In the grim darkness of the far future there is only war

24-01-2008 par Horacio Gonzalez
Space Marines, by LostInBrittany

Je me souviens bien du jour où j’ai découvert Warhammer 40,000. C’était l’an 1990, j’étais un adolescent de 13 ans qui passait la plupart de son temps libre soit devant son ordinateur soit plongé dans des bouquins de jeux de rôles.

A l’époque je fréquentais une librairie spécialisé en jeux de rôle, Alfil Juegos. C’était un magasin qui ne payait pas de mine, petit et poussiéreux, mais pour les fans des jeux de rôles c’était une vraie caverne d’Ali Baba. Dans ses à peine 40 m2, au premier étage d’une immeuble minable, se cachait le plus grand stock de jeux de rôles et figurines de tout Madrid.

Ce jour là, je suis allé chez Alfil Juegos pour chiner et regarder s’il y avait des nouveautés, comme je faisais presque chaque semaine. Le vendeur m’a raconté qu’Alfil Juegos devenait maison d’édition, ils allaient traduire un petit jeu de Games Workshop, qui mélangeait jeu de rôles et wargame avec figurines pour donner quelque chose de superbe. Le truc en question s’appelait Warhammer 40,000 : Rogue Trader.

Space Marines, by LostInBrittany

Il m’a donc montré quelques images du jeu, dont la couverture, et j’ai été instantanément séduit. En regardant ces images là, j’ai eu l’impression de trouver ce que je cherchais depuis un bon moment, d’un jeu de rôles futuriste dans un univers beaucoup plus proche d’Aliens que de Star Wars, et en plus avec un système qui permettrait de faire des combats plus simples et rapides que la plupart de jeux de rôles, et avec plus d’ennemies.

J’ai patiemment attendu deux ou trois mois que l’édition espagnole soit prête, je me souviens d’aller chaque semaine chez Alfil demander des nouvelles, des longues conversations avec le vendeur, de comprendre peu à peu que Warhammer 40,000 n’était pas un jeu de rôles, ni un wargame classique, mais quelque chose d’hybride.

Lorsque enfin j’ai eu le livre dans mes mains, je n’ai pas été déçu. Je me souviens les semaines que ont suivi, toutes les parties de tests avec des bouts de carton à la place de figurines, et de comment j’ai plongé dans l’un des univers de fiction les plus riches que j’avais connu.

Warhammer 40000 : Rogue Trader

Cette première édition de Warhammer 40,000 était bien différente à la 4ème édition actuelle, le jeu était vraiment un hybride entre jeu de rôles et jeu de bataille de figurines. On n’avait pas besoin de tonnes de figurines, une petite dizaine par côté suffisait pour jouer une belle partie. Il n’y avait pas de listes d’armées, et on pouvait construire les troupes qu’on voulait avec l’équipement qu’on souhaitait. Tu voulais un héros Space Marine armé d’un lance-missiles ? Il suffisait de regarder le coût en points de ses caractéristiques et son équipement dans un grand tableau qui prenait deux pages. Il n’y avait pas non plus trop de choix de véhicules, et le bouquin de règles dédiait une bonne dizaine de pages à comment construire des modèles d’engins spatiaux avec des bouteilles de shampooing, du carton de boîte de céréales, de la colle et un peu de plâtre. Ensuite tu décidais les caractéristiques de ton véhicule et tu calculais la valeur en points.

Les règles de création étaient tellement ouvertes qu’on pouvait facilement construire des personnages et des armées déséquilibrées, mais à l’époque ça n’avait pas trop de sens. En fait, le côté compétitif était beaucoup moins accentué que dans l’édition actuelle. Le jeu suggérait la présence d’un Maître du Jeu, qui préparait les scénarios, qui gérait les troisièmes parties (terrain, éventuelles personnages non joueurs) et qui supervisait les règles. La doctrine officielle du jeu n’était pas encore “les seules figurines utilisables sont celles de Games Workshop, et selon la liste d’armées” mais plutôt “si tu as envie d’ajouter quelque chose, construis-la, décide ses caractéristiques et teste-là sur la table de jeu”.

Mais pourquoi je vous raconte tout ça ? Etant donné que c’est tard déjà, je laisse la réponse pour la suite…

/dotclear ou /blog ?

23-01-2008 par Horacio Gonzalez

Un conseil : si vous pouvez l’éviter, ne mettez jamais le nom de la plate-forme de blogging que vous utilisez dans l’adresse de votre blog. J’ai commis cette avec mon blog, et maintenant le changement risque d’être assez pénible.

LiB geek

Lorsque j’ai démarré ce blog, je ne pensais pas que ça allait vraiment durer. Je voulais seulement essayer ce truc de blogging, j’ai donc installé plusieurs plate-formes de blog et je me suis laissé séduire par Dotclear à cause de la facilité avec laquelle on pouvait personnaliser le thème. Comme je testais plusieurs plate-formes de blog, je les installais dans des répertoires nommés selon la plate-forme, le blog sous Dotclear était donc installé sur dotclear/. Après deux ou trois billets j’avais pris ma décision, je restait sur Dotclear, et https://lostinbrittany.org/dotclear/ devenait l’adresse de mon blog de test.

