Billets avec l'étiquette ‘LiB’

Billig

04-02-2008 par Horacio Gonzalez

Après huit années en Bretagne, il n’y a pas de doute, je commence à me bretonniser. L’un des signes les plus marqués de cette bretonnisation est mon goût immodéré pour les crêpes.

Avant débarquer dans la pointe de la Bretagne, les crêpes étaient pour moi quelque chose un peu exotique qu’on mangeait pour le goûter une ou deux fois par année chez la soeur de mon père, ou dans un de ces nouveaux restaurants appelés “crêperies” qui commençaient à s’ouvrir dans certains quartiers chic de Madrid.

C’est en arrivant à Nantes, en 1999, que j’ai découvert les vraies crêpes, tout juste sorties du billig dans une petite crêperie du quartier du Bouffay. J’ai découvert aussi les galettes, ces crêpes au blé noir aussi savoureuses que exotiques pour mon palais espagnol.

Ensuite, après avoir déménagé sur Brest, mon goût pour les crêpes et galettes n’a pas cessé de grandir. Et non seulement les crêpes de crêperie, mais aussi les crêpes à la maison, soi achetées chez le boulanger, soit faites par moi même en utilisant des recettes semblables à celles proposées par Wikipedia, sur ma fidèle poêle à crêpes. Bien sûr, une crêpe fait sur la poêle n’a rien à voir avec une vraie crêpe faite sur un billig, mais bon…

LiB et la chandeleur

Hier dimanche je suis allé chez la mère d’une amie pour un goûter crêpes, question de célébrer, avec 24h de retard, la chandeleur, le jour des crêpes. La mère de cette amie a un billig, et on a mangé une tonne d’excellentes crêpes. Et, par première fois, j’ai essayé de faire une crêpe sur billig. J’étais sûr que j’allais la rater, ça semble assez difficile à faire. Mais, à ma grande surprise, j’ai réussi à faire une crêpe assez bien foutue.

En partant, j’ai pris donc une résolution, m’acheter un billig. Pouvoir faire des crêpes à la maison, lorsque je voudrai, des vraies crêpes, non celles qu’on fait à la poêle.

Et oui, un espagnol avec un billig, qu’est-ce qu’il ne faudra pas voir…

Exploration planétaire

02-02-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et Warhammer 40,000

La semaine dernière j’avais commencé une série de billets sur Warhammer 40,000 et je n’ai pas encore trouvé le temps de la finir.

En attendant, aujourd’hui je vais me limiter à vous montrer un dessin que j’ai fait hier soir, une petite troupe de Space Marines dans une mission d’exploration planétaire.

Warhammer 40,000 : Exploration planétaire

Je suis assez content de l’effet, qu’est-ce que vous en pensez ?

Migration vers WordPress, étape 2

01-02-2008 par Horacio Gonzalez
LiB geek

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais la migration démarrée hier et maintenant complète. En fait, si j’ai bien fait mon boulot, c’est probable que ce migration ait passé complètement inaperçue 😉

Lorsque je parlais avec une amie de cette migration, je me suis aperçu que pour plein de monde c’était difficile à comprendre. En effet, elle est allée sur le blog, et elle l’a trouvé pareil qu’avant hier, rien n’avait vraiment change. Alors, pourquoi je faisais tout ce scandale avec la migration, si après tout c’était pareil ?

Et d’une certaine façon, elle a raison. Du point de vue du lecteur du blog, il n’y a pas grande chose qui a changé*. Si le blog était une voiture, je dirais que la carrosserie est presque identique (j’ai bien tuné la nouvelle voiture pour y arriver), mais à l’intérieur les moteurs sont complètement différentes, à la place du petit moteur diesel 1.2l, un peu vieillot mais fiable (Doctlear 1.2.6) j’ai maintenant le 2,2l HdI 16v des moteurs de blogs (un WordPress 2.3.2 flambant neuf) 😀

Olivier me demandais dans son commentaire les raisons pour changer. J’expliquerai ça en détail dans un autre billet, mais pour le moment je peux vous dire que la fonctionnalité qui m’a fait basculer est la possibilité de gérer toute l’apparence du blog depuis l’interface d’administration : le thème, le style, les couleurs, les images, la barre latérale… On peut tout changer, et les changements sont directement visibles sur le blog. Ca me fait gagner un temps fou par rapport au système que j’utilisais avec Dotclear (télécharger les fichiers, les modifier, les uploader à nouveau, vérifier si ça marche), et je peux le faire depuis n’importe quel ordinateur.

