Soirée de création d’avatars

16-11-2006 par Horacio Gonzalez

J’ai passé la soirée à dessiner des avatars pour des gens du forum Casus NO et je n’ai donc pas eu le temps de finir mon dessin avec l’ensemble des dieux grecs.

Je vais donc vous laisser ici, à la place des divinités de l’Olympe, les avatars que j’ai préparé :

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Pour chaque avatar j’ai fait plusieurs versions, avec les suggestions de la personne intéressée.

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Après ce parenthèse d’aujourd’hui, demain j’espère retourner mes petits grecs.

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Cherche illustrateurs

15-11-2006 par Horacio Gonzalez

Des fois le web est surréaliste…

C’est seulement une petite anecdote, vraiment rien de quoi remplir un billet du blog, mais je ne peut pas résister à la tentation de vous la raconter.

Aujourd’hui, dans un des forums que je lis, un gars poste, en invité, le message suivant :

Pour mon blog je recherche un ou plusieurs illustrateurs.
Je vous invite à le consulter pour en saisir l’ambiance.
Merci de m’envoyer vos motivations, coordonées et URL ou l’on peut voir votre travail.

Et à la réponse qui lui demandé les tarifs, il dit :

C’est du bénévolat

Oui, vous avez bien saisi l’idée… Il demande des bénévoles pour lui redécorer son blog. Mais il ne suffit pas que les candidats soient bénévoles, prêts à dépenser leur temps et énergies pour l’aider, non. Ils doivent en plus fournir une lettre de motivation et des références, question de voir s’ils ont assez de niveau et motivation pour être à la hauteur de son blog.

C’est un peu comme si on demande à des artisans de venir te redécorer ta maison gratos, mais avant on leur demande de faire des lettres de motivation et de fournir des références…

Et en plus, lorsqu’on lui dit ça, il répond avec :

Je ne vois pas se que ma demande à de risible…
je suis certain qu’il existe des illustrateurs amateur qui voudrais juste faire connaitre leur travail sans plus de prétentions.
Si je demande des “références” comme vous dites, c’est justement pour écarter les “pros” mégalos que vous êtes et laisser leur chance au petit comme moi qui font du forum/blog par passion…

Voilà, maintenant je suis un blogueur pro mégalo. Elle n’est pas belle la vie? 😉

Etre payé pour bloguer ?

14-11-2006 par Horacio Gonzalez

Note : Ce billet est sponsorisé par ReviewMe.

Je sais qu’avec un billet comme celui-ci, je risque de me faire traiter de mouton ou même pire, car c’est un sujet controversé sur lequel pas mal de monde a déjà parlé. Mais j’ai quand même envie de tester si ça marche. Je vais donc faire un review de ReviewMe, et si leur offre est vraie, je vais recevoir 25$ pour le faire.

Pour ceux qui ont été un peu déconnectés ces derniers temps, il faut dire que ReviewMe est un nouveau site de publicité en ligne suivant un modèle un peu spécial : ils paient aux blogueurs pour écrire sur des thèmes qui les annonceurs proposent. Le principe est simple : les annonceurs parcourent la liste de blogueurs affiliés à ReviewMe et ils choisissent à quels blogueurs proposer de faire un review de leur produit. A ce moment le blogueur reçoit une proposition, et s’il l’accepte, il doit écrire sur son blog un review (positif ou négatif, peu importe) du produit, review pour lequel il sera après rémunéré.

Selon l’importance théorique de chaque blog (i.e. selon une métrique basé sur les ranks Technorati et Alexa et du nombre de souscripteurs au fil RSS), chaque billet sponsorisé apportera entre 30 $et 200$ au blogueur (pour l’annonceur, le billet coûtera entre 60 et 400 dollars, la moitié pour ReviewMe et l’autre moitié pour le blogueur).

A différence d’autres sites du même genre, ReviewMe exige que le caractère sponsorisé du billet soit clairement marqué (voir la première ligne de ce billet). En plus, ils ne demandent pas que le review soit positif pour le produit annonçant, ce qui permet, au moins en théorie, de garder l’impartialité du blogueur.

En résumé, ReviewMe est une voie alternative de monétisation d’un blog, qui n’impose pas de contraintes à priori à la liberté d’expression du blogueur.

Pour ma part, je réserve mon avis jusqu’à voir comment ça marche, si il y a des annonceurs qui me proposent des reviews et si oui lesquels. Déjà, j’attends aussi voir si pour ce billet je reçois les 25$ promis dans leur publicité, et je ne manquerais pas de vois dire le résultat. Pour l’instant je suis donc plutôt sceptique…

Écran (de veille) bleu de la mort

13-11-2006 par Horacio Gonzalez

Si vous êtes utilisateurs de MS Windows, vous connaissez sûrement l’écran bleu de la mort ou BSoD (de l’anglais Blue Screen of Death).

Si vous ne voyez pas de quoi je parle, j’explique. Le BSoD est affiché par Windows lorsqu’il ne peut plus récupérer d’une erreur système ou lorsqu’il est à un point critique d’erreur fatale. C’est à dire, ça :

BSoD

Vous voyez comme vous le connaissez ?

Combien de fois la plupart d’entre nous avons eu ce maudit erreur ? Combien de fois nous avons perdu des données sur lesquels on travaillait lors de l’arrivée d’un BSoD ? Trop, j’en suis sûr. En tout cas, le BSoD est devenu le symbole de l’erreur informatique.

Au point que Microsoft a décidé d’arrêter les déclarations grandiloquentes (comme lorsqu’ils ont dit qu’il n’y aurait pas de BSoD avec Windows XP) et accepter que le BSoD est une des caractéristiques de Windows. Et en prouvant qu’ils ont aussi un bon sens de l’hummeur, ils ont fait un petit cadeau plein d’auto-dérision à tous les utilisateurs : l’écran de veille BSoD.

One of the most feared colors in the NT world is blue. The infamous Blue Screen of Death (BSOD) will pop up on an NT system whenever something has gone terribly wrong. Bluescreen is a screen saver that not only authentically mimics a BSOD, but will simulate startup screens seen during a system boot.

[…]

Bluescreen cycles between different Blue Screens and simulated boots every 15 seconds or so. Virtually all the information shown on Bluescreen’s BSOD and system start screen is obtained from your system configuration – its accuracy will fool even advanced NT developers. For example, the NT build number, processor revision, loaded drivers and addresses, disk drive characteristics, and memory size are all taken from the system Bluescreen is running on.

Use Bluescreen to amaze your friends and scare your enemies!

Tourner l’un des pires problèmes de leur système d’exploitation dans un outil marketing amusant c’est vraiment une manoeuvre de maître. Chapeau à Microsoft!

Trouvé grâce à Pixel y Dixel.

Et ça fait deux fois dans une semaine que je fais l’éloge de Microsoft, je dois être malade… 🙂

Java libre!

13-11-2006 par Horacio Gonzalez

Même si j’aimerais bien vivre de mon blog, on est encore bien loin. Depuis déjà quelques années, c’est Java qui me permet de payer mes factures. Toute nouvelle qui touche donc ce langage est assez importante pour moi.

Mon histoire avec Java commence en 1998, lorsque j’ai fait un stage de six mois chez IBM. J’avais déjà fait un peu de Java, chez moi, pour tester ce nouveau langage qui semblait aussi intéressant, mais chez IBM j’ai été obligé à monter rapidement en compétence en travaillant dans un projet de migration vers Java 1.1 chez Caja Madrid. Depuis je m’était centré plus sur le côté télécom de ma carrière, mais à la fin de mon doctorat je suis revenu dans le monde Java avec des missions de prestation pour des SSII. A l’époque, l’idée de qu’un jour Sun allait libérer le code de Java faisait rire (mais à l’époque on pensait la même chose d’une éventuelle libération de Solaris, par exemple…).

