Billets avec l'étiquette ‘Google’

Google fête Bell

03-03-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Google

Le 3 mars 1847, en Edimburg (Écosse), est né Alexandre Graham Bell, un inventeur qui changera à jamais la façon de communiquer.

En 1876 Graham Bell dépose la brevet d’un instrument étonnant : le téléphone. Le succès de l’invention était fulgurant et en 1877 il crée la Compagnie Téléphonique Bell, qui lui garanti une énorme fortune.

Ou au moins, c’est la version officielle de l’histoire, car il se pourrait bien que l’invention du téléphone ne soit pas oeuvre de Mr. Bell mais du aussi célèbre Antonio Meucci et que Bell ne se soit limité qu’à déposer le brevet en 1876.

En tout cas, aujourd’hui Google célèbre le 161 anniversaire de la naissance d’Alexandre Graham Bell en lui dédiant un logo spécial :

Google et Graham Bell

Trouvé via Abadia Digital.

50 ans de LEGO

28-01-2008 par Horacio Gonzalez
Lib et LEGO

Je fais une petite pause dans ma série de billets sur Warhammer 40,000 pour rendre hommage à LEGO, qu’aujourd’hui célèbre le 50ème anniversaire de ses fameuses briques.

Au début des années 1950, l’entreprise danoise LEGO, qu’à l’époque faisait une bonne partie de son chiffre d’affaire avec des jouets en bois, sortais un concept révolutionnaire, les briques de plastique encastrables. Et un jour comme aujourd’hui il y a cinquante ans, le 28 janvier de 1958, LEGO présentait le nouveau modèle de brique, identique l’actuelle.

Depuis l’entreprise n’a pas arrêté d’aider au développement de l’imagination de millions d’enfants de plusieurs générations. Et c’est pour cela que aujourd’hui j’ai envie de dire bien fort :

Joyeux anniversaire, brique de LEGO !

Pour fêter cet anniversaire, même Google s’habille en LEGO, avec un joli logo spécialement préparé pour l’occasion :

Logo Google LEGO

Trouvé via Microsiervos.

Je joue avec l’androïde

13-11-2007 par Horacio Gonzalez
LiB geek

Il y a quelques années, à la fin de ma thèse, je m’étais lancé au développement d’applications pour les téléphones mobiles, en utilisant Java ME. L’idée était très attirant à l’époque (2004-2005), avec les premiers smartphones qui arrivaient sur le marché à des prix raisonnables, et on commençais à percevoir le potentiel de ces plate-formes portables pour faire des vraies applications connectées.

J’avais commencé de façon autodidacte, en installant le kit de développement Java ME de Sun, avec son environnement de développement et son émulateur. Quelques heures plus tard, après plusieurs essaies, plein d’aller-retour sur la documentation et des consultations sur une dizaine de forums et blogs, j’avais développé ma première application, un lanceur de dés pour World of Darkness, l’un de mes jeux de rôles favoris. Ensuite je me suis vu confronté à un nouveau problème, essayer de mettre mon lanceur de dés sur mon Ntéléphone de l’époque, un Nokia 7252i, mais avec un peu de persévérance j’ai réussi. Il ne semblait pas si dur, ce truc des applications mobiles, non ?

Je n’ai pas trop tardé en me rendre compte de mon erreur, lorsque j’ai découvert à quel point la plate-forme Java ME est fragmenté. En effet, même si la plupart des portables de gamme moyen-haute dissent supporter Java ME, les implémentations de la spécification Java ME différent d’un constructeur à un autre. Si on ajoute à ça la myriade d’extensions propriétaires de chaque constructeur, le développement des applications pour Java ME devient vite un affaire complexe et coûteux. Il fallait donc d’abord développer l’application en utilisant Java ME de la façon la plus générique possible et ensuite faire un portage vers chaque fammile de téléphone cible.

