Archive du mois 01-2009

Geekette en herbe

29-01-2009 par Horacio Gonzalez

Real como la vida misma...  #023 : Geekette en herbe

Pour cette épisode je me suis permit d’emprunter le style de Lewis Trondheim et José Parrondo pour leur génial Allez raconte.

J’imagine que je n’ai pas besoin d’expliquer qu’est-ce que c’est un zombie, mais peut-être la référence aux daleks est un peu plus obscure…

Et les Monty Python avaient raison

25-01-2009 par Horacio Gonzalez
LostInBrittany

Il y a deux mois, je vous parlais de comment les Monty Python ont ouvert un canal YouTube dédié à la diffusion d’extraits de leurs œuvres.

En ouvrant leur canal YouTube, les Monty Python ont fait un pari : offrir les vidéos gratuitement et proposer en même temps l’achat des support physique, en sachant qu’une petite partie des gens qui visionneront les vidéos voudra ensuite acheter les DVDs. Et même si ce n’est qu’un petit pourcentage, avec des millions de visiteurs ça pourrait vite devenir rentable.

Et bien, moins de deux mois après, le premier bilan les donne raison. Les ventes des DVDs des Monty Python ont monté à la deuxième position dans les listes de vente Amazon, et ses ventes se sont incrémentées de 23 000 percent.

Oui, vous avez bien lu, ils vendent 230 fois plus de DVDs depuis qu’ils ont ouvert leur canal YouTube. Comme quoi leur pari est bien réussi, les vidéos mis gratuitement a disposition des internautes en haute qualité et bonne résolution n’ont pas faire chuter les ventes de leurs DVD mais au contraire, les ventes des DVDs des Monty Python ont dépassée tous leurs records historiques.

Et si comme Chris Anderson dit, le gratuit était le futur du business ? En tout cas, exemples comme celui des Monty Python ou Nine Inch Nails semblent le suggérer…

J’adore qu’un plan se déroule sans accroc

23-01-2009 par Horacio Gonzalez
B.A. Baracus

Aujourd’hui je vais encore vous parler d’anniversaires, mais dans un registre bien différente à celui d’Allan Poe dont je vous parlais lundi.

Car aujourd’hui 23 janvier c’est le 26ème anniversaire d’une série TV mythique qui a marqué mon enfance et celle des gamins de ma génération, The A-Team, plus connu en France comme Agence tous risques.

The A-Team (ou El equipo A comme on la connaissait chez moi) démarre sur les écrans des USA le 23 janvier 1983, mais elle n’arrive en Espagne qu’en 1984 ou 1985, plus ou moins à la même époque qu’une autre série inoubliable, K 2000 (El coche fantástico pour moi).

A l’époque on n’avait que deux chaînes télé en Espagne, TVE1 et TVE2. Les longues après-midis d’été, lorsque la chaleur écrasante nous clouait à l’intérieur de la maison, on n’avait pas trop le choix, on regardait la télé. Dans nos têtes d’enfant, TVE2 était plutôt intello, ils mettaient plein de documentaires animaliers, du sport ennuyant et des émissions sérieuses. On se tournait donc vers TVE1, qui pendant les mois d’été mettait en boucle des épisodes d’Agence tous riques et K 2000 entre 15h30 et 17h30.

A-Team

Les épisodes étaient programmés sans aucun ordre ni aucune planification, et au bout d’un moment on les avait tous vu deux ou trois fois, mais on revenait chaque jour regarder les aventures d’Hannibal, Murdock (Looping chez vous), M.A. (votre Barracuda) et Fénix (ici connu comme Futé).

En réfléchissant avec un regard d’adulte, la série n’était pas très intéressante. C’était une série naïve, tous les épisodes avaient la même structure, l’humour ne volait pas trop haut, des dizaines d’armes étaient employées à chaque épisode sans jamais faire un seul blessé… Mais j’ai beau me dire tout ça, il me suffit d’entendre la musique du générique et je reviens à nouveau ce garçon de dix ans qui rêvait devant sa télé.