Tout ça pour dire que je suivait avec intérêt toutes les nouvelles sur la libération du code source de Java sous une licence open source. On avait entendu toutes les rumeurs : libération totale, libération partielle, licence spécial Sun, licence BSD…

La semaine dernière une nouvelle rumeur, en apparence très sérieuse et documentée, a parcouru la blogosphère anglo-saxonne, Slashdot l’avait relayé : Java allait être libéré sous une licence GPL v2.

Je n’avait pas voulu bloguer sur ça, car il n’y avait pas de confirmation officielle. Et la confirmation officielle arrive aujourd’hui, dans le site officiel de Sun. Et en plus, un des blogueurs de Sun nous fait un décryptage du pourquoi et comment de cette libération de Java.

Pour fait courte la partie technique, je reprends la formule de Tim Bray :

Unmodified GPL2 for our SE, ME, and EE code. GPL2 + Classpath exception for the SE libraries. Javac and HotSpot and JavaHelp code drops today. The libraries to follow, with pain expected fighting through the encumbrances. Governance TBD, but external committers are a design goal. No short-term changes in the TCK or JCP.

Pour moi, c’est une manoeuvre qui va dans le bon sens, surtout pour Sun. Depuis le début, ils ont offert toutes les outils Java gratuitement (mais avec code fermé), et cela a été un des facteurs clés dans le succès du langage. Ils donnaient donc à la communauté des utilisateurs, mais en avant le code fermé, ils ne profitaient pas des éventuelles améliorations que la communauté pourrait faire dans le code.

L’un des arguments en contre était le risque de fork, que des groupes de hackers, des chercheurs ou des passionnés prennent le code source de Java, le modifient et proposent des versions de Java incompatibles entre elles. Mais avec le parapluie du TCK (la suite d’outils de test qui permettent de certifier un produit comme “compatible avec Java”) et des marques registrées, le risque n’existe pas, car ils ne pourraient pas appeler leur projet Java (comme pour Firefox, on peut créer et même vendre des versions modifiées de Firefox comme Flock, mais on ne peut pas les appeler Firefox).

Sur ça, la position de Sun est claire :

However many forks there are, it ain’t Java unless it’s called “Java” or has the coffee-cup on it. If it has the name and cup, it is Java and it’s compatible. And Sun will absolutely enforce that in court if we have to. We have in the past and we will again.

Cependant, il y a un risque énorme de voir pousser des langages ou des machines virtuelles basées sur celle de Java, avec d’autres noms, et taillées pour des besoins plus spécifiques. Mais cela est, à mon avis, une bonne chose. Et ce qui est encore mieux, Java pourra profiter des améliorations faites dans ces projets. Tout le monde gagne donc…

Mise en page avec Scribus

12-11-2006 par Horacio Gonzalez

Il y a déjà quelques années, avec des amis de l’autre côté de l’Atlantique, j’avais essayé l’aventure de créer une petite maison d’édition de jeux de rôles. Le projet n’a pas marché, mais cela m’a permit d’acquérir une série de compétences assez utiles. Parmi elles, j’ai appris en autodidacte l’utilisation d’Adobe InDesign, logiciel leader dans le secteur de la publication assistée par ordinateur (PAO).

A l’époque, habitué à utiliser MS Word pour mes traitements de texte, je comprenais pas trop la différence entre un traitement de texte et un logiciel de PAO. Les débuts avec InDesign n’étaient donc pas trop faciles, mais en suivant des tutoriels et en pratiquant un peu, je suis arrivé à contrôler l’outil, et à produire des jolis PDFs. L’aventure éditoriale est finie quelques mois après, et je ne me suis plus servi d’InDesign que très sporadiquement, lorsque j’ai eu besoin de donner un coup de main à des amis pour un poster ou un affiche promotionnel.

La semaine dernière, dans le forum Casus NO, je suis tombé sur un projet sympa, une campagne pour le Jeu d’Aventures de Lanfeust et du Monde de Troy. L’auteur de la campagne cherchait des illustrations et aussi quelqu’un pour s’occuper la mise en page. Je lui ai montré certains de mes bonshommes et il a trouvé qu’ils allaient bien avec la campagne. D’un coup, je me suis posséder pour faire les deux boulots.

C’était, bien sûr, avant de remarquer que j’ai n’ai plus InDesign, ni même pas un Windows sur lequel le faire marcher. Après un instant de panique, je suis allé demander conseil. Et voilà que j’ai trouvé Scribus.

Scribus est un logiciel libre de PAO, qui tourne sur Linux, Windows et OS X. Il est à InDesign ce qui Inkscape est à Adobe Illustrator : une alternative libre et gratuite, qui a le 90% des fonctionnalités du logiciel d’Adobe (le 10% restant étant les fonctionnalités hyper-spécifiques que la plupart d’utilisateurs, même professionnels, n’utilisent jamais).

Je l’ai donc installé sur mon Ubuntu et je me suis mis à la tâche. Quelques heures et un tutoriel après, je me sentais presque aussi à l’aise avec Scribus que je l’étais il y a longtemps avec InDesign. Et aujourd’hui, après le dîner, je me suis mis avec la mise en page et les illustrations de la campagne.

Je viens de finir une première version du premier chapitre, de laquelle je vous montre une petite capture. Je suis assez content avec la rapidité de la prise en main du nouveau logiciel, ça m’a permit de travailler assez vite.

Hestia et Déméter

10-11-2006 par Horacio Gonzalez

Il y a un peu plus d’un mois, dans le cadre de mon projet de webcomic, je démarrais une série de billets sur les dieux de l’Olympe.

La série démarrait avec Zeus et Athéna, ensuite il y a eu Artémis et Poséidon, Zeus et Athéna revisités, Arès et Aphrodite, Hadès, Hadès dans l’Inframonde, Hermès, Hermès visite Zeus, Héra et hier Dyonisus. Aujourd’hui enfin je clôture les déités olympiques avec ce billet sur les deux déesses qui manquaient : Hestia et Déméter.

Hestia

Hestia

Hestia est la déesse du foyer et du feu sacré. Elle appartient à la première génération des dieux, ceux nés des titans Cronos et Rhéa (elle était l’aînée de la fratrie, suivie par Zeus, Poséidon, Hadès, Héra et Déméter).

La flamme sacrée de Hestia brûle en permanence dans les maisons et dans les temples, et lors de la fondation d’une nouvelle ville il fallait aller au grand temple de Hestia pour ramener le feu destiné à allumer le foyer de la nouvelle colonie.

Déméter

Déméter

Déméter était la déesse de l’agriculture et des moissons. Dans une société très agricole, comme celle de l’ancienne Grèce, la survie dépendait de l’agriculture, une mauvaise récolte pouvait amener la famine. Déméter était donc une déesse très importante. Selon la tradition, Déméter enseigna aux hommes l’art de l’agriculture, permettant donc la création des premières civilisations sédentaires.

La fille de Déméter, Perséphone, avait été enlevé par Hadès, qui voulait faire d’elle la reine de l’Inframonde. Suit à la menace de Déméter de ne pas s’occuper de son travail, et la grave famine qui menaçait si elle le faisait, Zeus envoie à Hermès à négocier avec Hadès le retour de Perséphone. Hadès accéda, mais non sans piéger avant Perséphone, qui se voit obligée à passer quatre mois par année à l’Inframonde comme épouse de Hadès, et les huit mois restants libre dans la surface.

Hestia et Déméter dans l'Olympe
Hestia et Déméter dans l’Olympe

Pour la représentation des deux déesses je me suis inspiré de ses iconographies traditionnelles. Pour Hestia, je l’ai représenté debout, sévèrement vêtue, la tête couvert avec un chaste voile. Pour Déméter, je la représente avec une gerbe d’épis de blé tressés, symbole de son rôle de déesse de l’agriculture.

Dionysos

09-11-2006 par Horacio Gonzalez

Comme suite à mon billets sur les satyres , le thème du billet d’aujourd’hui est dédié à Dyonisos, le dieu de la vigne, vin et ses excès.

Dionysos

Dionysos

Comme tant d’autres dieux et héros, Dyonisos est le fruit de l’une des innombrables aventures extra-conjugales de Zeus. Sa mère, la princesse Séméle, meurt lorsque elle était enceinte, foudroyée pas la divine présence de Zeus auquel elle voulait absolument contempler dans toute sa majesté. Zeus tire alors son fils du ventre de sa mère, et il l’implante dans sa cuisse. Pour soustraire l’enfant de l’ire d’Héra, l’enfant est d’abord confié à la soeur de Sémélé et ensuite, lorsque Héra tue celle-ci, il est confié aux nymphes du mont Nyséion, en Thrace.

Même s’il est principalement connu comme le dieux du vin, les vignes et l’ivresse, Dionysos était d’abord le dieu de la végétation arborescente et des fluides vitaux (sève, urine, sperme, lait, sang). Il est le patron des satyres et des ménades, dont les cortèges dionysiaques accompagnaient au dieu dans une ambiance de fête bruyante, sauvage et alcoolisée.

Fête dionysiaque dans la forêt
Fête dionysiaque dans la forêt

Pour ma représentation de Dyonisos, je n’ai pas pu m’empêcher de prendre une petite liberté avec l’histoire, en donnant au dieu du vin un verre moderne. Et ensuite j’ai incorporé Dyonisos à la scène forestière de l’autre jour, entouré de ses satyres.

Et voilà, la plupart des dieux de l’Olympe sont déjà faits, aux notables exceptions de Déméter et Hestia, auxquelles je dédierai mon prochain billet.

Des enchanteurs, des chevaliers et des dragons

08-11-2006 par Horacio Gonzalez

Dans un commentaire à mon billet sur la promenade en forêt, Tizel me rappelle gentiment les anachronismes de mes dessins :

Disons, qu’en Bretagne, c’est plutôt merlin l’enchanteur et les chevaliers de la table ronde que je verrais…

Et en lisant ces lignes je me suis dit que Tizel avait raison, que si j’allais poster des photo-montages aec des paysages typiques bretons, la moindre des choses était de respecter un peu les traditions du coin.

Promenade en forêt

Je me suis donc mis à la tâche, et j’ai dessiné un dragon, un chevalier et un enchanteur pour mettre à la place des satyres. Les résultats, vous pouvez les voir ici.

Menhir de Kerloas

Ce que je n’ai pas changé sont les dryades, car elles peuvent aussi bien être des nymphes des arbres dans la mythologie grecque que des fées de la forêt dans les légendes bretonnes.

Menhir de Kerloas

Alors, (non seulement Tizel, mais tous), vous préférez comme ça?

Retard de Firefox Portable 2.0

07-11-2006 par Horacio Gonzalez

Vu le nombre de visites que ce blog reçoit en provenance de Google pour des recherches sur Firefox Portable 2.0, je pense qu’il y a pas mal de monde qui attend la sortie de la version définitive de cette application. Et cependant cette version définitive n’est pas encore disponible.

Ca peut sembler surprenant, surtout vu comme pour les release candidates ils ont été très rapides.

Mais il n’y a pas de soucis à se faire, c’est plutôt un problème bureaucratique/légal : en effet, comme c’est expliqué dans le site de PortableApps, maintenant que Firefox 2.0 n’est plus une beta dirigé aux utilisateurs avertis, mais une application grande publique, Mozilla et PortableApps veulent vérifier à fond tous les particularités légales liés à cette distribution un peu spécial de Firefox. Ils sont donc en train de travaille sur des aspects comme l’EULA (la licence que l’utilisateur doit accepter avant de commencer à utiliser le programme) et des spécificités de la licence Mozilla, afin de couper tout potentiel problème avant de faire la sortie officielle.

Même si ce processus peut prendre encore quelque temps, cela ne vous empêche pas de profiter déjà de Firefox Portable 2.0, car la dernière version disponible, Firefox Portable 2.0 rc3 est 100% identique à la version définitive. Téléchargez-la donc, et suivez les conseils des billets précédents pour la personnaliser, et vous pourrez profiter des aujourd’hui de toute la puissance de Firefox 2.0 en format portable.