Par des hasard du destin, ce passe-temps est devenu un temps après utile dans ma vie professionnelle, lorsqu’en travaillant pour une SSII j’ai dû développer en Java ME des clients pour une application d’accès multi-modal au SI de la boîte. Là j’ai un peu touché à tous les aspects du développement de Java ME, du support réseau aux IHMs, du son au cryptage. L’espérience a été vraiment intéressant, même si les problèmes liées à la fragmentation et au portage ont consommé presque plus de temps et d’effort que l’application en elle même. Après cette mission, je suis parti sur un sujet plus lié à la voix sur IP, et depuis je n’ai plus eu la chance travailler Java ME (hors quelques petites applications ponctuelles pour une utilisation personnelle), mais je n’ai pas arrêté ma veille technologique sur le sujet.

LiB portable

Il y a quelques mois, j’ai découvert OpenMoko, un projet pour faire un système d’exploitation libre pour les téléphones portables. J’ai cru trouvé là le Graal du développement portable, on ne développerait plus pour que l’application tourne syr chaque type de terminal différent, on développerait l’application pour tourner sur une cible unique, le système d’exploitation. Un système d’exploitation libre comme OpenMoko pouvait résoudre le problème de la fragmentation de la même façon que les systèmes d’exploitation PC le font dans le monde des PCs de bureau. Lors de la sortie du premier téléphone équipé d’OpenMoko, le Neo 1973 dont je vous ai déjà parlé, le projet semblait se concrétiser, mais il était encore loin d’être un vrai système grand public.

Cette semaine la donne a complètement changé. Si vous avez suivi les news ces derniers jous, nous avez sans doute entendu parler d’Android, la nouvelle plate-forme de Google pour des applications mobiles. Android a donc la même vocation qu’OpenMoko, être un système d’exploitation libre et ouvert pour des terminaux portables, avec les outils nécessaires (parmi lesquels une implémentation de Java ME) pour qu’on puisse développer des applications mobiles pour le système sans se soucier du hardware sous-jasent.

Mais là où OpenMoko est un petit projet soutenu par une poignée de développeurs avec plus de courage et envie que des moyens, Android est poussé par Google même, avec le soutien de l’Open Handset Alliance, dont la liste de membres est assez impressionnante.

Et pour montrer que cela est sérieux, à peine une semaine après l’annonce, Google a mis à disposition des développeurs le SDK (kit de développement) d’Android. Vous pouvez le télécharger ici. Moi, je l’ai déjà téléchargé et installé sur mon ordinateur, et j’ai commencé à le regarder.

Alors si mon rythme de blogging se ralentit cette semaine, vous savez à quoi ça sera dû : je serai en train de jouer avec l’androïde !

Halloween par Google

31-10-2007 par Horacio Gonzalez

Ce soir c’est Halloween ! Et, comme d’habitude, Google nous propose un logo spécial pour fêter ce Halloween 2007 :

Google Halloween 2007

Lorsque je l’ai vu, je me suis dit que je le trouve assez moyen, trop chargé, pas aussi fun que ceux des autres années. N’étant pas sûr si c’était qu’une impression à moi, je suis allé récupérer les logos des années précédentes et j’ai fait une petite compilation :

Google's Halloween logos

Alors, qu’en pensez-vous ? C’est lequel votre favori ?

Mon Gmail a grandi

19-10-2007 par Horacio Gonzalez

La semaine dernière la taille de mon Gmail plafonnait à 2,8 Go. Ce matin, en me connectant sur mon compte Gmail, j’ai remarqué que la taille de ma boîte mail a augmenté à quelques 3,8 Go.

Ma boîte Gmail a grandi

J’étais habitué à voir ma boîte grandir doucement, quelque Mo par semaine, comme elle faisait depuis plus d’une année, et cette poussée instantanée de 1 Go m’a bien surpris, comme lorsqu’ils avaient passé de 1,5 Go à 2,5 Go il y a quelque temps.

