Archive du mois 02-2009

Black-Out

27-02-2009 par Horacio Gonzalez

Comme vous avez peut-être déjà vu, la Quadrature du Net lance une nouvelle campagne de sensibilisation sur le danger qui représente HADOPI.

L’opération s’inspire du black out Néo-Zélandais, pour protester contre cette loi injuste et absurde, qui autorise à déconnecter d’internet les gens de façon arbitraire, sans preuves valables ni procès.

HADOPI - Le Net en France : black-out

LostInBrittany change donc ces couleurs pour se joindre au black out, et je profite de cette occasion pour vous demander de relayer l’opération. Rendez-vous sur la Quadrature du net pour avoir les dernières informations sur ce black out.

Il faut soutenir cette initiative de la Quadrature du net car, comme Korben l’a bien exprimé, c’est maintenant ou jamais. Une fois la loi passé, on ne pourra qu’a subir les erreurs de procédure, les coupures intempestives, la présomption de culpabilité et es abus relatifs au respect de la vie privée.

LEGOrdinateur

24-02-2009 par Horacio Gonzalez
LiB et LEGO

Comme je vous disais lorsque je parlais de la bataille d’Hoth en LEGO, en regardant certains projets je me dis que je ne mérite pas vraiment le titre de geek.

Le dernier exemple c’est celui de The LEGO Computer, que j’ai trouvé grâce à The Brothers Brick.

LEGO computer

The LEGO Computer est le projet d’un passionné de LEGO et des ordinateurs, qui en 2003 a construit avec son gamin un boitier d’ordinateur fait intégralement avec des briques de LEGO. Sans vise, sans colle, tout est tenu par des bonnes vieilles briques de LEGO.

LEGO computer

Apparemment la machine tourne 24h/24, utilisée comme serveur de messagerie, sans aucun problème de sur-chauffage grâce à une architecture bien pensé qui facilite la dissipation de chaleur.

LEGO computer

Et voici une petite vidéo qui montre le démarrage de l’ordinateur (en Windows 98 quand même :gulp_ee: ).

J’ai adoré lorsque à la fin de la vidéo l’ouverture du lecteur CD caché derrière la porte du garage. Voici une autre photo du ce garage-lecteur CD :

LEGO computer

Les images de ce billet appartiennent à legocomputer et elles ne sont pas couvertes par la licence Creative Commons

23-F et le temps qui passe

23-02-2009 par Horacio Gonzalez
Le putschiste Tejero

Aujourd’hui ça fait 27 ans du coup d’état du 23-F en Espagne.

Il y a des événements importants, desquels tous le monde se souvient. Mais pour moi, les vrais moments historiques sont ceux qui marquent à feu dans la mémoire des gens ce qu’ils faisaient et où ils étaient lorsque l’événement s’est produit.

Pour la génération de mes parents, l’un de ces événements était l’arrivée de l’homme à la Lune. On peut demander à n’importe qui de cette génération, il racontera avec toute sorte de détails ses activités ce soir là. Un autre serait l’assassinat de J.F. Kennedy, tous les gens nés avant les années 60s se souviennent de ce jour comme si c’était hier

Le 11-S est un exemple semblable pour les générations trop jeune pour avoir vécu l’arrivée de l’homme à la Lune ou la mort de Kennedy, tout le monde saurait répondre à la désormais typique question d’où étais-tu le 11 septembre?.

Le 23-F est l’un de ces événements marquants, au moins pour les espagnols. A l’époque j’avais même pas cinq ans, et ce 23-F est peut-être la mémoire la plus ancienne dont je me souviens clairement. En fermant les yeux je vois encore ce 23 février 1981, je vois notre vielle télé noire et blanc et les images qu’elle montrait cette soirée là.

