Archive du 24-04-2008

Ubuntu 8.04 vient de sortir

24-04-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Ubuntu

Et je suis bien content d’avoir fait mon passage anticipé à Ubuntu 8.04 avant hier, car les serveurs sont complètement saturés.

Si vous avez un besoin pressant de vous faire avec la dernière version d’Ubuntu aujourd’hui même (i.e. si vous ne pouvez/voulez pas attendre demain ou après demain, quand les choses se normaliseront), la meilleure solution est utiliser un client BitTorrent en téléchargeant le fichier torrent à partir d’un des miroirs de la liste officielle du site d’Ubuntu.

Par exemple (si vous n’avez pas envie de chercher) voici des liens vers torrents d’Ubuntu 8.04 Hardy Heron, grâce aux miroirs de l’Université de Kent :

Et oui, encore un autre exemple d’une utilisation légal et légitime du peer-to-peer

Journée sans Netvibes

24-04-2008 par Horacio Gonzalez

Ce matin, en essayant de me connecter sur ma page Netvibes, je suis tombé sur un message plutôt décourageant :

Netvibes est tombé

Netvibes est resté hors service la plupart de la matinée, et je me suis rendu compte de jusqu’à quel point je suis devenu dépendant de ce superbe outil. Toute ma veille internet est sur Netvibes : des centaines de fils RSS, des post-it, mon Twitter, des e-mails, le widget météo…

Netvibes est vraiment devenu ma page d’accueil, et lorsque je ne peux plus y accéder, je me sens presque perdu. Peut-être devrais-je essayer d’exporter ma page Netvibes à iGoogle, pour ne pas mettre tous les œufs sur le même panier…

Cinéma : [REC]

24-04-2008 par Horacio Gonzalez
LiB zombie

Hier je suis allé voir [REC] au cinéma.

[REC] est un huis clos oppressant et terrifiant, réalisé par deux jeunes réalisateurs espagnols, Jaume Balaguero et Paco Plaza. Si j’avais su qu’ils étaient derrière le film, je me serais de douté de que le film allait bien me plaire, car ces deux là ne sont pas à leur premier coup. Il y a quelques années ils ont sorti La secte sans nom, un film sublimement angoissant, dans le style des films d’Alejandro Amenabar.

Mais je ne savais presque rien du film, je n’avais même pas regardé la bande annonce (qui au fait, c’est vraiment excellente). Je savais seulement que c’était un film espagnol d’horreur, filmé comme si c’était un programme de télé-réalité enregistré en “live” par deux journalistes d’une petite chaîne locale. Je ne savais donc pas trop quoi m’attendre.

Je suis donc rentré dans la salle de cinéma un peu sceptique, et j’en suis sorti vraiment ravi, après avoir passé 80 minutes d’angoisse et frissons, immergé dans une des meilleures histoires d’horreur que j’ai vu ces derniers temps. Je suis vraiment plongé dans l’histoire, au point d’avoir vraiment la frousse à certains moments, et d’être sur les nerfs tout le film.

Je ne vais pas dévoiler la trame du film, je vous laisse aller le voir et profiter de la découverte. Car j’espère bien que vous y irez, ça vaut vraiment la peine.

[REC]

Et en bonus, en préparant ce billet j’ai découvert que il y aura bientôt un remake américain du film, intitulé Quarantine, pour lequel on peut déjà voir la bande annonce. Et à juger par cette bande annonce, le film est extrêmement fidèle à l’original (au point qu’on dirait presque une copie conforme).