En n’utilisant Gmail que pour des e-mails, je ne risque pas d’arriver à remplir la boîte dans un future proche, ni même d’arriver à utiliser une partie de ce gigaoctet extra. Mais c’est toujours agréable de avoir des cadeaux, même ceux dont on n’en a pas vraiment besoin 😉

Alors, merci encore, Google !

Joyeux anniversaire, Google !

27-09-2007 par Horacio Gonzalez

Ce matin, en allant sur le site de Google, j’ai remarqué qu’ils avaient un de leurs logos spéciaux :

En cherchant un petit peu, j’ai vite trouvé la raison : aujourd’hui c’est le neuvième anniversaire de Google !

C’est quand même assez étonnant penser que il y a une dizaine d’années Google n’existait pas encore. Le moteur de recherche, Google Earth, Google Maps, Gmail, les différents services, aujourd’hui Google est devenu presque incontournable dans le net. Pour beaucoup d’utilisateurs, Google est presque synonyme d’internet, au point qu’ils se passent de la barre d’adresses du navigateur et des URL et ils utilisent exclusivement la barre de recherche de Google. Et tout ça dans seulement 9 ans…

Joyeux anniversaire, Google !

Horacio dans Google.fr

19-09-2007 par Horacio Gonzalez

Aujourd’hui je vais faire encore une fois preuve de narcissisme. La faute, a Jeff, qui ce soir postait sur Twitter :

On dit bien que la curiosité tua le chat (au moins on dit ça en Espagne), mais étant donné que je ne suis pas un je me suis dit que je pouvais me permettre ce vilain défaut. Je suis donc allé voir sur Google.fr, et j’ai eu l’agréable surprise de constater que mon blog apparaît le premier dans la liste de résultats :

LiB geek

Sur internet, les 15 minutes de célébrité que Andy Warhol augurait à tout le monde sont devenues beaucoup moins, alors il faut mettre ce résultat en perspective. Mais je peux pas m’empêcher de ressentir une certaine fierté, car il y a à peine trois mois mon blog ne figurait même pas dans la première page de résultats sur mon prénom.

Mon prochain objectif ? Obtenir la première place sur la recherche de Horacio Gonzalez 😉

Google Maps vous facilite la vie

22-08-2007 par Horacio Gonzalez
L.i.B. et Google

Vous aurez remarqué que j’aime beaucoup Google Maps. Je l’utilise pas mal dans la vie de tous les jours, pour des trucs pratiques, comme chercher une adresse ou un itinéraire, et pour des trucs plus ludiques comme regarder des images satellite des endroits lointains ou chercher des photos aériennes curieuses.

Une des utilisations les plus sympas de Google Maps reste pouvoir inclure des cartes Google dans des billets de blogs ou des sites web en général. Cependant cette utilisations restait relativement complexe, par rapport à l’inclusion de photos Flickr par exemple. Il semblerait que Google a remarqué le problème, car dans la dernière mise à jour de l’interface de Google Maps ils ont inclus la génération du lien pour l’insertion directe de la carte.

Insertion de carte Google Maps

Maintenant lorsqu’on clique sur “Faire un lien à cette page” on a deux options, le lien HTML classique pour envoyer par e-mail ou messagerie instantanée qui permet à quelqu’un d’aller sur cette carte et un morceau de code HTML à inclure dans une page web pour intégrer la carte dans la page. Il suffit donc de copier et coller ce lien, et nous avons la carte Google Maps sur notre page web :

O.k., c’est un tout petit détail, mais c’est un détail fortement sympathique, non ?

Trouvé grâce à tufuncion.

Pourquoi la DRM est un piège à éviter ? Le cas Google Video Store

16-08-2007 par Horacio Gonzalez

Je reviens à la charge sur un sujet sur lequel j’ai déjà parlé plusieurs fois (certains diraient “déblatéré beaucoup trop” 😉 ) : les DRM (ou la GND, Gestion Numérique des Droits, en bon français).