Des images du Tejero dans le Congrès des Députés pistolet au poing, du général Gutiérrez Mellado se faisant malmener par des Guardias Civiles lorsqu’il se lève pour ordonner aux putschistes de déposer les armes, des chars de Milans del Bosch dans les rues de Valencia et surtout les images et la voix rassurante du roi Juan Carlos, habillé en uniforme de capitaine général des armées, s’opposant au coup d’état et defendant la Constitution et la démocratie.

Pour être honnête, je ne peux pas dire combien de ces images je les ai vu cet soir-là ou combien lors d’une des innombrables rediffusions des jours suivants. Mais ce 23-F et les jours qui l’ont suivi restent mon plus ancien souvenir.

Vingt-huit ans se sont déjà écoulés, et pour toute une génération ce 23-F n’est qu’une date dans l’histoire, il ne pourraient pas répondre à la question de où étais-tu le 23-F?. Cela ne me rajeunit pas…

Lorsque la vie imite WoW :
Mana Energy Potions

20-02-2009 par Horacio Gonzalez
LiB et WoW

Mana Energy Potions est une entreprise qui produit et commercialise des boisons énergétiques.

Le marché des boisons énergétiques est assez saturé, avec des dizaines de marques allant du leader du marché (RedBull pour ne pas le nombrer) aux marques blanches des grandes surfaces ou même des hard discount.

Pour rentrer dans un tel marché il faut donc un facteur différenciateur, et les gens de Mana Energy Potions ont trouvé le sien : viser un public de joueurs de MMORPG et faire appel à leur sens de l’humeur geek.

Potions
Photo (c) ThinkGeek

Leurs produits sont donc appelés potions et ils sont conditionnés dans des bouteilles à l’image des potions magiques de World of Warcraft, à l’intérieur desquelles ils mettent un cocktail à base de caféine qui se veut plus puissants que deux canettes de RedBull. Ils ont donc une potion de mana (bleu, comme il se doit) et une potion de guérison (rouge, bien sûr).

Lorsque je suis tombé sur le site de Mana Energy Potions, j’ai d’abord pensé à une blague. Certes, très élaborée et très drôle, mais une blague quand même, car une telle chose ne pouvait pas être sérieuse.

Potions
Photo (c) ThinkGeek

A ma surprise, quelques jours après je tombe sur un article d’IGN.com, faisant une critique assez élogieuse de leur potion de guérison. Quelques jours plus tard, j’ai vu les potions en vente sur ThinkGeek, et j’ai été obligé d’admettre que les potions de Mana Energy Potions existent pour de vrai.

Je dois avouer que je goûterais bien ces potions, moi…

Affiches LucasArts

16-02-2009 par Horacio Gonzalez
Guybrush Threepwood

Parmi mes meilleurs souvenirs de l’époque où j’avais mon IBM PC 5155, il y a les jeux d’aventure.

J’ai découvert le genre avec Maniac Mansion, le premier jeu d’une toute nouvelle compagnie, LucasArts. A l’époque j’étais habitué aux jeux de plateformes et aux simulateurs de vol, et Maniac Mansion fut une vraie révélation.

Maniac Mansion était le premier jeu d’aventure graphique du type pinter-et-cliquer.

A Maniac Mansion lui succèdent toute une série de chefs d’œuvre utilisant le même moteur de jeu (le moteur SCUMM) : Indiana Jones et la dernière croisade (1989), The Secret of Monkey Island (1990), Monkey Island 2 (1991), Indiana Jones et le mystère de l’Atlantide (1992), The Day of the Tentacle (1993), Sam and Max hot the road (1993) et The Curse of Monkey Island (1997).

Maniac Mansion
Maniac Mansion, (C) LucasArts

Si comme moi vous gardez des souvenirs inoubliables des ces bijoux des jeux d’aventure, vous serez sans doute intéressés par les travaux de Laserschwert, un fan des jeux SCUMM qui a scanné à très haute résolution les affiches originaux des jeux, et qui les a posté dans des divers forums.

