J’ai besoin d’une appli web rapidement
26-03-2013 par Horacio GonzalezVoici les slides de la présentation sur le développement rapide d’applications web sur la JVM que j’ai fait jeudi dernier pour le FinistJUG :
Voici les slides de la présentation sur le développement rapide d’applications web sur la JVM que j’ai fait jeudi dernier pour le FinistJUG :
D’abord, et comme il se doit, je vous souhaite à tous un
Maintenant on peut revenir au sujet du billet, encore l’un de ces billets que je voulais écrire depuis des mois mais que j’ai n’ai pas trouvé le temps de faire…
Lorsque j’étais petit et j’entendais parler d’un robot de cuisine, je m’imaginais un Goldorak à taille humaine en train de préparer à manger au milieu de la cuisine, ou Nono le Petit Robot assis sur le plaint de travail en rappelant ma mère les ingrédients pour préparer la soupe.
Après j’ai grandi, et j’ai compris que un robot de cuisine est quelque chose de beaucoup plus prosaïque et moins geek, mais quelque part au fond de moi, je ne peux pas m’empêcher de penser aux Transformers à chaque fois que j’entends l’expression robot de cuisine.
Et il semblerait que je ne suis pas le seul, au moins si on voit cette superbe anamorphose fait par la TSFcrew, un studio graphique spécialisé dans la peinture mural et le graffiti :
Il est simplement impressionnant, non ?
Et presque aussi impressionnantes, voici quelques photos du making of et du robot vu depuis des angles différentes :
Si vous aller voir sur leur site, vous verrez qu’ils ne sont pas au coup d’essai pour les anamorphoses, leur portfolio a une catégorie d’illusions bien remplie avec des anamorphoses variées d’excellente qualité. Ca vaut bien le détour !
Trouvé il y a quelques mois grâce à W3SH.
Supernova Condensate est un excellent blog d’astronomie écrit par un astrophysicien blogueur, Invader Xan. Comme la plupart des astrophysiciens, ou plutôt comme la plupart des geeks, ou même comme la plupart des personnes qui n’ont pas perdu leur âme d’enfant, Invader Xan est passionné par la conquête de l’espace et par les vaisseaux spatiaux. Et étant aussi doué pour le dessin, en mai dernier il a préparé une superbe affiche montrant à la même échelle des vaisseaux spatiaux passés, présents… et futurs.
On peut y voir le mythique Apollo, qui a amené les astronautes sur la Lune, le Soyuz (qui aujourd’hui reste le vaisseau spatial le plus réussi de l’histoire, paradoxalement), la Station Spatiale Internationale et bien entendu, la Navette Spatiale américaine, un vaisseau mythique pour les gamins de ma génération. On peut aussi y voir différents vaisseaux qui sont encore en construction ou en conception, comme le PPTS qui remplacera le Soyuz, ou le SpaceShipTwo tant voulu par Richard Branson, des projets avortés comme le Venture Star ou l’Hermes, conçu au CNES et qui aurait pu être la Navette Spatiale Européenne…
Et bien entendu, pour donner un peu de perspective, Invader Xan s’est permis d’y ajouter un vaisseau du futur, le NCC-1701, plus connu sur le nom de USS Enterprise
Le résultat est un superbe poster que j’aurais adoré pouvoir accrocher au mur de ma chambre d’enfant, un beau mélange de science et de science-fiction qui rappelle que notre futur est quelque part dans les étoiles…
Trouvé il y a longtemps dans Boing Boing.
J’ai presque oublié la sensation agréable de mettre à jour le blog. Ca fait des mois et des mois que je me dis qu’il faut que j’écrive, mais je ne me donne pas les moyens, je ne trouve jamais le moment. Aujourd’hui, en essayant de fermer quelques unes des dizaines (plus de 120 !) d’onglets ouverts dans mon profil Firefox principal, je suis tombé sur plein de pages que j’avais mis de côté au cours des derniers mois, en me disant qu’il serait sympathique d’en parler sur le blog. Et là, je me suis décidé, il fallait que je reprenne.
Et pour redémarrer, rien comme deux de mes sujets favoris, LEGO et les illusions d’optique, toutes les deux combinés dans un projet loufoque et génial dans la ville de Wuppertal, en Allemagne…
Tout commence avec un pont, un banal pont tout moche sur une rue de la ville :
Martin Heuwold, alias Megx, est un artiste de rue Allemand, qui a eu l’idée de transformer ce banal pont dans une œuvre d’art plutôt original, en le couvrant avec des panneaux en plastique pour donner l’illusion que le pont est fait avec des pièces de LEGO.
Le projet est assez pharaonique, il a fallu couvrir les plus de 250 m2 de surface visible du pont avec des panneaux colorés, peints ensuite pour ressembler à des briques LEGO.
Ca a pris 4 semaines de travail, et le pont s’est transformé petit à petit, devant les yeux étonnés des passants.
Le résultat est vraiment très réussi, comme vous pouvez le voir dans ces photos !
Si vous lissez l’Allemand, vous pouvez trouver plus d’information ici, ainsi que les photos dans une meilleure résolution. J’ai trouvé l’info l’été dernier via l’Huffington Post.
Et maintenant, je n’ai qu’à essayer de garder un rythme régulier de blogage…
Ce billet est une traduction de celui que je viens de poster sur LibPens.org, mon blog en anglais sur les stylo-plumes.
Après avoir enfin trouvé une couleur rouge qui me plaise avec l’encre Diamine Dragon Red, mon prochain objectif était une couleur orange brillante. J’ai regardé beaucoup d’échantillons d’encre, et celui qui s’approchait le plus de ce que je cherchait était l’encre Diamine Orange, alors j’ai commandé un flacon.
Et je dois dire que je suis content de mon choix, j’adore cette encre. Une couleur orange très saturé et brillante, qui ne vire ni vers le jaune ni vers le rouge. Je craignais qu’elle puisse être un peu fade, pale, difficile à lire, mais ce n’est pas de tout le cas. C’est une couleur brillante, qui attire le regard, et une bonne alternative aux encre rouges ou verts comme couleur complémentaire pour la prise de notes.
Si on fait confiance à la théorie des couleurs, ce Diamine Orange est presque la couleur parfaitement complémentaire du Noodler’s Liberty’s Elysium (LE), une de mes encres blues favorites. J’aime utiliser le bleu LE pour la prise de notes, et le Diamine Orange se prête très bien à être utilisé à côté du LE pour les titres et les schémas, ou simplement pour marquer, souligner ou contraster.
Le Diamine Orange, comme attendu, n’est pas waterproof, mais elle résiste à l’eau mieux que ce qu’on aurait pu penser : le coin inférieur droit de la feuille a été immergé dans l’eau pendant plusieurs minutes et le texte est (presque) complètement lisible.
Mon prochain objectif, trouver une encre grise qui me plaise. Pour l’instant j’ai plusieurs à tester, mais je vous tiendrai informés…
Dernièrement je vous ai parlé plusieurs fois des anamorphoses de Leon Keer. L’artiste est assez prolifique, tantôt peint des Pac-Mans en Hollande que des LEGO Seigneur des Anneaux à la Comic-Con de San Diego, et en plus il poste des photos de son travail sur Flickr. Et vu que ces sujets tombent très souvent dans mes obsessions geek, je ne peux pas m’empêcher d’en parler.
Prenons par exemple sa dernière œuvre, une anamorphose sur le thème de LEGO Batman 2 : DC Super Heroes dans le parc d’attractions Legoland Windsor, en Angleterre : LEGO, la Ligue des Justiciers, des illusions d’optique, bref, de quoi rendre un Horacio content 🙂
Le seul point négatif c’est qu’il n’a posté que deux photos de l’œuvre. Une première, avec quelques enfants bien placés pour rendre l’effet encore plus puissant :
Et l’indispensable photo d’un angle différent pour bien voir la technique de l’anamorphose :
Encore mieux ! J’ai trouvé une vidéo du making of de cette anamorphose sur YouTube :
Il y a quelques mois je vous parlais d’une campagne de publicité LEGO, l’imagination au pouvoir, ou avec quelques briques LEGO, ils recréaient des représentations hautement minimalistes mais parfaitement reconnaissables de plusieurs ensembles de personnages célèbres.
Aujourd’hui je veux vous montrer un projet semblable. C’est la série de posters Copyrighted famous hairs de l’artiste Patricia Povoa. Le principe est simple, des représentations minimalistes de personnages célèbres basées sur leurs coiffures.
Dans les posters originaux, le nom du personnage apparaît en bas du poster. Je me suis permis de l’enlever, car je trouve que cela donne plus de puissance à l’effet, mais aussi pour vous permettre de jouer et voir si vous reconnaissez tous les personnages.
Alors, vous les avez tous reconnus ?
Trouvé, comme souvent, grâce à Pisito en Madrid.
L’une de mes séries TV favorites est sans doute Firefly. Et je suis loin d’être le seul, avec seulement une saison de 15 épisodes de 45 minutes, la série de Joss Whedon (Buffy, Angel, Avengers…) a réussi à devenir une série culte.
Le cocktail est génial : un mélange de space opera et de western, des scénarios bien ficelés, un univers riche et cohérent, un des meilleurs scénaristes/réalisateurs actuels et des acteurs bien choisis (dont Nathan Fillion, qui a jouée pour Whedon dans dans la dernière saison de Buffy et dans Dr. Horrible’s Sing-Along Blog, avant de participer à Desperate Housewives et devenir le héros de Castle).