En tout cas, parmi ces souvenirs d’enfance qui semblent gravés sur le marbre dans ma mémoire, il y a la phrase de rappel qui démarrait chaque épisode :

En 1972, cuatro de los mejores hombres del ejército americano que formaban un comando, fueron encarcelados por un delito que no habían cometido. No tardaron en fugarse de la prisión en la que se encontraban recluidos. Hoy, buscados todavía por el gobierno, sobreviven como soldados de fortuna. Si tiene usted algún problema y se los encuentra, quizás pueda contratarlos… El Equipo A

Comme Hannibal disait, j’adore qu’un plan se déroule sans accroc…

Bicentenaire de la naissance d’Edgar Allan Poe

19-01-2009 par Horacio Gonzalez
Edgar Allan Poe

Aujourd’hui c’est le bicentenaire de la naissance d’un de mes écrivains favoris, Edgar Allan Poe.

Poe était mort jeune, à l’age de 40 ans, mais il a eu le temps de laisser derrière lui une production litteraire très variée, allant de la poésie à la critique littéraire, en passant par le théâtre et le journalisme. Mais le champ où il excellait, et qui l’a fait devenir une icône du romantisme, c’est la nouvelle policière, un genre qu’on peu presque dire qu’il a inventé.

Mon premier contact avec les œuvres de Poe date de mes 10 ans, lorsque je suis tombé sur un recueil de nouvelles parmi lesquelles il y avait Le puits et le pendule, La chute de la maison Usher, Le Masque de la mort rouge et Double Assassinat dans la rue Morgue.

Ce nuit là je n’ai pas trop dormi. J’ai dévoré le bouquin à la lumière de la lampe caché sur mes drapes, et ensuite j’avais trop peur de fermer l’œil, les images conjurés par les comptes de Poe hantaient mon esprit.

Depuis j’ai lu et relu plein de fois ces nouvelles, et à différence d’autres auteurs, j’ai toujours retrouvé le même plaisir à revisiter ses histoires. Il reste, avec Stoker et Shelley l’un des piliers de la littérature fantastique.

Et au fait, l’œuvre de Poe est tombé dans le domaine publique depuis des années. Vous pouvez donc trouver la plupart de ses nouvelles sur Wikisource, en toute gratuité et toute légalité.

En rangeant des vieilles photos (I) :
Phare du Petit Minou

18-01-2009 par Horacio Gonzalez
LiB en excursion

Aujourd’hui, suite à une petite balade du côté de Vannes, j’ai voulu ranger un peu mes photos… et je me suis rendu compte de que j’avais plus de six mois de photos qui traînaient encore dans la carte mémoire de l’appareil et que je n’avais même pas pris le temps de passer à l’ordinateur et moins encore de classer.

Ce soir je me suis donc mis à la tâche, et j’ai transféré presque mil images de la carte vers le disque dur. Jusqu’à là, pas vraiment de problème. Car la partie qui je redoutais le plus était la classification et rangement de tout ce photo, ainsi que le choix de celles à mettre sur mon compte Flickr.

J’ai commencé par quelques photos du phare et du fort du Petit Minou.

Phare du Minou

Situé dans le goulet de Brest, le phare du Petit Minou indique aux navires l’entrée à la rade. Il a été bâti dans les années 1840 sur un grand rocher au bout du fort du même nom.

Phare du Minou

Le fort était parti du réseau de fortifications érigés par Vauban pour défendre la entrée de la rade de Brest, et à l’époque il couvrait le goulet avec ses plus de 200 canons. Le fort a bien servi pendant plusieurs siècles, et ce n’est qu’au début de XXème, lorsque les relations avec la perfide Albion sont devenus plus cordiales, qu’il a commencé à être démilitarisé.

