Billets avec l'étiquette ‘Chrome’

Parts de marché des navigateurs : Internet Explore tombe en dessous de 60%

04-05-2010 par Horacio Gonzalez
Cyber LiB

Selon les résultats du dernier étude MarketShare de Net Applications, la part de Internet Explorer dans le marché des navigateurs serait tombé en dessous de 60%, son niveau le plus bas depuis 1999, lors de la sortie de IE5.

En clair, les parts de marché des quatre premiers navigateurs seraient :

Microsoft Internet Explorer 59.95%
Firefox 24.59%
Chrome 6.73%
Safari 4.72%
Opera 2.30%

C’est très intéressant de comparer ces résultats avec ceux de janvier 2009, quand la nouvelle était que IE tombait sous le 70% de part de marché.

Depuis janvier 2009, la part de marché d’Internet Explorer (toutes versions confondues) est tombé de presque 70% à moins de 60%. A qui a profité cette chute ? Une petite partie va vers le deuxième dans la course, Firefox, qui lui gagne autour de 2.5% de part de marché. Mais surtout à Google Chrome, qui en janvier 2009 avait à peine 1.5% et qui aujourd’hui avoisine le 7%, consolidant sa position comme troisième navigateur dans la course, bien devant Safari, Opera et le reste.

Une autre donnée intéressante et très bienvenue, est la disminution progressive (quoi que encore lente à mon goût) de la part de marché d’IE6. Il a passé de presque 30% en juin 2009 à moins de 18% en avril 2010.

Si on ajoute à ça les déclarations de Dean Hachamovitch, directeur général d’IE chez Microsoft, disant que Le futur de l’Internet est dans le HTML5, on a des raisons pour être optimistes vers un future du web plus libre, ouvert et basé sur des standards…

Mise à jour : la France

Les statistiques précédentes étant globales, c’est toujours bon de vérifier où on est dans le marché français. Dans ce cas, il faut se tourner vers StatCounter :

Microsoft Internet Explorer 49%
Firefox 37%
Chrome 7%
Safari 5%
Opera 3%

On voit bien la perte d’Internet Explorer depuis le début de l’année (les failles de sécurité seraient-elles pour quelque chose ?), qui descend sous la barre de 50% par première fois depuis nombreux années. IE 6 serait à moins de 5%, enfin !

Google Chrome OS : get your tin-foil hat, quick !

08-07-2009 par Horacio Gonzalez
LiB et Google Chrome

Comme vous avez sans doute entendu (et si ce n’est pas le cas, Korben fait un bon résumé), Google vient d’annoncer la sortie l’année prochaine de leur propre système d’exploitation : Google Chrome OS.

Pour moi les points importants c’est que ça sera un système d’exploitation libre, basé sur un noyau Linux, plus ou moins comme Android mais pour les netbooks. Le système sera conçu pour être petit, sûr et rapide. Et ça, c’est une bonne nouvelle.

Mode parano

Mais après l’expérience lors de la sortie de Google Chrome, la paranoïa anti-Google et ses collèctes de données ne devrait pas tarder à faire surface.

Alors je me permets de faire le billet en avance, et rediriger tous les tin-foil hat fans vers mon billet de l’année dernière sur la privacité, Google et les chapeaux en feuille d’étain.

Mais bon, ne laissons pas la raison se mettre dans le chemin d’une bonne théorie de conspiration…

Parts de marché des navigateurs

07-01-2009 par Horacio Gonzalez

Lors de mon dernier billet sur Google Chrome, mon collègue Marc me demandais les sources pour les sur les parts de marché des navigateurs, mais avec ma pause de fin d’année, j’avais laissé la question sans réponse.

C’est vrai que la question n’est pas évident, car il n’y a pas une source universelle fiable pour ce type de statistiques. Mes sources sont donc forcement partiels, tirés des sites web qui publient leurs chiffres, et surtout des agrégateurs de statistiques de trafic comme Xiti.

