Après presque 14 ans en développement, il semblerait que 2011 sera enfin l’année de la sortie d’un des jeux vidéo les plus attendus, celui auquel tout le monde pense quand ils entendent le mot vaporware, celui que je voulais m’acheter pour me 21^ème anniversaire et que je vais enfin (peut-être) m’acheter pour me 35 ans : Duke Nukem Forever.

Arrêtez de rire, peut-être cette fois c’est vrai ! En tout cas, la bande annonce promet promet, ça a l’air d’être tout à fait dans la mouvance du vieux Duke Nukem 3D !

Comme Mulder dirait, I want to believe, je veut croire, même si après des années d’espoirs déçues j’ai un peu du mal à être persuadé que cette année, le lendemain de mon anniversaire, je pourrai enfin jouer à Duke Nukem Forever. Et vous, vous y croyez ?

Link et sa quête pour réunir les fragments de la Triforce font partie de mon imaginaire ludique depuis bien d’années. Je me souviens la première fois que j’ai joué à The Legend of Zelda, à la fin des années 80s, sur la NES d’un camarade d’école. Ce jour là, je suis tombé sous le charme de ce jeu et de son univers, et depuis j’en suis devenu un inconditionnel.

C’est pour cela que lorsque j’ai vu le travail de Roman DeNu, j’ai eu presque la larme à l’œil : il a recréé Hyrule (le premier des mondes de The Legend of Zelda : A Link to the Past) dans ses moindres détails sur Minecraft.

Pour vous donner une idée de l’ampleur de la tâche, tout a été construit bric à bric (à la façon d’un énorme LEGO virtuel), et cela a pris plus d’une centaine d’heures de travail. Et DeNu ne compte pas s’arrêter là, il a déjà commencé l’adaptation du deuxième monde, le Monde des Ténèbres. J’ai hâte de voir le résultat !

Vous vous souvenez du Humble Indie Bundle ? Et bien, le Humble Indie Bundle est de retour, juste à temps pour Noël : Humble Indie Bundle #2.

Au menu, la même formule que la fois précédente : un pack de cinq jeux à succès, au prix que vous voudrez bien payer. En plus, et c’est cela qui fait cette offre encore plus intéressante, vous pouvez diviser le montant que vous payez entre les concepteurs du jeu et deux ONGs avec lesquels beaucoup de gamers peuvent s’identifier : Child’s Play (ONG fondé par les auteurs de Penny Arcade et qui offre des jouets aux enfants hospitalisés) et l’Electronic Frontier Foundation (ONG engagée sur la défense de la liberté d’expression sur Internet).

Qu’est-ce que vous obtiendrez en échange de votre donation cette fois ? Cinq jeux multi-plateforme, fonctionnant sur Linux, MacOS et Windows, et bien sûr sans DRM :

• Braid : un jeu indie sorti en 2008 pour XBox et qui a rencontré un énorme succès autant en terme de critique que de vente. Un gameplay très original (où la dimension temps est presque aussi importante que les trois autres), des graphiques sympathiques, une belle bande son et assez de potentiel addictif pour vous faire rester coller à votre clavier des heures et des heures. Un de mes jeux favoris, d’ailleurs…
• Machinarium : une aventure graphique du type point and click par les créateurs de Samarost 2 (qui était arrivé en cours de route sur le premier Humble Bundle).
• Revenge of the Titans : encore en bêta, Revenge of the Titans est une variation des classiques tower defense avec des éléments de stratégie en temps réel. Bien entendu, si vous prenez le bundle maintenant, vous avez droit à la bêta mais aussi à la version définitive lorsqu’elle sortira.
• Cortex Command : une jeu original de stratégie en temps réel avec des graphiques style pixel art et un moteur de physique bien détaillé. C’est aussi en phase de bêta, avec la version finale qui sera mise à disposition des acheteurs du bundle.
• Osmos : un jeu onirique, relaxant et innovant, avec une musique électronique envoûtante qui aide à plonger dans l’ambiance, un gameplay où savoir attendre et se relaxer est une des clés du succès et une liste de prix longue comme mon bras. Plus une expérience ludique qu’un jeu vidéo classique, Osmos est un de mes coups de cœur de ces derniers temps,

Le prix de vente normal de ces cinq jeux serait que quelque 80€, mais avec ce Humble Indie Bundle #2 c’est vous qui décidez combien vous voulez payer… et en plus vous agissez pour une bonne cause, alors vous pouvez vous laisser tenter sans regret, non ?

Merci de m’avoir prévenu, Pascal !

Tiens, ça fait longtemps que je n’ai pas posté sur mes trouvailles dans le domaine des objets geeks. Et comme je suis tombé sur plusieurs d’entre elles en revoyant des pages que j’avais mis de côté pour lire plus tard, je partage avec vous celles que j’ai trouvé les plus sympathiques.