Mais un bâtiment si impressionnant et si bien placé ne pouvait pas être laissé de côté pendant les grands conflits du siècle dernier. Le fort du Petit Minou a donc été occupé par les allemands en 1940, et ils y ont construit un grand blockhaus qui combiné avec ceux de la Pointe des Espagnols, juste de l’autre côté du goulet, permettaient d’assurer la défense de l’entrée de la rade.

Phare du Minou

Lorsque je suis arrivé à Brest en 2000, le phare et le fort étaient encore classés terrain militaire, et on ne pouvait que les regarder de loin. Ensuite j’ai appris que ils avaient été déclassés et que la ville de Plouzané avait acquis les terrains, mais l’ensemble continuait fermé.

Ce n’est que cet été, en me promenant dans le coin avec mon père pour lui montrer la rade, que j’ai vu que le fort avait été ouvert au public. C’est donc avec un peu d’émotion et beaucoup de curiosité que j’ai pu enfin mettre les pieds à l’intérieur et tirer plein de photos.

Phare du Minou

Ah, j’oubliais, il semblerait que la plage du Petit Minou, en bas du phare, est l’un des meilleurs endroits pour faire du surf dans ce côté de la rade, et tout au long de l’année on y voit des dizaines de passionnés de la planche guettant les vagues.

Phare du Minou

Vous pouvez voir toutes les photos de la journée sur Flickr.

Read It Later, une extension Firefox bien pratique

16-01-2009 par Horacio Gonzalez
Cyber LiB

Trop d’onglets tuent les onglets

Tout est parti de ma façon de faire de la veille technologique. Pendant la journée je tombe sur des dizaines de sites de d’articles que je voudrais lire, mais que je n’ai pas le temps de lire à ce moment. Afin de ne pas les oublier, et pouvoir les lire plus tard, j’ouvre ces sites sur un nouveau onglet Firefox, et je continue ma navigation.

En, conséquence, à la fin de la journée, je me retrouve souvent avec plus de cinquante onglets d’ouvertes sur mon Firefox, qui commence à souffrir de la charge. C’est à ce moment, le soir, que je prends mon temps pour regarder le contenu de ces onglets, l’ajouter à mon Delicious si cela le mérite, et fermer enfin l’onglet.

Cette méthode là a deux inconvénients majeurs :

  • Malgré la stabilité accrue de Firefox 3.0, le navigateur n’est pas vraiment conçu pour avoir un tel nombre d’onglets d’ouvertes (mon record la semaine dernière était à 67). A la fin de la journée le navigateur commence à ramer, faisant des fois que tout l’ordinateur se ralentisse (c’était le cas de la semaine dernière avec ces 67 onglets qui poussaient la consommation de mémoire du navigateur à 1,2 Go).
  • Certains soirs, faut de temps ou d’énergie, je n’ai pas le temps de lire le contenu des onglets. Comme j’utilise TabMix Plus pour garder mes onglets, le lendemain j’ouvre mon navigateur avec la cinquantaine d’onglets du soir précédant… et la plupart des fois je les ferme sans les avoir lu, car sinon je finirais la nouvelle journée avec plus de cent onglets à lire.

Voilà donc mon constat : les onglets ne sont donc pas adaptés à ma façon de faire de la veille technologique sur le net.

Lire la suite… »

Les dangers d’internet

15-01-2009 par Horacio Gonzalez
Paranoïa

Désinformation et paranoïa

Vous avez sûrement vu la campagne publicitaire lancé le mois dernier par le Secrétariat d’Etat à la Famille. Cette campagne, financée avec l’argent de l’Etat (dont l’argent à nous tous) a été diffuse sur les principales chaines TV, et elle prétend alerter la population sur les dangers potentiels d’Internet.