The Secret of Monkey Island
The Secret of Monkey Island, (C) LucasArts

Avec une résolution de 4724 par 6800 pixels, on peut imprimer ces affiches en A3 en gardant une très grande qualité (plus de 400 ppp) et en taille A1 avec une qualité bien plus que correcte. J’ai donc commencé à regarder un imprimeur pas trop cher qui puisse m’imprimer les affiches du Monkey Island 1 et 2, car j’ai envie de changer la décoration de mon salon…

Nouveau générique des Simpson

15-02-2009 par Horacio Gonzalez
LiB simpsonisé

L’année dernière, après vingt ans en antenne1, les Simpson est devenu la série américaine qui a passé plus longtemps sur les ondes2.

Une des constants dans ces 20 années de série est le générique d’ouverture. Sous le rythme de la géniale musique de Danny Elfman, le générique se déroule toujours de la même manière3. Les seules éléments qui changent d’épisode en épisode sont la phrase que Bart écrire dans le tableau de la salle de classe, le solo que Lisa joue dans son cours de musique et le gag lors de l’entrée de la famille Simpson dans le salon à la fin du générique.

Il semblerait que M. Groening a décidé qu’après vingt ans c’est bien temps de changer. A partir d’aujourd’hui, et en profitant que les nouveaux épisodes sont faits et diffusés en HD, le générique d’ouverture change.

Comme vous pouvez voir, le nouveau générique est semblable à l’ancien, mais il incorpore des nouveaux éléments, donnant de la place à des personnages qu’au fil des années sont devenus importants dans la série mais qui étaient absents dans l’ancien générique, ainsi que plein de références et des clin d’œil pour les fans. En conclusion, un nouveau générique qui reprend le générique original et l’adapte à l’actualité de la série, tout en respectant l’esprit des Simpsons.

Et vous, lequel vous préférez ?

1 Vingt-deux ans, si on compte dès leur première apparition à la télé dans The Tracey Ullman Show, sous la forme de sketchs courts.

2 Actuellement ils partagent le record avec Gunsmoke, une vielle série de l’ouest. Mais étant donné que Gunsmoke est passé à la télé de 1955 à 1975, l’égalité ne saurait plus durer après 2009…

3 A l’exception des épisodes spéciaux, comme les Simpson’s Horror Show d’Halloween.

Trouvé via DespuesDeGoogle.

Mise à jour à WordPress 2.7.1 en automatique !

11-02-2009 par Horacio Gonzalez

Jusqu’à ce matin, je pensais qu’en matière de mises à jour d’applications web, on pouvait difficilement faire plus simple que WordPress. Pourtant je me trompais, la nouvelle procédure pour mettre à jour WordPress 2.7 est encore plus simple.

Mises à jour à l’ancienne

J’imagine que si vous lisez mon blog vous êtes au courant de l’ancienne procédure, car j’ai en parlé souvent : il fallait télécharger le fichier .zip ou .tar.gz de la nouvelle version de WordPress, et le décompresser sur le répertoire racine du blog.

Ensuite il suffisait de se connecter à l’interface d’administration, où on nous demandait si on voulait mettre à jour la base de données. Un clic sur Oui et quelques secondes après on arrivait sur l’interface d’administration de la dernière version de WordPress.

Une fois arrivé sur l’interface d’administration, on avait des fois un message en prévenant de que plusieurs plugins avaient des actualisations. Si c’était le cas, on pouvait choisir l’actualisation automatique pour ces plugins et WordPress se chargeait de ramener et installer les dernières versions.

La nouvelle méthode

Avec WordPress 2.7, les développeurs ont inclus un mode automatique pour gérer les mises à jour, qui marche sur le même principe que les mises à jour des plugins.

Ce matin au réveil, en me connectant sur l’interface d’administration du blog, j’ai trouvé le message indiquant que la nouvelle version est disponible.

Wordpress 2.7.1

J’ai cliqué sur le lien et je suis atterri sur la nouvelle page de mise à jour, où on me demandait si je voulais une mise à jour automatique ou manuelle.

