WordPress 2.3.3

05-02-2008 par Horacio Gonzalez
LiB devant l'ordinateur

Pendant que je prend mon petit déjeuner j’ai par habitude aller voir mon blog, surtout pour voir si il y a des nouveaux commentaires. Et oui, encore une fois c’est une preuve de mon narcissisme 😉

Aujourd’hui, en arrivant sur le Tableau de bord de WordPress, j’ai vu qu’il y avait une mise à jour de sécurité qu’il recommandé d’installer d’urgence.

En effet, une faille avait été trouvé dans l’implémentation du protocole XML-RPC, qui permettais à des utilisateurs éditer des billets qui n’étaient pas à eux. Presque aussitôt trouvée, la faille avait été corrigée avec une nouvelle version de WordPress, la 2.3.3.

Comme dans mon blog je n’ai qu’un utilisateur (moi même), à priori le bug ne m’affectait pas, mais étant donné que la procédure de mise à jour est extrêmement simple, et que le message me demandant de mettre à jour mon WordPress me nargeait depuis toutes les pages de l’interface d’administration, j’ai pris cinq minutes (sans exagération !) et j’ai actualisé. Et maintenant mon blog tourne donc sur Worpress 2.3.3.

J’adore quand un plan se déroule sans accroc !

Billig

04-02-2008 par Horacio Gonzalez

Après huit années en Bretagne, il n’y a pas de doute, je commence à me bretonniser. L’un des signes les plus marqués de cette bretonnisation est mon goût immodéré pour les crêpes.

Avant débarquer dans la pointe de la Bretagne, les crêpes étaient pour moi quelque chose un peu exotique qu’on mangeait pour le goûter une ou deux fois par année chez la soeur de mon père, ou dans un de ces nouveaux restaurants appelés “crêperies” qui commençaient à s’ouvrir dans certains quartiers chic de Madrid.

C’est en arrivant à Nantes, en 1999, que j’ai découvert les vraies crêpes, tout juste sorties du billig dans une petite crêperie du quartier du Bouffay. J’ai découvert aussi les galettes, ces crêpes au blé noir aussi savoureuses que exotiques pour mon palais espagnol.

Ensuite, après avoir déménagé sur Brest, mon goût pour les crêpes et galettes n’a pas cessé de grandir. Et non seulement les crêpes de crêperie, mais aussi les crêpes à la maison, soi achetées chez le boulanger, soit faites par moi même en utilisant des recettes semblables à celles proposées par Wikipedia, sur ma fidèle poêle à crêpes. Bien sûr, une crêpe fait sur la poêle n’a rien à voir avec une vraie crêpe faite sur un billig, mais bon…

LiB et la chandeleur

Hier dimanche je suis allé chez la mère d’une amie pour un goûter crêpes, question de célébrer, avec 24h de retard, la chandeleur, le jour des crêpes. La mère de cette amie a un billig, et on a mangé une tonne d’excellentes crêpes. Et, par première fois, j’ai essayé de faire une crêpe sur billig. J’étais sûr que j’allais la rater, ça semble assez difficile à faire. Mais, à ma grande surprise, j’ai réussi à faire une crêpe assez bien foutue.

En partant, j’ai pris donc une résolution, m’acheter un billig. Pouvoir faire des crêpes à la maison, lorsque je voudrai, des vraies crêpes, non celles qu’on fait à la poêle.

Et oui, un espagnol avec un billig, qu’est-ce qu’il ne faudra pas voir…

Mes illusions d’optique : le raté des étoiles tournantes

03-02-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et les illusions

Il y a une quinzaine de jours je vous montrais ma première illusion d’optique. Depuis je n’ai pas trouvé le temps de m’y mettre à nouveau, même si j’avais plusieurs idées que je voulais tester.

Ce soir j’ai enfin pris le temps de les mettre en pratique avec Inkscape. L’effet que j’avais en tête était utiliser la même technique que dans la première illusion pour faire une sorte de roue qui semble tourner.

