jeu que je vous présente aujourd’hui : Plants vs Zombies.
Plants vs Zombies est un TD amusant et décalé dans lequel les plantes d’un jardin doivent empêcher des hordes de zombies d’arriver à la maison et dévorer ses habitants.
On y trouve tous les composants caractéristiques des TD : des multiples types de défenses fixes (dans ce cas des différentes plantes) dont on doit optimiser le placement, des vagues d’ennemis qui avancent lente mais inexorablement, des budgets limitées qu’on doit gérer pour acheter des nouvelles défenses ou améliorer les existantes.
Le jeu est très addictif, le graphisme est rigolo, la musique sympathique et pas dérangeante, le niveau de difficulté initial assez faible (facilitant la prise en main) mais ça monte vite à fur et à mesure que les hordes de morts vivants deviennent de plus en plus nombreuses. Et en plus il y a des zombies, qu’est-ce qu’on peut demander de plus ?