Wordpress 2.7.1

J’ai cliqué sur “Mise à jour automatique”, et il a commencé la même procédure que lorsqu’on demande d’actualiser un plugin. Cinq secondes après, mon blog était mis à jour avec WordPress 2.7.1.

Wordpress 2.7.1

Je sais que je le dis un peu trop souvent, mais à chaque mise à jour j’apprécie encore plus WordPress. Des nouvelles fonctionnalités, encore plus de flexibilité, une stabilité à toute épreuve et encore et toujours, une communauté de développeurs et d’utilisateurs ouverte et amiable.

Alors, une fois de plus, je tiens à remercier et féliciter aux gens de WordPress, et aux centaines de codeurs qui travaillent sur leur temps libre pour que WordPress soit une des meilleures plate-formes de blog.

Mise à jour : j’oubliais le pourquoi

Sur le blog de WordPress, ils expliquent que ce 2.7.1 est une mise à jour de maintenance de WordPress 2.7. Elle corrige donc une soixantaine de problèmes mineurs de la version précédente, mais à priori il n’y avait pas de trous de sécurité à fermer.

Il n’y a pas donc besoin d’effectuer la mise à jour en urgence, faites-le lorsque vous aurez un moment de libre. Quoi qu’avec la nouvelle procédure, ce n’est pas pour le temps que ça va vous prendre… :wink_ee:

L’age de glace

09-02-2009 par Horacio Gonzalez
LiB et les illusions

Je vous ai déjà parlé plusieurs fois d’Edgar Mueller et ses œuvres, comme les coulées de lave sur Moose Jaw.

Je vous présente aujourd’hui une des dernières création de monsieur Müller et son équipe, une énorme anamorphose sur le port de Dún Laoghaire pour le dernier Festival of World Culture, un des plus grands festivals d’été en Irlande, avec plus d’un quart de million de visiteurs.

L'Age de Glace, anamorphose sur rue par Edgar Müller

A différence d’autres fois, pour cette anamorphose appelée l’Age de Glace, Edgar Müller a mis sur son site plein de photos du processus de création, où on voit la genèse de l’œuvre, dès premières lignes blanches sur le sol au énorme trompe-l’œil final.

L'Age de Glace, anamorphose sur rue par Edgar Müller

C’est très amusant de regarder les images intermédiaires, de voir comme notre perception nous commence à jouer des tours même si l’effet n’est pas complet.

L'Age de Glace, anamorphose sur rue par Edgar Müller

Et à la fin, lorsqu’on voit l’anamorphose finie et les gens qui semblent voler sur l’abîme, on ne peut que s’admirer devant l’œuvre.

Sur le site d’Edgar Müller vous pouvez donc voir la série complète des images sur l’Age de Glace.

L'Age de Glace, anamorphose sur rue par Edgar Müller

Les photos de ce billet sont propriété de Mr. Müller (pas de licence Creative Commons pour elles donc), je les utilise après avoir reçu son aimable permission pour faire figurer des images de son site sur mon blog.

Au fait, lorsque je préparais ce billet, je me disais que j’avais déjà vu quelque part le nom de Dún Laoghaire, mais je n’arrivais pas à trouver où. Un petit coup de Wikipedia m’a permit de sortir de mes doutes, Dún Laoghaire est une des villes jumelées avec Brest, c’est pour ça que le nom me disait quelque chose. Curieux, non ?

1234567890, un nombre romantique

06-02-2009 par Horacio Gonzalez
LiB romantique

La plupart des utilisateurs des systèmes d’exploitation dérivés d’Unix (dont Linux et Mac OS) sont familiarisés avec l’heure Unix, le système de représentation du temps dans ces systèmes.

La représentation en heure Unix d’un instant donnée est le nombre de secondes entre minuit du 1er janvier 1970 et cet instant-la. Au moment où j’écris ce billet, 22h31 du 7 février de 2009, c’est donc 1234002715 en heure Unix.