Doucement, j’ai commencé à prendre goût au blogging, et ce qui avait démarré comme un test est devenu un vrai blog. Et plus ça passait le temps, moins j’avais envie de changer l’adresse, que j’avais déjà commencé à donner partout. Alors le dotclear/ est resté, même si au fond de ma tête cela ne me plaisait pas trop. Maintenant, lorsque j’approche mon 500ème billet, je me dis encore une fois que ce référence à Dotclear dans l’URL me gène.

D’un côté, cela lie mon blog à une plate-forme de blogging. Imaginons que demain je passe sur WordPress, ça serait un peu bête que l’adresse de mon blog continue à faire référence à Dotclear ! De l’autre côté, ce n’est pas intuitif. Lorsqu’on cherche le blog de quelqu’un sur un domaine, on s’attend à le trouver une répertoire blog/ et non dans dotclear/. En plus, Dotclear est presque inconnu hors des frontières françaises, et cela fait que le mettre dans l’adresse soit encore moins intuitif.

Ca fais donc un moment que j’hésite à mettre en route ce chantier de migration d’adresse, vers https://lostinbrittany.org/blog/. Ces dernières semaine je pense de plus en plus à migrer vers WordPress, à cause de certains plugins que je trouve fortement sympathiques, mais surtout à cause du dynamisme de la plate-forme WordPress. Si je fais le changement de plate-forme, à ce moment le changement d’adresse s’impose. Ca fais pas mal de changement d’un coup, j’ai intérêt à bien le gérer, car je voudrais que tous les liens continuent à marcher, et que les moteurs de recherche changent d’une adresse à l’autre sans faire perdre de la visibilité au blog.

Je vais donc commencer à planifier la migration. Si vous avez déjà essayé, autant la migration de Dotclear vers Worpress que le changement d’adresse avec des redirections pour que les liens marchent, je suis preneur de vos conseils et suggestions.

Illusion optique : je m’y mets

21-01-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et les illusions

Ca fait un moment que je blogue sur les illusions optiques. Comme vous avez pu constater, le sujet me passionne, et j’adore essayer de comprendre pourquoi notre perception est trompée par ces étonnantes images. Pourtant, après ces mois, je commençais à vouloir aller plus loin.

Pourquoi ne serais-je capable de faire mes propres illusions optiques ? Après avoir regardé des tons d’illusions, et étudié en détail le fonctionnement de dizaines d’entre elles, je pensais avoir assez de théorie pour me lancer.

Ce soir j’ai donc pris mon Inkscape et j’ai décidé mettre en ouvre ma première idée. Ca a pris un petit peu de temps, mais à la fin de suis arrivé à un résultat duquel je me sens assez fier : ma première illusion optique :

Ma première illusion optique

Alors, vous en pensez quoi ?

Promenade en poney

20-01-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et la promenade en poney

Illusion optique : les lignes ondulées

19-01-2008 par Horacio Gonzalez
Illusions

Et oui, encore une fois, un billet dédié aux illusions optiques. Bien, en étant précis, ce billet est plutôt la suite thématique du précédant, Illusion optique : les lignes bleues.

Voici l’image d’aujourd’hui :

Illusion optique : les lignes ondulées

Essayez autant que vous voudrez, je pense que vous n’arriverez pas à convaincre votre perception de que les lignes horizontales sont cette image son des lignes droites… et cependant c’est vrai !

Comme d’habitude, si vous ne me croyais pas sur parole, ouvrez l’image dans votre éditeur d’images favori (dans mon cas j’ai utilisé GIMP) et tracez des lignes droites horizontales sur les lignes de l’image. Vous serez surpris !

Joyeux anniversaire, Fred

17-01-2008 par Horacio Gonzalez

Petit message à un collègue de travail…

Joyeux anniversaire, Fred

Joyeux anniversaire !

Joyeux anniversaaaaaire !

Joyeux aaaaaaaanniversaire, Fred !

Joyeux anniveeeeeeeeersaire !

Fini le look de Noël

13-01-2008 par Horacio Gonzalez
Fini le look de Noël

Et oui, les fêtes sont déjà loin derrière, alors le thème de Noël commençait à faire un peu anachronique sur le blog. Je reviens donc à mon classique thème bleu, en attendant de trouver le temps d’essayer quelque chose d’autre…

Suite de la gastro

12-01-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et la récupération  la gastro

Gastro

09-01-2008 par Horacio Gonzalez
LiB a la gastro

Tetris humain

07-01-2008 par Horacio Gonzalez

Il y a quelques mois je vous avais parlé du Space Invaders humain réalisé dans le cadre du Projet Gameover.

Tetris humain

Le dernier opus du projet Gameover est un Tetris humain. Tourné et exposé dans le cadre du festival Les Urbaines à Lausanne (Suisse) en novembre dernier.

La vidéo a fait un vrai carton dans YouTube, avec plus de 2 millions de visualisations. Dans le site du Projet Gameover vous pouvez aussi trouver des vidéos sur d’autres jeux : Pong, Pole Position et le Space Invaders duquel je vous avais déjà parlé.