En novembre 2008, les statistiques Xiti pour l’Europe contredisaient mon billet, avec Chrome ayant à peine 1% du trafic et Opera ayant un très étonnant 5% :

Statistiques Xiti novembre 2008

Cependant, d’autres sources me font prendre ces données Xiti avec des pincettes. Par exemple, MarketShare de Net Applications propose pour ce même mois de novembre des statistiques globales (Xiti ne fournit que des données européennes) dans lesquelles Opera tombe à son 0,7% de part de marché habituel :

Statistiques Net Applications novembre 2008

Et pour le mois de décembre, la tendance est identique, avec IE qui continue doucement à perdre de la part de marché, au profit de Firefox, Safari et Chrome :

Statistiques Net Applications décembre 2008

Bref, lorsqu’on parle de statistiques, il faut pas cette vielle blague qui dit que la statistique est la science qui dit que si j’ai un poulet et tu n’as aucun poulet, on a tous les deux un demi-poulet. Lorsqu’on travaille avec des statistiques et des sondages, c’est difficile de se mettre d’accord, et encore plus difficile de savoir qui se trompe. A niveau international, il semble que Net Applications et leur MarketShare ont plus de crédibilité que Xiti, mais cela n’est qu’une tendance.

Fin de la béta pour Google Chrome

12-12-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Google Chrome

La nouvelle est apparu hier dans le blog officiel de Google : Google Chrome n’est plus en béta.

Avec Chrome, Google semble casser plein d’habitudes, et à peine trois mois après avoir annoncé la première béta, ils libèrent la version 1.0.

La vive polémique suscitée par les conditions d’utilisation et la confiance qu’on pouvait faire a Google eut une durée de vie assez courte, comme on pouvait prévoir.

Aujourd’hui, trois mois après, Google Chrome est devenu un navigateur normal, minoritaire certes lorsqu’on le compare avec Firefox ou IE, mais avec une part du marché comparable à celle de Safari et bien supérieure à celle d’Opera. Beaucoup de développeurs web sérieux ont inclus Chrome dans leurs suites de tests, certains utilisateurs l’emploient comme navigateur principal, d’autres comme navigateur secondaire…

Bref, je trouve assez normal que Google Chrome ne soit plus une béta… mais cela me surprend venant de Google.

Car il faut avouer que c’est quand même étonnant pour Google de finir la phase de béta d’un produit majeur en moins de trois mois, surtout lorsqu’on pense aux années qui se sont écoulé avec GMail ou Google Docs en béta.

Par contre, il semblerait que Google a silencieusement laissé tomber l’idée de faire des versions pour MacOS ou Linux, car sur la page d’accueil de Chrome, ils l’appellent maintenant Google Chrome : un nouveau navigateur Web pour Windows .

Page d'accueil de Google Chrome

Assez décevant attitude, qui contraste bien avec les promesses initiales d’une version multi-plateforme en préparation…

Merci à Marc, qui en pleine partie de WoW m’a prévenu de la fin de la béta pour Google Chrome

Visiteurs utilisant Chrome, un mois après

17-10-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Google Chrome

Dans les jours qu’on suivi la sortie de Google Chrome, j’avais fait un premier billet sur le nombre de visiteurs de mon blog qui utilisaient Google Chrome. Le résultat obtenu pour mon blog “tait qu’un énorme 6% des visiteurs utilisait Chrome ces jours là. Des résultats du même ordre dans plein de blogs montraient bien que Google avait réussi son buzz, et que la sortie de Chrome avait été un succès.

J’avais refait un nouveau point sur l’utilisation de Chrome il y a juste un mois, le 17 septembre, avec un résultat assez semblable, un peu plus de 5,25% des visiteurs venaient encore avec le navigateur Google.

Ce qu’on ne pouvait pas savoir il y a un mois était si cette utilisation de Chrome était due au effet de la nouveauté ou si ça allait tenir sur le temps. En clair, on ne pouvait encore dire si Google Chrome était devenu du jour au lendemain un nouveau combattant de poids dans la guerre des navigateurs, ou si c’était un feu d’un jour.