Certains valeurs d’heure Unix sont bien connus, soit par son importance comme 2147483647, le moment du bug de l’an 2038*, soit par être des valeurs curieux, comme le passage à l’heure Unix 1000000000, arrivé le 9 septembre 2001.

Et c’est sur l’un de ces valeurs curieux que je voulais vous parler aujourd’hui, l’heure Unix 123456789, qui arrivera le jour de la St Valentin prochain, 14 février un peu après minuit, comme vous pouvez vérifier depuis votre ligne de commandes :


horacio@horacio-portable:~$ date -d "2009-02-14 00:31:30" "+%Z: %s"
CET: 1234567890

C’est amusant, pour une fois la St Valentin va avoir une certaine signification :devil_tb:

Trouvé grâce à DespuesDeGoogle.

* Sur la plupart de systèmes, l’heure Unix est stocké sur 32 bits avec signe. Cela fait que la valeur maximale en heure Unix qu’on peut utiliser dans ces systèmes est le 2 147 483 647 (01111111 11111111 11111111 11111111 en binaire), c’est à dire le 19 janvier 2038 à 3 h 14 min 7 s. Cette nuit-là la représentation du temps fera un boucle. Théoriquement, cela posera un problème au moins aussi grand que celui de l’an 2000, et c’est en s’inspirant de celui-là qu’on le connais comme bug de l’an 2038.

Encore de la neige à Brest

03-02-2009 par Horacio Gonzalez
Neige à Brest !

Hier lorsque je vous parlais de la neige à Brest, je ne m’en doutais pas que ce matin j’allais écrire ce billet depuis ma table du salon, en savourant un deuxième café tout chaud après une deuxième promenade qui m’a permis de constater que il m’est encore impossible de me rendre à mon travail.

Ce matin au réveil, lorsque j’ai regardé par la fenêtre, je me suis dit que ça allait être compliqué. Surtout lorsque j’ai vu plusieurs voitures faire demi-tour avant d’entamer la descente de ma rue et rentrer au parking, ou ces autre voitures que se cumulaient à la sortie de la rue sur une grosse plaque de neige verglacée, sans pouvoir n’avancer ni reculer.

Encore de la neige à Brest !

J’ai essayé deux fois déjà de partir. La première, il m’a suffit de descendre de chez moi pour voir que c’était impossible : trois voitures étaient encore coincées à la sortie de ma rue, de travers sur la chaussée. Je suis donc rentré chez moi et attendu une petite demi-heure.

La deuxième fois cela semblait mieux, ils avaient réussi a mettre les voitures sur le côté. Je suis descendu à pied, en essayant de ne pas trop glisser, pour évaluer la situation. La rue en bas était complètement bloquée, avec des voitures qui attendaient sur place depuis une vingtaine de minutes, selon m’expliquait un conducteur énervé. Au round-point un peu plus loin, un accrochage témoignait des difficultés de la conduite sur neige verglacée. Pas moyen de partir encore, je suis à nouveau rentré.

Encore de la neige à Brest !

En relisant ce billet, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer le sourire aux lèvres de Guillaume en voyant dans les photos comme quelques centimètres de neige suffissent à paralyser la ville. A coup sûr, la plupart des québécois ils n’hésiteraient pas à qualifier cette journée de printanière… J’imagine que ce n’est qu’une question d’habitude.

Encore de la neige à Brest !

A Madrid, par exemple, quelques goutes de pluie suffisent à rendre la circulation chaotique, avec des bouchons interminables, des accrochages et des énervements, tandis qu’ici à Brest, même les plus grosses tempêtes de pluie et vent n’ont presque aucun effet sur le trafic. Cependant, il suffit d’une petite chute de neige et les rues deviennent des patinoires, plus aucun bus ne circule et les principaux axes de la ville se paralysent.

En tout cas, je vais essayer d’attendre une petite heure et je ressayerai de partir… si les voitures en bas de la rue réussissent à dégager, bien sûr. :wink_ee: