En rangeant des vieilles photos (I) :
Phare du Petit Minou

18-01-2009 par Horacio Gonzalez
LiB en excursion

Aujourd’hui, suite à une petite balade du côté de Vannes, j’ai voulu ranger un peu mes photos… et je me suis rendu compte de que j’avais plus de six mois de photos qui traînaient encore dans la carte mémoire de l’appareil et que je n’avais même pas pris le temps de passer à l’ordinateur et moins encore de classer.

Ce soir je me suis donc mis à la tâche, et j’ai transféré presque mil images de la carte vers le disque dur. Jusqu’à là, pas vraiment de problème. Car la partie qui je redoutais le plus était la classification et rangement de tout ce photo, ainsi que le choix de celles à mettre sur mon compte Flickr.

J’ai commencé par quelques photos du phare et du fort du Petit Minou.

Phare du Minou

Situé dans le goulet de Brest, le phare du Petit Minou indique aux navires l’entrée à la rade. Il a été bâti dans les années 1840 sur un grand rocher au bout du fort du même nom.

Phare du Minou

Le fort était parti du réseau de fortifications érigés par Vauban pour défendre la entrée de la rade de Brest, et à l’époque il couvrait le goulet avec ses plus de 200 canons. Le fort a bien servi pendant plusieurs siècles, et ce n’est qu’au début de XXème, lorsque les relations avec la perfide Albion sont devenus plus cordiales, qu’il a commencé à être démilitarisé.

Mais un bâtiment si impressionnant et si bien placé ne pouvait pas être laissé de côté pendant les grands conflits du siècle dernier. Le fort du Petit Minou a donc été occupé par les allemands en 1940, et ils y ont construit un grand blockhaus qui combiné avec ceux de la Pointe des Espagnols, juste de l’autre côté du goulet, permettaient d’assurer la défense de l’entrée de la rade.

Phare du Minou

Lorsque je suis arrivé à Brest en 2000, le phare et le fort étaient encore classés terrain militaire, et on ne pouvait que les regarder de loin. Ensuite j’ai appris que ils avaient été déclassés et que la ville de Plouzané avait acquis les terrains, mais l’ensemble continuait fermé.

Ce n’est que cet été, en me promenant dans le coin avec mon père pour lui montrer la rade, que j’ai vu que le fort avait été ouvert au public. C’est donc avec un peu d’émotion et beaucoup de curiosité que j’ai pu enfin mettre les pieds à l’intérieur et tirer plein de photos.

Phare du Minou

Ah, j’oubliais, il semblerait que la plage du Petit Minou, en bas du phare, est l’un des meilleurs endroits pour faire du surf dans ce côté de la rade, et tout au long de l’année on y voit des dizaines de passionnés de la planche guettant les vagues.

Phare du Minou

Vous pouvez voir toutes les photos de la journée sur Flickr.

Read It Later, une extension Firefox bien pratique

16-01-2009 par Horacio Gonzalez
Cyber LiB

Trop d’onglets tuent les onglets

Tout est parti de ma façon de faire de la veille technologique. Pendant la journée je tombe sur des dizaines de sites de d’articles que je voudrais lire, mais que je n’ai pas le temps de lire à ce moment. Afin de ne pas les oublier, et pouvoir les lire plus tard, j’ouvre ces sites sur un nouveau onglet Firefox, et je continue ma navigation.

En, conséquence, à la fin de la journée, je me retrouve souvent avec plus de cinquante onglets d’ouvertes sur mon Firefox, qui commence à souffrir de la charge. C’est à ce moment, le soir, que je prends mon temps pour regarder le contenu de ces onglets, l’ajouter à mon Delicious si cela le mérite, et fermer enfin l’onglet.