J’ai donc commencé par faire une étoile de 8 pointes, et la remplir avec des cercles au bord bi-coloré, comme ceux utilisés dans ma première illusion, orientés selon l’angle de la pointe correspondante. Dans ma tête, cela devait faire que lorsqu’on regardait l’illusion, elle semblerait bouger. Mais malheureusement, sur l’écran l’effet est beaucoup moins intéressant que dans ma tête :

L'étoile tournante, v1

Je me suis dit que l’effet serait sûrement plus clair si j’ajoutais plus de pointes à mon étoile, afin d’augmenter la densité des cercles. J’ai donc refait la manipulation avec une étoile à 16 pointes :

L'étoile tournante, v2

Je ne m’étais donc pas complètement trompé, l’effet est plus prononcé, mais il est loin d’être aussi spectaculaire que je n’aurais voulu.

Sur ce deuxième échec, j’ai décidé d’arrêter pour ce soir, car il fallait que je repense ma technique.

Conclusion : on ne peut pas réussir à tous les coups… 😀

Exploration planétaire

02-02-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Warhammer 40,000

La semaine dernière j’avais commencé une série de billets sur Warhammer 40,000 et je n’ai pas encore trouvé le temps de la finir.

En attendant, aujourd’hui je vais me limiter à vous montrer un dessin que j’ai fait hier soir, une petite troupe de Space Marines dans une mission d’exploration planétaire.

Warhammer 40,000 : Exploration planétaire

Je suis assez content de l’effet, qu’est-ce que vous en pensez ?

Migration vers WordPress, étape 2

01-02-2008 par Horacio Gonzalez
LiB geek

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais la migration démarrée hier et maintenant complète. En fait, si j’ai bien fait mon boulot, c’est probable que ce migration ait passé complètement inaperçue 😉

Lorsque je parlais avec une amie de cette migration, je me suis aperçu que pour plein de monde c’était difficile à comprendre. En effet, elle est allée sur le blog, et elle l’a trouvé pareil qu’avant hier, rien n’avait vraiment change. Alors, pourquoi je faisais tout ce scandale avec la migration, si après tout c’était pareil ?

Et d’une certaine façon, elle a raison. Du point de vue du lecteur du blog, il n’y a pas grande chose qui a changé*. Si le blog était une voiture, je dirais que la carrosserie est presque identique (j’ai bien tuné la nouvelle voiture pour y arriver), mais à l’intérieur les moteurs sont complètement différentes, à la place du petit moteur diesel 1.2l, un peu vieillot mais fiable (Doctlear 1.2.6) j’ai maintenant le 2,2l HdI 16v des moteurs de blogs (un WordPress 2.3.2 flambant neuf) 😀

Olivier me demandais dans son commentaire les raisons pour changer. J’expliquerai ça en détail dans un autre billet, mais pour le moment je peux vous dire que la fonctionnalité qui m’a fait basculer est la possibilité de gérer toute l’apparence du blog depuis l’interface d’administration : le thème, le style, les couleurs, les images, la barre latérale… On peut tout changer, et les changements sont directement visibles sur le blog. Ca me fait gagner un temps fou par rapport au système que j’utilisais avec Dotclear (télécharger les fichiers, les modifier, les uploader à nouveau, vérifier si ça marche), et je peux le faire depuis n’importe quel ordinateur.

Parmi les avantages de WordPress, une autre est l’énorme nombre de plugins disponibles, qui me permettra d’ajouter des nouvelles fonctionnalités au blog, mais je parlerai de ça à fur et à mesure…

* : Parmi les changements cosmétiques déjà en place, je voudrais citer l’ajout des Gravatars dans les commentaires. Si vous n’avez pas encore votre Gravatar, je vous invite à le créer et à le tester en laissant un petit commentaire sur ce billet… 😉

Migration vers WordPress, étape 1

31-01-2008 par Horacio Gonzalez
LiB geek

Ce soir je commence ma migration vers WordPress, après presque deux ans sur Dotclear. Je raconterai le processus en détail sur un autre billet, car comme je n’ai pas fini j’ai envie de continuer à bosser sur la migration.

J’ai commencé par installer un WordPress vierge, l’install par défaut.

LiB sur wordpress avant
LiB sur WordPress, avant

J’ai donc importé mes billets, tags et liens de mon blog vers ce WordPress. Ensuite, j’ai travaillé sur le thème pour essayer de recréer le look de mon blog sur le WordPress. Et je dois dire que je suis assez satisfait du résultat 🙂

LiB sur wordpress après
LiB sur WordPress, après
Et demain je m’attaque au .htaccess qui vont rediriger le trafic…

L’utilisation de Firefox en Europe continue à progresser

30-01-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Firefox

XiTi Monitor a récemment sorti un nouveau rapport sur le web, cette fois centré sur l’évolution de l’utilisation de Firefox en Europe en 2007.