Et quoi dire encore du très bien informé Frédéric Lefebvre, qui déclamait les dangers du net à l’Assemblée Nationale il n’y a pas si longtemps :

L’absence de régulation du Net provoque chaque jour des victimes ! Combien faudra-t-il de jeunes filles violées pour que les autorités réagissent ? Combien faudra-t-il de morts suite à l’absorption de faux médicaments ? Combien faudra-t-il d’adolescents manipulés ? Combien faudra-t-il de bombes artisanales explosant aux quatre coins du monde ? Combien faudra-t-il de créateurs ruinés par le pillage de leurs œuvres ? Il est temps, mes chers collègues, que se réunisse un G20 du Net qui décide de réguler ce mode de communication moderne envahi par toutes les mafias du monde. […] La mafia s’est toujours développée là ou l’État était absent ; de même, les trafiquants d’armes, de médicaments ou d’objets volés et les proxénètes ont trouvé refuge sur Internet, et les psychopathes, les violeurs, les racistes et les voleurs y ont fait leur nid.

Car, bien sûr, internet regorge de néo-nazis, pornographes, jeux violents et surtout pédophiles. Si j’étais un parent qui ne se connaît pas en ordinateurs, et je faisais confiance à ce spot, je laisserais jamais ma fille s’approcher d’un ordinateur, c’est bien trop dangereux !

A les écouter, il vaudrait mieux débrancher sa box et caser la prise à coup de marteau, seulement ainsi on serait sûrs de qu’aucun pédophile va sortir de la prise pour montrer des lapins aux enfants…

Rapport de l’Université de Harvard

Cependant, cette propagande officielle ne tient pas la route, surtout lorsqu’on a des entités indépendantes et fiables qui fournissent des informations contraires. Le Berkman Center for Internet and Society de l’Université de Harvard vient de publier un rapport sur les dangers d’internet pour les enfants, Enhancing child safety and online technologies.

Ce rapport, disponible en téléchargement gratuit, vient à confirmer ce que la plupart d’entre nous savait déjà : l’alarme sur la pretendue insécurité des enfants sur internet et l’image du net comme une repère de prédateurs sexuels n’est plus qu’une histoire à dormir debout.

La population du net est semblable à la population en général. Il y a une bonne partie des gens normaux, et le petit lot de gens qui ne le sont pas. Sur le net il y a des pédophiles, comme il y en a dans le monde réel, et dans la même proportion.

Ca veut dire qu’il ne faut pas prendre de précautions ? Non, ça veut dire qu’il faut prendre les mêmes précautions qu’on prend dans la vraie vie, qu’il faut apprendre aux enfants à ne pas parler avec des inconnus, ni accepter leurs cadeaux, ni partir avec eux, autant dans le monde physique que dans le net. Mais ça veut surtout dire qu’il ne faut pas sombrer dans la paranoïa. Éduquer ? oui ! Informer ? Bien sûr ! Faire peur et crier à l’alarme social ? Non merci !

Maintenant si seulement quelqu’un pouvait expliquer tout ça à cette chère Nadine Morano ou à l’estimable M. Lefebvre…

Une fois de plus à Paris

14-01-2009 par Horacio Gonzalez
LiB à Paris

Je suis à nouveau à Paris pour le travail, et encore une fois je reste pour deux jours.

Soyez cependant rassurés, je ne vais pas rabâcher encore une fois ma relation amour-haine avec Paris. En plus, c’est peut-être l’habitude qui s’installe, mais ce matin j’ai trouvé le RER-Metro moins agaçant que les dernières fois…

Après avoir vu Paris avec les décorations de Noël, c’est maintenant le tour de Paris en soldes. Quoi que les lumières de Noël sont encore là, au moins sur les Champ Elysées.

Je viens d’arriver enfin à l’hôtel, et dès que ce billet sera fini je pars donc faire ma promenade parisienne. J’essayerai de poster un peu plus en rentrant.

L’un des plus beaux ambigrammes

11-01-2009 par Horacio Gonzalez

Hier soir, je suis tombé sur l’un des plus beaux ambigrammes que j’ai jamais vu, et je n’ai pas pu résister la tentation de vous le montrer.

Mais c’est quoi donc un ambigramme ?

Selon Wikipedia, un ambigramme est la figure graphique d’un mot qui, vu sous une certaine symétrie ou avec une certaine rotation, donne soit le même mot, soit un autre mot.