Décapsuleur Pac-Man

Il y a plein de façons de décapsuler une bouteille, la plus banale d’entre elles étant d’utiliser un décapsuleur. Sauf si ce décapsuleur est le Unpack-man, dans ce cas décapsuler une bière devient une affirmation de geekitude.

La mauvaise nouvelle c’est que vous ne trouverez l’Unpack-man dans le commerce, ce n’est qu’un projet d’un studio de design ukrainien, Studio Psycho. La bonne nouvelle c’est que face au succès de l’idée, ils sont décidé de le fabriquer et le vendre, donc avec un peu de chance on pourra l’avoir pour Noël…

Manique Pac-Man

En restant sur le sujet de notre mangeur de boules pixelisées favori, chez Think Geek nous trouvons un autre objet aussi geek que pratique : la manique Pac-Man.

Pourquoi sortir les gâteaux du four avec une banale manique lorsqu’on peut les sortir avec une manique en forme de Pac-Man ?

Décapsuleur Enterprise

Comment ça, vous m’aimez pas Pac-Man ? Les jeux vidéo ne sont pas votre tasse de thé, mais vous voulez quand même décapsuler vos bouteille avec style ? Peut-être la réponse est ce décapsuleur Enterprise.

Tirebouchon Bird of Prey Klingon

Le Tirebouchon Bird of Prey Klingon est le complément parfait du décapsuleur Entreprise. Après avoir ouvert les bières de l’appéro à la façon Star Fleet, vous pourrez faire preuve de votre multi-culturalisme cosmopolite en debouchant le vin avec cet réplique du vaisseau phare de l’empire Klingon.

Tirelire touche de clavier

Après tous ces cadeaux Pac-Man et Star Trek, votre carte bleue risque d’avoir souffert. Pour vous aider à reconstruire vos finances, quoi de mieux qu’une tirelire ? Et pour rester sur le thème des cadeaux geeks, voici une tirelire aux allures d’une touche de clavier.

Il faut avouer que cette tirelire en forme de touche de clavier est plus drôle en anglais qu’en français, du fait du double sens du mot save, comme enregistrer sur le disque le travail qu’on fait (une bonne habitude souvent oubliée), et comme épargner, mettre des sous de côté.

En tout cas, vous n’aurez pas besoin de casser votre tirelire pour acheter cette tirelire, car elle est à seulement 4$ sur Uncommon goods. Dommage que le cout d’envoi fasse monter l’addition un peu trop…

Il y a tout juste 25 ans, le vendredi 13 septembre 1985, il arrivait sur le marché nippon un jeu vidéo qui très rapidement
deviendra un emblème pour Nintendo et le jeu vidéo en général : Super Mario Bros..

Super Mario Bros. n’était pas la première apparition du petit plombier. En 1981, sous le nom de jumpman, il affrontait le dangereux Donkey Kong dans le jeu du même nom, un autre des classiques de Nintendo. Il n’a eu son nom qu’en 1983, dans Mario Bros., sortie pour les bornes d’arcade. Mais c’est avec Super Mario Bros., sortie pour la mythique console NES, que Mario devient un personnage presque universellement connu.

Super Mario Bros. a défini beaucoup de conventions du genre d’arcade de plate-formes : la chasse aux pièces et aux étoiles, l’avancement latérale, les multiples chalenges, les zones secrètes. Et lorsque on prend sa dernière incarnation, l’excellent Super Mario Bros. Wii, on voit que les concepts de base et le gameplay on à peine changé.

Joyeux anniversaire, Super Mario !

Note curieuse : avec plus de 40 millions de copies vendues, Super Mario Bros. est resté record absolu de ventes jusqu’à 2008, quand il a été détrône par un autre jeu Nintendo, devenu aussi symbole de la marque et des jeux vidéo grand publique : Wii Sport.

Bon, je vous laisse, tout ça m’a donné envie d’aller jouer quelques parties d’un des clones de Super Mario Bros. : SuperTux !

A première vue, le jeu d’aujourd’hui, The IT Crowd game, ne rentrera sans doute pas dans l’histoire des jeux vidéo, peut-être même pas dans celle des petits jeux vidéo flash. Cependant, c’est le jeu officiel d’une de mes séries TV favorites, The IT Crowd, et cela fait déjà que le détour vaille la peine.

Et une fois qu’on commence, on se rend compte que c’est un jeu assez sympathique et addictif, plus complexe que ce qu’on pourrait penser au premier abord. En plus, les références à la série, la musique et les effets sonores sont bien choisis pour rester dans l’ambiance de The IT Crowd.

Le seul point négatif, c’est que si vous connaissez pas la série, vous allez avoir de mal à trouver le jeu amusant. Mais on peut aussi voir ça comment un point positif, en se disant que peut-être il va piquer votre curiosité et vous pousser peut-être à découvrir une des meilleures séries TV actuelles…

Encore une fois, c’est Microsiervos qui m’a mis sur la piste de The IT Crowd game.

Avant les vacances je vous parlais de l’excellente bande annonce de DC Universe Online, le MMORPG basé dans l’univers DC.

Aujourd’hui je découvre une nouvelle bande annonce, presque aussi spectaculaire. Sauf qu’à différence de la précédente, cette fois on ne se limite pas à nous montrer les héros iconiques DC, mais aussi des super-héros créés expressément pour le jeu, i.e. tels que les personnages qu’on pourra créer dans le jeu.

La date de sortie prévue pour DC Universe Online est le 1^er novembre… et je ne vous dis pas comment j’ai hâte ! :tongue_wink_ee:

Lorsque j’ai découvert le premier Warcraft en 1996, j’étais habitué aux jeux de stratégie par tours, je passais des heures à jouer à Civilisation et Colonisation. J’adorais l’idée de devoir d’un côté jouer sur la planification (gérer les ressources, construire les bâtiments, produire les unités…) et de l’autre définir la stratégie militaire.

Warcraft a été mon premier contact avec les jeux de stratégie en temps réel (RTS), et ce fut pour moi une révélation. Il ne suffisait plus de bien gérer ses ressources et bien planifier ses actions, maintenant il fallait aussi tout exécuter rapidement et avec un timing précis. Ca ajoutais un niveau de difficulté mais aussi une impression de réalisme que je trouvais inédite et qui m’a captivé.

Lorsque Warcraft II est sorti avec son édition Battle Net permettant de jouer contre d’autres joueurs partout dans le monde, le potentiel du jeu s’incrémentait fortement, maintenant on pouvait se battre pas contre l’AI du jeu (devenant à force prévisible), mais contre des vrais humains, malins et imprévisibles.

Et le summum est arrivé lorsque, en 1999, je suis tombé sur Starcraft. Car à toutes les bonnes choses de la série Warcraft, il ajoutait un univers de science-fiction à la Warhammer 40,000, et un système d’édition de scénario vraiment innovant.

Je ne sais combien de centaines d’heures j’ai passé sur Starcraft, me levant à 5h du matin pour jouer contre des potes américains, passant des longues soirées à jouer avec l’éditeur de scénarios… Et aujourd’hui encore, Starcraft est sans doute l’un de mes jeux favoris.

Et il semblerait que pour beaucoup de monde c’est encore un jeu important. En tout cas, il l’est pour Alex Kobbs, professionnel de l’animation et fan de LEGO et Starcraft, qui en début de mois a publié sur YouTube trois tutoriaux vidéo pour Starcraft d’une dizaine de minutes chacun… en utilisant des LEGO avec des techniques stop-motion !

C’est assez impressionnant de voir l’univers Starcraft récréé avec des briques LEGO, à un niveau de détail et de fidélité assez bluffant. Pour l’instant il y a trois tutoriaux en ligne, les deux premiers dédiés à la stratégie de base pour la faction Terran.

Le dernier tutoriel est dédié à ma race favorite de Starcraft, les Protoss, et leur unité phare, le porte-nefs (carrier en anglais).

Bref, un plaisir pour tout fan de Starcraft ou de LEGO (ou des deux, comme moi :wink_ee:).

Découvert via Abadía Digital.

Ca fait six ans déjà que je n’ai plus de Windows d’installé sur mes ordinateurs, six ans que je suis exclusivement sur Ubuntu. Mais si je disais que cela ne m’a pas manqué, je ne serais pas complètement sincère, car il y a un aspect, un seul, pour lequel Linux n’est pas au même niveau que Windows : les jeux.

Mais bon, pendant ces six ans je me suis toujours fait une raison, et entre les jeux de la Wii, les jeux qui marchent sur Linux en natif , et ceux qui tournent sur Wine (comme mon cher World of Warcraft), j’ai réussi à m’en passer.

Mais des fois ce n’est pas facile…

Aujourd’hui c’est une de ces fois. Car aujourd’hui je viens de découvrir la bande annonce de DC Universe Online, le MMORPG basé dans l’univers DC.

Non, je vais résister, je ne m’installerai pas Windows pour y jouer…

Je vais plutôt devoir m’acheter une PS3 !

Click Maze 2 est une sorte de mini-golf dans lequel on doit amener la petite balle rouge jusqu’à cercle rouge dans le moindre nombre de coups possible, le tout sans toucher aucun des obstacles du parcours. A chaque fois qu’on touche un obstacle on perd une vie et on doit recommencer le niveau.

En tout il y a dix niveaux, le premier très simple, le dernier réputé presque impossible (je ne suis arrivé qu’à sixième pour l’instant). A partir du deuxième niveau on a des obstacles en mouvement dans le parcours, et il faut bien synchroniser ses coups pour passer entre eux. Cette synchronisation devient de plus en plus complexe, et vu la difficulté du sixième niveau, j’ai du mal à imaginer la tronche de dernier…

Assez rapide à prendre en main, et très addictif, la seule chose que je puisse reprocher au jeu c’est de nous forcer à recommencer au premier niveau une fois les trois vies perdues.

Encore une fois, c’est Microsiervos qui m’a mis sur la piste de Click Maze 2.