La conclusion est sans appel, le pourcentage moyen d’utilisation de Firefox dans des pays européens a augmenté de 5 points dans l’année 2007.

Utilisation de Firefox en Europe en 2007

Les résultats par pays sont assez intéressants. La moyenne européenne est de 28%, mais certains pays (Finlande, Hongrie, Pologne, Slovaquie et Slovénie) sont au delà de 40% d’utilisateurs de Firefox, et 8 autres pays (parmi lesquels la Grèce et l’Allemagne) sont entre 30% et 40%.

La seule note négative est que les deux pays qui m’intéressaient le plus dans l’étude, la France et l’Espagne, sont au dessous de la moyenne, 21,5% pour l’Espagne et 25,8% pour la France.

Utilisation de Firefox en Europe en 2007

Pour ma part, en 2007 la moyenne d’utilisation de Firefox par les visiteurs de mon blog a été de 50.80% (face à 42.89% d’Internet Explorer 😉 ).

Trouvé via StandBlog et Abadia Digital.

gBrainy, entraîneur mental pour Linux

29-01-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Ubuntu

Depuis l’apparition du superbe Programme d’entraînement cérébral du Dr Kawashim pour la Nintendo DS, les jeux pour stimuler les capacités mentales sont devenus de plus en plus populaires.

Hier soir j’ai découvert gBrainy, un jeu d’entraînement mental pour Linux, et je dois dire que je l’ai trouvé excellent. gBrainy propose des différents jeux qui permettent de stimuler son cerveau presque sans se rendre compte, avec du calcul mental, des puzzles et des jeux de mémoire. L’interface est très simple et agréable à utiliser. Certains jeux sont un peu compliqués, certes, mais cela fait que le jeu soit encore plus intéressant 🙂

gBrainy

gBrainy a été conçu sur la plate-forme Mono (l’implementation libre du .NET de Microsoft) pour GNOME, mais il peut marcher dans n’importe quel environnement graphique Linux (il y a même une version pour OLPC (la plete-forme One Laptop Per Child). Si vous êtes sur Ubuntu, vous avez à votre disposition les paquets pour Fesity et Gutsy.

Trouvé via DonDado.

50 ans de LEGO

28-01-2008 par Horacio Gonzalez
Lib et LEGO

Je fais une petite pause dans ma série de billets sur Warhammer 40,000 pour rendre hommage à LEGO, qu’aujourd’hui célèbre le 50ème anniversaire de ses fameuses briques.

Au début des années 1950, l’entreprise danoise LEGO, qu’à l’époque faisait une bonne partie de son chiffre d’affaire avec des jouets en bois, sortais un concept révolutionnaire, les briques de plastique encastrables. Et un jour comme aujourd’hui il y a cinquante ans, le 28 janvier de 1958, LEGO présentait le nouveau modèle de brique, identique l’actuelle.

Depuis l’entreprise n’a pas arrêté d’aider au développement de l’imagination de millions d’enfants de plusieurs générations. Et c’est pour cela que aujourd’hui j’ai envie de dire bien fort :

Joyeux anniversaire, brique de LEGO !

Pour fêter cet anniversaire, même Google s’habille en LEGO, avec un joli logo spécialement préparé pour l’occasion :

Logo Google LEGO

Trouvé via Microsiervos.

In the nightmare future of the fortieth millennia

26-01-2008 par Horacio Gonzalez
LostInBrittany in Ultramarine power armor

Suite de mon billet de avant hier sur Warhammer 40,000.