Et si en général une image vaut mil mots, dans ce cas là elle vaut bien dix mil, voici donc une exemple d’ambigramme trouvé sur Wikipedia.

Ambigramme

Un film geek par excellence

Si je devais faire une liste de mes 10 (ou 20, ou 50) films favoris, je serai mal, car il y a beaucoup trop de films que j’aime. Et l’un de ceux que je suis à un peu près sûr qui serait dans la liste, c’est Princess Bride.

LiB et les illusions

Princess Bride, comme le bouquin homonyme de William Goldman sur lequel il se base, est l’un de ceux films capables de plaire à toute la famille mais pour des raisons différentes. Les enfants adoreront cette compte de fées avec des belles princesses, des vilains méchants, des monstres et des pirates. Et les adultes verront plus loin, et ils apprécieront la parodie et un humour avec des touches à la Monty Python.

Le film est sorti en 1987, et au cour des années il est devenu un film culte, dont les citations (“Je souis Inigo Montoya, tou as toué mon père, prépale toi à moulil”) sont connus par tout geek qui se respecte.

Mais tu parlais d’un ambigramme, non ?

Et oui, un peu de patience…

Car l’ambigramme se trouve dans la dernière édition américaine du DVD de Princess Bride, l’édition spéciale 20ème anniversaire. Regardez donc la couverture :

Et oui, vous l’avez peut-être aperçu, mais le titre du film est un ambigramme. Il suffit de tourner la couverture 180° et on voit l’effet :

L’effet est vraiment bluffant, non ? Bien sûr, cette édition spéciale n’est pas sortie en France, et je ne pense pas qu’il sortira. Ce qui d’ailleurs est bien dommage…

Trouve grâce à JustInsomnia.

L’album en MP3 le plus vendu de l’année est sous licence Creative Commons

08-01-2009 par Horacio Gonzalez
LostInBrittany

Ah l’ironie…

Selon la liste de ventes publiée par Amazon, l’album en MP3 le plus vendu de l’année est sous licence Creative Commons, c’est le Ghost I-IV de los Nine Inch Nails (NIN).

Et oui, vous avez bien compris. Les fans de NIN auraient pu aller sur n’importe quel réseau de partage de fichiers et télécharger LÉGALEMENT l’album, puisque il est sur licence CC BY-NC-SA. Beaucoup l’ont fait, à coup sûr, beaucoup plus le feront encore en encore. Mais malgré ça, beaucoup de fans ont acheté l’album (qui pendant sa première semaine a généré plus de 1,6 millions de dollars).

Pourquoi les fans préféreraient payer que télécharger l’album, si les deux actions sont 100% légales ? D’un côté, il y a la facilité de acheter sur la plâteforme Amazon, simple et rapide, plus pratique que chercher le torrent et attendre que ça télécharge. A cela on ajoute un prix assez raisonnable, loin des CDs à 20€ de certains artistes, qui fait que beaucoup préfèrent de payer 5 euros que de s’embêter avec le P2P. Et ensuite et surtout, il y a l’envie de soutenir un groupe qu’on aime. Car lorsqu’on achète leurs albums, on sait que l’argent va aux poches de NIN, non à ceux d’une discographique.

Et en plus d’être leaders de vente avec de la musique gratuite, NIN a réussi d’autres exploits avec Ghost I-IV, comme deux nominations aux Grammy.

J’imagine la rage de certains sociétés d’auteurs qui voient tomber à l’eau leurs discours sur les dommages causés par le partage de la musique et les licences libres aux pauvres auteurs réduits à la misère pour ce piratage. Ce n’est pas le piratage qui est le coupable, la faute est à un modèle commercial caduque, à des prix délirantes et à un refus de voir la réalité en face. Car un autre modèle est possible, et des exemple comme celui de NIN ou celui de Radiohead nous le prouvent.

Trouvé via Pixel y Dixel.