Cette méthode là a deux inconvénients majeurs :

  • Malgré la stabilité accrue de Firefox 3.0, le navigateur n’est pas vraiment conçu pour avoir un tel nombre d’onglets d’ouvertes (mon record la semaine dernière était à 67). A la fin de la journée le navigateur commence à ramer, faisant des fois que tout l’ordinateur se ralentisse (c’était le cas de la semaine dernière avec ces 67 onglets qui poussaient la consommation de mémoire du navigateur à 1,2 Go).
  • Certains soirs, faut de temps ou d’énergie, je n’ai pas le temps de lire le contenu des onglets. Comme j’utilise TabMix Plus pour garder mes onglets, le lendemain j’ouvre mon navigateur avec la cinquantaine d’onglets du soir précédant… et la plupart des fois je les ferme sans les avoir lu, car sinon je finirais la nouvelle journée avec plus de cent onglets à lire.

Voilà donc mon constat : les onglets ne sont donc pas adaptés à ma façon de faire de la veille technologique sur le net.

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Les dangers d’internet

15-01-2009 par Horacio Gonzalez
Paranoïa

Désinformation et paranoïa

Vous avez sûrement vu la campagne publicitaire lancé le mois dernier par le Secrétariat d’Etat à la Famille. Cette campagne, financée avec l’argent de l’Etat (dont l’argent à nous tous) a été diffuse sur les principales chaines TV, et elle prétend alerter la population sur les dangers potentiels d’Internet.

Et quoi dire encore du très bien informé Frédéric Lefebvre, qui déclamait les dangers du net à l’Assemblée Nationale il n’y a pas si longtemps :

L’absence de régulation du Net provoque chaque jour des victimes ! Combien faudra-t-il de jeunes filles violées pour que les autorités réagissent ? Combien faudra-t-il de morts suite à l’absorption de faux médicaments ? Combien faudra-t-il d’adolescents manipulés ? Combien faudra-t-il de bombes artisanales explosant aux quatre coins du monde ? Combien faudra-t-il de créateurs ruinés par le pillage de leurs œuvres ? Il est temps, mes chers collègues, que se réunisse un G20 du Net qui décide de réguler ce mode de communication moderne envahi par toutes les mafias du monde. […] La mafia s’est toujours développée là ou l’État était absent ; de même, les trafiquants d’armes, de médicaments ou d’objets volés et les proxénètes ont trouvé refuge sur Internet, et les psychopathes, les violeurs, les racistes et les voleurs y ont fait leur nid.

Car, bien sûr, internet regorge de néo-nazis, pornographes, jeux violents et surtout pédophiles. Si j’étais un parent qui ne se connaît pas en ordinateurs, et je faisais confiance à ce spot, je laisserais jamais ma fille s’approcher d’un ordinateur, c’est bien trop dangereux !

A les écouter, il vaudrait mieux débrancher sa box et caser la prise à coup de marteau, seulement ainsi on serait sûrs de qu’aucun pédophile va sortir de la prise pour montrer des lapins aux enfants…

Rapport de l’Université de Harvard

Cependant, cette propagande officielle ne tient pas la route, surtout lorsqu’on a des entités indépendantes et fiables qui fournissent des informations contraires. Le Berkman Center for Internet and Society de l’Université de Harvard vient de publier un rapport sur les dangers d’internet pour les enfants, Enhancing child safety and online technologies.

Ce rapport, disponible en téléchargement gratuit, vient à confirmer ce que la plupart d’entre nous savait déjà : l’alarme sur la pretendue insécurité des enfants sur internet et l’image du net comme une repère de prédateurs sexuels n’est plus qu’une histoire à dormir debout.

La population du net est semblable à la population en général. Il y a une bonne partie des gens normaux, et le petit lot de gens qui ne le sont pas. Sur le net il y a des pédophiles, comme il y en a dans le monde réel, et dans la même proportion.

Ca veut dire qu’il ne faut pas prendre de précautions ? Non, ça veut dire qu’il faut prendre les mêmes précautions qu’on prend dans la vraie vie, qu’il faut apprendre aux enfants à ne pas parler avec des inconnus, ni accepter leurs cadeaux, ni partir avec eux, autant dans le monde physique que dans le net. Mais ça veut surtout dire qu’il ne faut pas sombrer dans la paranoïa. Éduquer ? oui ! Informer ? Bien sûr ! Faire peur et crier à l’alarme social ? Non merci !