J’avais donc acheté et dévoré du début à la fin l’édition espagnole de Warhammer 40,000 : Rogue Trader du jour de sa sortie, et j’étais captivé par le jeu. Dans les mois qu’on suivi, j’ai commencé à construire ma première armée, des Space Marines, en investissant tout mon argent de poche, et des fois plus (désolé encore, maman 😉 ). Les weekends, avec des copains du collège aussi mordus par le virus Warhammer 40,000, on organisait des après midi figurines sur le sol de ma chambre. Le décor était simple, avec quelques bouquins on faisait des collines, des morceaux de polystyrène devenaient des forteresses imprenables, et les briques de Lego servaient à lever des remparts. On n’avait pas trop de figurines, une vingtaine par côté tout au plus, mais cela suffisait largement. Je n’oublierais jamais toutes ces missions d’infiltration, ces chasses aux xenomorphes dans les couloirs sombres de gigantesques vaisseaux abandonnées, ces explorations de ruines extraterrestres dans des planètes lointaines…

Avec le temps j’ai réuni plusieurs petites armées, et j’ai joué dans quelques championnats locaux, des batailles épiques avec des centaines de figurines. mais pour moi les meilleurs moments étaient les petites escarmouches organisées avec des amis, où on reliait les batailles semaine après semaine pour créer des vrais campagnes, et où chaque figurine finissait par avoir un nom et des caractéristiques propres.

Avec les années, le jeu est évolué vers un côté plus compétitif, avec des armées plus équilibrées et moins de place pour l’appréciation personnelle. D’abord les listes d’armées ont fait leur apparition, en définissant précisément quelles troupes et quelles équipements on pouvait inclure dans chaque armée. En suite, une deuxième édition a été publiée, se focalisant dans les batailles à plus grande échelle, avec des armées équilibrées, des règles simplifiées et aucune place pour la création personnelle ou la figure d’un Maître du Jeu. Cette nouvelle vision de Warhammer 40,000 me plaisait moins et, presque sans me rendre compte, je me suis éloigné doucement du jeu, revenant vers les jeux de rôles, que j’avais laissé un peu de côté pendant ces années.

Space Marines armors, by LostInBrittany

Les années ont passé, je continuais à jouer à Warhammer 40,000 (W40K) peut-être deux ou trois fois par année, presque par nostalgie, mais sans plus. Et ce n’était qu’en 2000 que je suis à nouveau plongé dans l’univers W40K, avec la sortie de leur nouveau jeu, Inquisitor. Inquisitor se déroulait dans le même univers que W40K, mais depuis un point de vue très différente.

Dans l’univers W40K, l’Inquisition est une puissante organisation au sein de l’Empire humain, dont le rôle est de traquer démons, les sorcières et les hérétiques. Les agents de l’Inquisition, les Inquisiteurs et leurs hommes de main, agissent souvent dans l’ombre, aux frontières de la légalité. L’organisation elle même est rongée par les loutes de pouvoir, les ambitions personnelles et les différentes façons d’interpréter leur dogmes. Les luttes de pouvoir au sein même de l’organisation, les ambitions individuelles poussent certains à se servir de ce qu’ils sont censés combattre pour arriver à leurs fins. Le jeu met en scène des affrontements entre factions de l’Inquisition et chaque joueur va donc prendre le contrôle d’un Inquisiteur ainsi que ses hommes de main.

Inquisitor m’a tout suite rappelé les débuts de W40K, un jeu de figurines très orienté jeu de rôle. D’un côté, le concept des listes d’armées préfixées et équilibres disparaît, il n’y a qu’un barème de points générique et chaque joueur peut choisir et équiper ses troupes selon ses envies. De l’autre côté, il réintroduit la figure du Maître de Jeu, chargé de l’arbitrage de la partie, de la création de scénarios, de la gestion des personnages non joueurs. Inquisitor reprenait donc les aspect que je préférais de la première édition de Warhammer 40,000 et il ajoutait des règles plus détaillées et un background plein de possibilité.

Games Workshop's Inquisitor

L’autre grande différence entre Inquisitor et W40K était la taille (et le prix) des figurines, 54 mm pour Inquisitor face aux 35 mm de Warhammer 40,000. Mais après quelques essaies, j’ai vite vu qu’on pouvait le jouer sans aucun problème avec les figurines de W40K, donc je n’avais même pas besoin d’investir dans des nouvelles figurines. J’ai donc vite plongée dans le jeu, et je l’ai trouvé vraiment excellent.

Bon, encore une fois le billet est déjà bien long, je crois que je vais arrêter ici. La suite, dans un prochain billet, où je vous expliquerais enfin pourquoi je vous raconte tout ça…