Aujourd’hui, un mois après, les résultats devraient être plus fiables. Les gens qui continuent à utiliser Chrome aujourd’hui sont, pour la plupart, des gens qui l’ont adopter, soit comme navigateur principal, soit comme secondaire. Ce matin je suis donc retourné sur Google Analytics, et j’ai passé en revue les visites des sept derniers jours, avec les résultats suivants :

Browser stats for lostinbrittany.org

L’utilisation de Google Chrome a effectivement chuté, se plaçant plus ou moins à la moitié des chiffres de la fois précédente. Il reste néanmoins dans une très honorable troisième position, devant Safari.

On peut donc dire que si bien il y a eu un effet de buzz assez impressionnant à la sortie de Chrome, un moi après, une fois le buzz estompé, il y a presque la moitié des gens qui l’ont essayé les premiers jours qui continuent à l’utiliser un mois et demi après.

Les résultats coïncident assez bien avec ce qui Slashdot annonçait, Chrome a perdu dans ce mois-ci la moitié de ses early adopters de début septembre. Quoi qu’en étant juste, on pourrait aussi dire que Chrome a réussi à garder la moitié des early adopters qui l’ont essayé, tout est une question de point de vue.

Iron ou Google Chrome pour les ultra-paranoïaques

25-09-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Google Chrome

Depuis sa sortie, Google Chrome est devenu l’un des sujets fétiches de mon blog, ce qui est plutôt ironique, car je n’utilise le navigateur Google que pour faire des tests. Mais bon…

Un problème…

En revenant sur le sujet, vous vous souvenez qu’il y a eu une grande polémique autour de Google Chrome et les informations qu’il pourrait envoyer à Google. Malgré que la plupart de leurs objections se sont avéré injustifiées et le fait qu’on peut configurer Chrome pour qu’il n’envoie aucun information chez Google, les fans des chapeaux en feuille d’étain n’étaient pas satisfaits.

Des solutions ?

Une première solution venait de la main du projet Chromium le code source de Chrome libéré par Google. Le fait de construire son navigateur à partir des sources permet de s’assurer qu’il n’y a pas des éventuels modules cachés ni spyware qui enverrait vos données chez Google. Par contre, construire l’application à partir des sources n’était pas à la portée de tout le monde.

La solution n’a pas tardé, avec des versions pré-pacagées de Chromium, comme le CrossOver Chromium dont je vous ai parlé la semaine dernière.

Mais même en installant à partir de Chromium, il y a certaines fonctionnalités innés à Chrome (comme la barre d’adresses intelligente) qui, si bien on peut les désactiver facilement, sont activés par défaut. Alors, ce n’est pas encore la solution parfaite pour ceux qui se sent très soucieux de leur privacité.

Une solution dure comme fer

Mode parano

La solution vient de la main de SRWare, une société allemande spécialisé dans des solutions de sécurité. Ils vient de sortir Iron, qui est un navigateur basé sur le code Chromium et offrant les mêmes fonctions de base comme Chrome, mais auquel ils ont enlevé les fonctionnalités qui posent des problème au niveau de la protection des données.

La page est en allemand, mais vous avez ici une traduction automatique (vous apprécierez sans doute la délicieuse ironie d’utiliser Google Translator pour faire la traduction…).

N’appartenant pas au peuple des porteurs de chapeaux en feuille d’étain, ce qui je trouve intéressant dans la démarche n’est pas la création d’Iron en lui même, mais le fait de que moins d’un mois après la sortie, on voit déjà sortir le premier fork1 de Chrome, adapté pour un besoin particulier.