Maintenant si seulement quelqu’un pouvait expliquer tout ça à cette chère Nadine Morano ou à l’estimable M. Lefebvre…

Une fois de plus à Paris

14-01-2009 par Horacio Gonzalez
LiB à Paris

Je suis à nouveau à Paris pour le travail, et encore une fois je reste pour deux jours.

Soyez cependant rassurés, je ne vais pas rabâcher encore une fois ma relation amour-haine avec Paris. En plus, c’est peut-être l’habitude qui s’installe, mais ce matin j’ai trouvé le RER-Metro moins agaçant que les dernières fois…

Après avoir vu Paris avec les décorations de Noël, c’est maintenant le tour de Paris en soldes. Quoi que les lumières de Noël sont encore là, au moins sur les Champ Elysées.

Je viens d’arriver enfin à l’hôtel, et dès que ce billet sera fini je pars donc faire ma promenade parisienne. J’essayerai de poster un peu plus en rentrant.

L’un des plus beaux ambigrammes

11-01-2009 par Horacio Gonzalez

Hier soir, je suis tombé sur l’un des plus beaux ambigrammes que j’ai jamais vu, et je n’ai pas pu résister la tentation de vous le montrer.

Mais c’est quoi donc un ambigramme ?

Selon Wikipedia, un ambigramme est la figure graphique d’un mot qui, vu sous une certaine symétrie ou avec une certaine rotation, donne soit le même mot, soit un autre mot.

Et si en général une image vaut mil mots, dans ce cas là elle vaut bien dix mil, voici donc une exemple d’ambigramme trouvé sur Wikipedia.

Ambigramme

Un film geek par excellence

Si je devais faire une liste de mes 10 (ou 20, ou 50) films favoris, je serai mal, car il y a beaucoup trop de films que j’aime. Et l’un de ceux que je suis à un peu près sûr qui serait dans la liste, c’est Princess Bride.

LiB et les illusions

Princess Bride, comme le bouquin homonyme de William Goldman sur lequel il se base, est l’un de ceux films capables de plaire à toute la famille mais pour des raisons différentes. Les enfants adoreront cette compte de fées avec des belles princesses, des vilains méchants, des monstres et des pirates. Et les adultes verront plus loin, et ils apprécieront la parodie et un humour avec des touches à la Monty Python.

Le film est sorti en 1987, et au cour des années il est devenu un film culte, dont les citations (“Je souis Inigo Montoya, tou as toué mon père, prépale toi à moulil”) sont connus par tout geek qui se respecte.

Mais tu parlais d’un ambigramme, non ?

Et oui, un peu de patience…

Car l’ambigramme se trouve dans la dernière édition américaine du DVD de Princess Bride, l’édition spéciale 20ème anniversaire. Regardez donc la couverture :

Et oui, vous l’avez peut-être aperçu, mais le titre du film est un ambigramme. Il suffit de tourner la couverture 180° et on voit l’effet :

L’effet est vraiment bluffant, non ? Bien sûr, cette édition spéciale n’est pas sortie en France, et je ne pense pas qu’il sortira. Ce qui d’ailleurs est bien dommage…

Trouve grâce à JustInsomnia.

L’album en MP3 le plus vendu de l’année est sous licence Creative Commons

08-01-2009 par Horacio Gonzalez
LostInBrittany

Ah l’ironie…

Selon la liste de ventes publiée par Amazon, l’album en MP3 le plus vendu de l’année est sous licence Creative Commons, c’est le Ghost I-IV de los Nine Inch Nails (NIN).

Et oui, vous avez bien compris. Les fans de NIN auraient pu aller sur n’importe quel réseau de partage de fichiers et télécharger LÉGALEMENT l’album, puisque il est sur licence CC BY-NC-SA. Beaucoup l’ont fait, à coup sûr, beaucoup plus le feront encore en encore. Mais malgré ça, beaucoup de fans ont acheté l’album (qui pendant sa première semaine a généré plus de 1,6 millions de dollars).