Et si je vous parle de Firefly aujourd’hui, c’est parce que je suis tombé sur ce joli t-shirt inspiré par la série :
La citation vient de la chanson du générique de Firefly, qui est à la hauteur de la série, avec des paroles émouvantes qui auront un sens pour tout fan de la série :
Take my love, take my land
Take me where I cannot stand
I don’t care, I’m still free
You can’t take the sky from me
Take me out to the black
Tell ’em I ain’t comin’ back
Burn the land and boil the sea
You can’t take the sky from me
Have no place I can be
Since I found Serenity
But you can’t take the sky from me
Ca fait un moment que je voulais vous parler des Windoodles, mais je n’ai jamais trouvé le moment. Il s’agit d’un projet d’un artiste de Washington DC, Garret Miller, qui est aussi derrière l’excellent Doodle Or Die, un autre projet duquel j’ai prévu de vous parler sous peu.
Garret définit le projet comme The art of temporary vandalism with dry-erase markers. Derrière cette description il se cache une idée très simple : dessiner sur des fenêtres avec des feutres effaçables de façon que le dessin s’intègre avec le paysage visible derrière cette fenêtre.
O.k., vu qu’une image vaut plus que mille mots, voici un exemple :
Comme beaucoup de démarches créatives, l’idée a pris et maintenant Garret reçoit aussi des photos de Windoodles faits par des gens de partout dans le monde, comme ce King Kong penché sur une tour de télévision à Berlin :
Les sujets choisis par Garret sont en général assez geeks : jeux vidéo, culture populaire, science-fiction…
Pour regarder l’ensemble des Windoodles, je vous conseille d’aller faire un tour sur le Tumblr des Windoodles.
Trouvé il y a quelques mois grâce à Pisito en Madrid.
La semaine dernière, en regardant PairHero, un jeu de peer coding que je voudrais mettre en place dans le cadre du FinistJUG ou du FinistGDG, je suis tombé à nouveau sur la technique Pomodoro de management du temps.
J’ai dis à nouveau, car j’étais déjà y passé il y a quelques années, lorsque je me suis intéressé aux techniques de gestion du temps, du type GTD. A l’époque la technique Pomodoro m’est semblée intéressante, mais un peu trop simple, en comparaison avec l’énorme richesse de la méthode GTD.
Aujourd’hui, quelques années plus tard, mon regard sur GTD a beaucoup changé, et j’ai appris à apprécier des approches simples mais qui marchent bien. C’est pour cela que, en retombant sur la technique Pomodoro, je l’ai regardé d’un regard neuf et j’ai trouvé que ça s’adaptait très bien à ma façon de m’organiser. J’ai donc décidé d’essayer de la mettre en pratique pendant une semaine, et voir le résultat.
La technique Pomodoro est assez simple. Elle s’articule autour du concept d’unité de temps de travail de 25 minutes, le pomodoro (tomate en italien). Ces périodes de travail sont mesures à l’aide d’un minuteur et les différentes périodes de travail sont séparées par de courtes pauses. Le nom de la technique vient juste du minuteur utilisé par son créateur, un minuteur de cuisine en forme de tomate.
Chaque Pomodoro est divisé en cinq étapes :
A cela on ajoute une phase de préparation en début de journée (avec la confection d’une liste de tâches à accomplir et leur estimation de durée en Pomodoros), un minimum de suivi (marquer d’une croix à côté de chaque tâche chaque Pomodoro investi dans sa réalisation) et une courte phase de passage en revue en fin de journée.
Le bouquin complet sur la technique (un PDF de 45 pages) est téléchargeable (de façon gratuite, sous licence Creative Commons) sur le site, ainsi que quelques aides. Et si vous tenez à utiliser le minuteur Pomodoro officiel (par exemple, pour soutenir le créateur d ela méthode), vous pouvez vous le procurer chez amazon.
Après une semaine d’utilisation je peux déjà dire que la technique Pomodore est quelque chose de beaucoup plus simple, light et peu contraignant que le GTD, mais surprenamment efficace. J’ai suivi la méthode pendant quelques jours, et même si les beaux jours (enfin arrivés à la pointe de la Bretagne), les réunions (qui sont toujours là) et un gros petit coup à la motivation subi il y a quelques semaines (duquel je ne parlerai pas) font réduire la productivité, j’ai réussi à avancer à bon rythme.
Alors le premier bilan est très positif, mais mon utilisation est encore récente. Je compte continuer à utiliser la méthode pendant quelques semaines, et faire une évaluation avec un peu plus de recul. Je ne manquerai pas de vous faire un retour de ce bilan.
Et maintenant je vais arrêter, car mon minuteur Android est sur le point de sonner, c’est l’heure de ma pause…
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Sauf mention contraire, mes textes et mes dessins sont soumis à une licence Creative Commons.
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