Cela me rassure dans mon avis de que en libérant le code source, Google a donné des ailes à leur navigateur, en ouvrant des perspectives qu’il n’aurait jamais eu si le code était resté propriétaire. Je suis persuadé que d’ici en quelques mois on verra plusieurs projets de ce type voir le jour, chacun avec ses particularités et son public cible, mais tous partageant le même cœur de code. Chrome est là pour rester…

1 Comme mon collègue Raphaël me signale, Iron n’est pas un vrai fork, car ils se limitent à prendre la dernière version de Chromium et modifier certains fichiers. Le code d’Iron ne sera donc pas indépendant de Chromium, mais il sera synchronisé avec chaque nouvelle version du code du navigateur Google.

Mise à jour :

  • Merci à Fred pour le scoop, et à Raphaël et Annaïg pour les corrections.
  • Comme Sophie m’a fait remarquer dans les commentaires, tin-foil n’est plus feuille d’étain, mais feuille d’alu, car en début du XXème siècle ils ont changé le matérial (l’aluminium était moins cher) mais gardé la dénomination classique. Voir Wikipedia pour plus d’info.

Chromium (code source de Chrome) sur Ubuntu

17-09-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Google Chrome

Pour continuer sur le sujet de Google Chrome, il y a du nouveau du côté de leur utilisation sur des systèmes autres que Windows.

Comme je vous ai déjà raconté, j’ai testé Chrome sur Ubuntu en utilisant Wine, mais la méthode demandait un peu de bricolage.

Pour ceux qui n’ont pas envie de faire ces manipulations, depuis quelques jours il y a une solution bien plus simple qui permet d’installer et faire tourner facilement Google Chrome sur MacOS et sur les principales distributions de Linux : CrossOver Chromium, mise au point par les gens de Code Weavers.

Avec le bénéfice ajouté, surtout pour les fans du chapeau en feuille d’alu, de que la version qu’ils proposent ne se base pas dans la version compilé de Google Chrome, mais dans Chromium, le code source libéré par Google (et donc soumis au scrutin des internautes, alors sans des possibles modules cachés) .

Sur le site de CrossOver Chromium vous pouvez donc trouver un installateur .dmg pour Mac OS, les paquets .deb pour Ubuntu (et d’autres distros basées sur Debian), les .rpm de Fedora et un installateur en ligne de commandes pour toute autre distribution Linux.

J’ai donc téléchargé le .deb et je l’ai installé d’un simple click avec l’installateur de paquets d’Ubuntu. Et quelques secondes après, Chromium tournait sur ma machine, sans le moindre accroc.

Chrome sur mon Ubuntu

Après quelques heures d’utilisation, j’ai constaté que cette version de Google Chrome marche mieux que la version officielle tournant sur Wine. La version officielle avait quelques bugs lorsqu’elle tournait sur Wine, surtout dans la barre d’adresses, et dans l’affichage de certaines pages, et pour l’instant je n’ai expérimenté aucun de ces bugs dans ce CrossOver Chromium.

Alors vous n’avez plus d’excuse si vous vous sentiez tenté par Google Chrome mais l’idée de devoir bidouiller pour l’utiliser sur Mac ou Linux vous décourageait. Un simple click et le tour est joué…

Retour sur les visiteurs utilisant Chrome

17-09-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Google Chrome

Ca fait déjà quinze jours de la sortie de Google Chrome, et je crois que ce n’est un secret pour personne que le navigateur de Google a fait beaucoup parler de lui.

Quelques jours après la sortie, j’écrivais un billet en m’étonnant du nombre de visiteurs utilisant Google Chrome sur mon blog, qui était autour du 6%. Dans les commentaires, on me faisait remarquer que c’était beaucoup trop tôt pour tirer des conclusions quelconques sur ces statistiques, avis que je partage complètement. Cependant ce 6%, et surtout des résultats semblables sur plein de sites montraient que Google avait réussi son buzz, que beaucoup de monde avait essayé Chrome.