Pourquoi les fans préféreraient payer que télécharger l’album, si les deux actions sont 100% légales ? D’un côté, il y a la facilité de acheter sur la plâteforme Amazon, simple et rapide, plus pratique que chercher le torrent et attendre que ça télécharge. A cela on ajoute un prix assez raisonnable, loin des CDs à 20€ de certains artistes, qui fait que beaucoup préfèrent de payer 5 euros que de s’embêter avec le P2P. Et ensuite et surtout, il y a l’envie de soutenir un groupe qu’on aime. Car lorsqu’on achète leurs albums, on sait que l’argent va aux poches de NIN, non à ceux d’une discographique.

Et en plus d’être leaders de vente avec de la musique gratuite, NIN a réussi d’autres exploits avec Ghost I-IV, comme deux nominations aux Grammy.

J’imagine la rage de certains sociétés d’auteurs qui voient tomber à l’eau leurs discours sur les dommages causés par le partage de la musique et les licences libres aux pauvres auteurs réduits à la misère pour ce piratage. Ce n’est pas le piratage qui est le coupable, la faute est à un modèle commercial caduque, à des prix délirantes et à un refus de voir la réalité en face. Car un autre modèle est possible, et des exemple comme celui de NIN ou celui de Radiohead nous le prouvent.

Trouvé via Pixel y Dixel.

Parts de marché des navigateurs

07-01-2009 par Horacio Gonzalez

Lors de mon dernier billet sur Google Chrome, mon collègue Marc me demandais les sources pour les sur les parts de marché des navigateurs, mais avec ma pause de fin d’année, j’avais laissé la question sans réponse.

C’est vrai que la question n’est pas évident, car il n’y a pas une source universelle fiable pour ce type de statistiques. Mes sources sont donc forcement partiels, tirés des sites web qui publient leurs chiffres, et surtout des agrégateurs de statistiques de trafic comme Xiti.

En novembre 2008, les statistiques Xiti pour l’Europe contredisaient mon billet, avec Chrome ayant à peine 1% du trafic et Opera ayant un très étonnant 5% :

Statistiques Xiti novembre 2008

Cependant, d’autres sources me font prendre ces données Xiti avec des pincettes. Par exemple, MarketShare de Net Applications propose pour ce même mois de novembre des statistiques globales (Xiti ne fournit que des données européennes) dans lesquelles Opera tombe à son 0,7% de part de marché habituel :

Statistiques Net Applications novembre 2008

Et pour le mois de décembre, la tendance est identique, avec IE qui continue doucement à perdre de la part de marché, au profit de Firefox, Safari et Chrome :

Statistiques Net Applications décembre 2008

Bref, lorsqu’on parle de statistiques, il faut pas cette vielle blague qui dit que la statistique est la science qui dit que si j’ai un poulet et tu n’as aucun poulet, on a tous les deux un demi-poulet. Lorsqu’on travaille avec des statistiques et des sondages, c’est difficile de se mettre d’accord, et encore plus difficile de savoir qui se trompe. A niveau international, il semble que Net Applications et leur MarketShare ont plus de crédibilité que Xiti, mais cela n’est qu’une tendance.

LEGO Star Wars : La bataille d’Hoth

06-01-2009 par Horacio Gonzalez
Star Wars

Après avoir vu des choses comme l’Étoile de la Mort LEGO, je pensais que rien ne pouvait me surprendre dans le domaine des LEGO Star Wars. Bien, encore une fois, je me trompais.

Hier, en me promenant par Enrolados je suis tombé sur la galerie Flickr d’un vrai fan de Star Wars et LEGO. L’auteur, brickplumber, ne se limite pas à faire des customisations ou des petits dioramas, il recrée carrément des scènes des films à une échelle et avec un niveau de détail que j’avais rarement vus.