Lorsque vous achetez en ligne un contenu soumis à la GND (par exemple un vidéo sur iTunes, ou une chanson sur Zune Store), vous téléchargez dans votre ordinateur un fichier que vous ne pouvez pas utiliser quand et comment vous voulez. En effet, pour pouvoir profiter du contenu du fichier (regarder la vidéo, ou écouter la chanson), votre machine doit d’abord contacter le serveur du vendeur pour recevoir l’autorisation. Pas trop grave, vous pouvez vous dire, puisque vous êtes l’acheteur légitime et votre maneouvre va être autorisée sans problème. Pas trop grave… sauf quand cela le devient.

Aujourd’hui je vais vous raconter une histoire vraie qui montre pourquoi la GND est un piège à éviter pour l’acquéreur légitime des contenus. Le protagoniste de l’histoire est une compagnie qui j’apprécie particulièrement : Google, mais qui cette fois a le mauvais rôle.

Il n’y a pas si longtemps, Google ouvrait un site de vidéo en ligne, Google Vidéo. Là bas on pouvait trouver des vidéos gratuits, comme ceux trouvés YouTube ou Dailymotion, mais aussi des contenus payantes, pour lesquels les utilisateurs devaient débourser une quantité entre 2 et 20 dollars pour le droit de les regarder sans aucune limitation.

Une fois le contenu payé, l’utilisateur avait donc le droit de retourner sur Google Video et revoir le video autant de fois qu’il voulait. La vidéo restait dans le site de Google, l’utilisateur ne pouvait donc pas frauder en copiant la vidéo à un ami, mais il pouvait profiter pleinement de ce qu’il avait acheté. Ca semble un bon système, non ? Ben non, vous verrez rapidement pourquoi.

Tout se passait bien, jusqu’à il y a quelques mois, lorsque Google a acheté le leader de la vidéo en ligne, YouTube. Google se retrouvait donc avec deux services de vidéo en ligne qui partageaient un bon nombre de contenus, ce qui n’est pas commercialement très rentable. Et ils ont décidé de faire la seule maneouvre logique, supprimer le moins fort des deux services : Google Video.

Sauf qu’en supprimant Google Video, le site ne sera plus accessible et il sera donc impossible de regarder les vidéos y achetées. Pas de solution alternative, le contenu ne sera plus accessible.

Logiquement, des que la nouvelle est apparu, des centaines de clients se sont plaint à Google, avec le sentiment de s’être faits arnaquer. Et la réponse de Google a été aussi mitigée que décevante, ils proposent de rembourser leurs clients sous la forme de crédit de Google Checkout, leur service de payement en ligne. Pour information, Google Checkuot est un service de payement en ligne minoritaire, il n’est accepté que par une minorité de sites de commerce en ligne, car le marché est dominé par Paypal.

En clair, si ce n’est pas une arnaque, ça lui ressemble beaucoup. Mais c’est légal, car l’utilisateur n’achète pas un bien, un objet, il achète un service. Et les services ont des conditions de finalisation. C’est le piège de la GND.

Pour approfondir dans le sujet des DRM, je vous recommander de faire une balade par le site Stop DRM, avec plein d’information intéressant (malgré le manque d’actualisations ces derniers mois…).

Information sur la fermeture de Google Video trouvé chez Versvs et Error 500.

La calculatrice de Google vous donne la réponse

06-07-2007 par Horacio Gonzalez

La réponse à la Grande Question sur La vie, l’Univers et le Reste, bien sûr. Il suffit de formuler la question à Google (en anglais) : the answer to life the universe and everything.

Voici donc la réponse :

Google donne la réponse

Si seulement il savait aussi nous donner la question…

Note : Si vous comprenez rien à ce billet, vous devez absolument lire Le Guide du Voyageur Galactique de Douglas Adams. Si vous ne le connaissez pas, c’est temps d’aller à votre bibliothèque ou librairie, vous ne le regretterez pas. Jusqu’à là, vous pouvez trouver plus d’information sur cette réponse dans Wikipedia.

En tout cas, je constate une fois de plus l’excellent sens de l’humour des développeurs chez Google 😀