Aujourd’hui, avec ce première quinzaine de vie de Chrome, c’est encore tôt, mais les données peuvent commencer à être prises avec moins de pincettes. Et en regardant Google Analytics ce matin, sur les visites des derniers sept jours j’ai obtenu ces résultats :

Browser stats for lostinbrittany.org

Les visiteurs utilisant Chrome dépassent encore le 5%, au détriment surtout des utilisateurs de Firefox, et ils sont bien plus nombreux que les utilisateurs de Safari ou Opera. Si bien on peut mettre ça sur l’effet du buzz, au moins cela montre que c’est un buzz qui dure, et que beaucoup de ceux qui ont essayé Chrome continuent à l’utiliser encore deux semaines après.

Prochaine étape, dans quinze jours, lorsque un mois se sera écoulé et on commencera à voir la vraie vitesse du croisière du navigateur de Google…

Greasemonkey pour Google Chrome

10-09-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Google Chrome

Il semble que la production d’outils pour Google Chrome prend son envol. Hier je vous parlais de ChromePlugins.org, un dépôt d’extensions et plugins pour le navigateur Google, et aujourd’hui je vais vous parler de Chromemetal, un petit logiciel équivalent au Greasemonkey pour Firefox.

Greasemonkey est l’une des extensions les plus populaires pour Firefox. Elle permet de modifier le comportement et l’aspect de n’importe quelle page web pour l’adapter aux envies ou besoins de l’utilisateur. Par exemple, si comme moi vous détestez le nouveau interface de Delicious, vous pouvez utiliser Greasemonkey pour que pour vous Del.icio.us devient comme avant (points y compris). Pour faire ça, Greasemonkey s’appuie sur des userscripts, des petits bouts de code en JavaScript que l’extension fait passer après le chargement de la page.

Il y a des scripts pour la plupart de sites webs et pour les besoins les plus diverses, éparpillés partout sur le net. Un bon endroit pour commencer votre recherche est userscripts.org, qui recense les userscripts et permet aux utilisateurs de poster des commentaires et des reviews sur chacun, un peu comme le dépôt d’extensions de Firefox chez Mozilla.

Greasemetal reprend donc ce modèle de fonctionnement de Greasemonkey et l’adapte au Google Chrome. Comme Chrome n’a pas encore une API d’extensions, il a fallu que le concepteur de Greasemetal soit créatif, et le logiciel se présente sur la forme d’un fichier exécutable. L’utilisateur ne démarre plus Chrome directement, mais Greasemetal, qui va lui même appeler Google Chrome. Ce comportement permet à Greaseletal d’agir comme un proxy qui intercepte les appels de Google Chrome et introduit les userscripts au bon endroit pour que Google Chrome les interprète.

Greasemetal est compatible avec la plupart de userscripts sauf ceux qui s’appuient sur des fonctionnalités scepécifiques Greasemonkey. Si vous voulez plus d’information, je vous suggère le blog du créateur de l’outil, Kazuho Oko.

En tout cas, grâce à des projets comme Greasemetal ou ChromePlugins.org, le manque d’adaptabilité de cette première beta de Google Chrome pourrait bientôt n’être plus un problème…

Extensions pour Google Chrome

09-09-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Google Chrome

Une des principales critiques qu’on fait à Google Chrome c’est que dans l’état il est assez pauvre, surtout pour les utilisateurs qui sont habitués à Firefox et sa myriade d’extensions. Si comme moi, vous reprochez cette pauvreté au nouveau navigateur de Google mais vous voudriez continuer à l’utiliser, j’ai peut-être un début de solution pour vous.

Cette ébauche de solution s’appelle ChromePlugins.org, un site dédié aux plugins et extensions pour Google Chrome.

Logiquement, le site est encore à ces débuts, mais cela ne lui empêche d’avoir déjà des outils très intéressants pour Google Chrome, comme le petit programme qui permet de faire des sauvegardes du profil ou les thèmes qui permettent de modifier le look de Chrome pour qu’il prenne des allures de Firefox ou d’application Mac.

Il faut noter que ces outils ont encore plus de mérite car chez Google ils n’ont pas encore développé une API d’extensions, alors les développeurs ont dû mettre les mains dans le code brut du navigateur pour pouvoir les programmer.

Bref, un site très sympathique que j’ai découvert via AccesOWeb.