Sa dernière création est une scène de la bataille de Hoth, avec les Snowtroopers et AT-AT de la Force Blizzard qui attaquent les positions des troupes rebelles.

Bataille de Hoth, par brickplumber
Extérieur de la base rebelle

Si la vue extérieure est déjà impressionnante, que dire de l’intérieur, avec le Faucon Millenium et les pilotes de l’Escadron Rogue.

Bataille de Hoth, par brickplumber
Intérieur de la base rebelle

Bref, un vrai boulot de passionné, avec d’innombrables heures de travail et des dizaines de milliers de pièces LEGO derrière. Et en plus, brickplumber nous offre aussi le making of et des dizaines d’autres photos de cet incroyable projet.

Face à des passionnés comme brickplumber, je me dis que je ne mérite pas vraiment le titre de geek

Noche de Reyes

05-01-2009 par Horacio Gonzalez
Lib à Noël

Une fois de plus, on est le 5 janvier, la nuit des Rois Mages, la Noche de Reyes.

Malgré les années passées en France, je trouve toujours bizarre de voir comme cette nuit, si magique en Espagne, passe inaperçue ici. Les fêtes ne sont déjà qu’un souvenir, les décorations commencent à être enlevées, et je me sens en décalage car pour moi Noël ne finit que le 6 janvier, avec l’arrivée des Rois Mages et leurs cadeaux.

Et cette année la sensation est accentuée car ma fille n’est pas avec moi ce soir. Les années précédentes j’avais essayé de perpétuer la tradition de la Noche de Reyes avec elle, on avait préparé ensemble un bon dîner, on avait mis les chaussures à côté de la crèche et, bien sûr, on avait laissé trois petits verres de lait et trois tas de gâteaux au cas où les trois souverains aient un petit creux dans leur longue nuit de travail. La nuit venue, pendant qu’elle dormait, je déposais les cadeaux à côté de ses chaussures, là où elle les découvrait avec joie le lendemain.

Noche de Reyes

Cette année pas de chaussures, pas de cadeaux à emballer, pas de moments magiques. En fait, si mon père ne m’avait pas appelé pour me le rappeler, je crois que je n’aurais même pas pensé à faire quoi que ce soit de spécial.

Alors je me sers de ce billet pour célébrer à ma façon cette Nuit des Rois 2009, et je vais quand même me forcer à laisser les chaussures de ma fille sous la crèche et à y déposer un petit cadeau qu’elle découvrira le week-end en arrivant à la maison…

Ubuntu HowTo : Générer une liste des paquets installés

30-12-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Ubuntu

Ces derniers temps j’ai été amené à installer ou réinstaller Ubuntu sur plusieurs machines, autant au travail qu’à la maison.

L’installation d’un nouveau poste à partir d’un poste existant est très simple, il suffit de créer les trois partitions, installer le système et ensuite copier les /home et /opt sur la cible. Comme je fais toujours des partitions différentes pour /, /home et /opt, la réinstallation est encore plus rapide, il suffit de réinstaller le système sur la partition /.

La seule chose qui m’embête est donc devoir installer manuellement tous les paquets qui ne sont pas installés par défaut. Lorsque j’installe un poste tous les mois, cela ne me dérange pas trop, mais lorsqu’il me fallait répéter le processus trois ou quatre fois en quelques jours, je me suis dit que mieux que devoir chercher les paquets à la mais je pourrais trouver comment automatiser le processus.

La solution est pourtant assez simple, il suffit de penser à se servir de dpkg :

  1. D’abord, on génére la liste des paquets installés sur le poste original :

    $~ dpkg --get-selections > /tmp/liste_paquets.txt

  2. Ensuite on copie la liste de paquets sur la machine cible
  3. Et on finit par installer tous les paquets de la liste avec une simple ligne :

    $~ dpkg --set-selections < /tmp/liste_paquets.txt $~ dselect

Encore une fois, ce n'est pas une astuce très élaborée, mais elle m'a permit d'aller beaucoup plus vite avec mes installations...