Parmi les avantages de WordPress, une autre est l’énorme nombre de plugins disponibles, qui me permettra d’ajouter des nouvelles fonctionnalités au blog, mais je parlerai de ça à fur et à mesure…

* : Parmi les changements cosmétiques déjà en place, je voudrais citer l’ajout des Gravatars dans les commentaires. Si vous n’avez pas encore votre Gravatar, je vous invite à le créer et à le tester en laissant un petit commentaire sur ce billet… 😉

Migration vers WordPress, étape 1

31-01-2008 par Horacio Gonzalez
LiB geek

Ce soir je commence ma migration vers WordPress, après presque deux ans sur Dotclear. Je raconterai le processus en détail sur un autre billet, car comme je n’ai pas fini j’ai envie de continuer à bosser sur la migration.

J’ai commencé par installer un WordPress vierge, l’install par défaut.

LiB sur wordpress avant
LiB sur WordPress, avant

J’ai donc importé mes billets, tags et liens de mon blog vers ce WordPress. Ensuite, j’ai travaillé sur le thème pour essayer de recréer le look de mon blog sur le WordPress. Et je dois dire que je suis assez satisfait du résultat 🙂

LiB sur wordpress après
LiB sur WordPress, après
Et demain je m’attaque au .htaccess qui vont rediriger le trafic…

In the nightmare future of the fortieth millennia

26-01-2008 par Horacio Gonzalez
LostInBrittany in Ultramarine power armor

Suite de mon billet de avant hier sur Warhammer 40,000.

J’avais donc acheté et dévoré du début à la fin l’édition espagnole de Warhammer 40,000 : Rogue Trader du jour de sa sortie, et j’étais captivé par le jeu. Dans les mois qu’on suivi, j’ai commencé à construire ma première armée, des Space Marines, en investissant tout mon argent de poche, et des fois plus (désolé encore, maman 😉 ). Les weekends, avec des copains du collège aussi mordus par le virus Warhammer 40,000, on organisait des après midi figurines sur le sol de ma chambre. Le décor était simple, avec quelques bouquins on faisait des collines, des morceaux de polystyrène devenaient des forteresses imprenables, et les briques de Lego servaient à lever des remparts. On n’avait pas trop de figurines, une vingtaine par côté tout au plus, mais cela suffisait largement. Je n’oublierais jamais toutes ces missions d’infiltration, ces chasses aux xenomorphes dans les couloirs sombres de gigantesques vaisseaux abandonnées, ces explorations de ruines extraterrestres dans des planètes lointaines…

Avec le temps j’ai réuni plusieurs petites armées, et j’ai joué dans quelques championnats locaux, des batailles épiques avec des centaines de figurines. mais pour moi les meilleurs moments étaient les petites escarmouches organisées avec des amis, où on reliait les batailles semaine après semaine pour créer des vrais campagnes, et où chaque figurine finissait par avoir un nom et des caractéristiques propres.

Avec les années, le jeu est évolué vers un côté plus compétitif, avec des armées plus équilibrées et moins de place pour l’appréciation personnelle. D’abord les listes d’armées ont fait leur apparition, en définissant précisément quelles troupes et quelles équipements on pouvait inclure dans chaque armée. En suite, une deuxième édition a été publiée, se focalisant dans les batailles à plus grande échelle, avec des armées équilibrées, des règles simplifiées et aucune place pour la création personnelle ou la figure d’un Maître du Jeu. Cette nouvelle vision de Warhammer 40,000 me plaisait moins et, presque sans me rendre compte, je me suis éloigné doucement du jeu, revenant vers les jeux de rôles, que j’avais laissé un peu de côté pendant ces années.

Space Marines armors, by LostInBrittany

Les années ont passé, je continuais à jouer à Warhammer 40,000 (W40K) peut-être deux ou trois fois par année, presque par nostalgie, mais sans plus. Et ce n’était qu’en 2000 que je suis à nouveau plongé dans l’univers W40K, avec la sortie de leur nouveau jeu, Inquisitor. Inquisitor se déroulait dans le même univers que W40K, mais depuis un point de vue très différente.

Dans l’univers W40K, l’Inquisition est une puissante organisation au sein de l’Empire humain, dont le rôle est de traquer démons, les sorcières et les hérétiques. Les agents de l’Inquisition, les Inquisiteurs et leurs hommes de main, agissent souvent dans l’ombre, aux frontières de la légalité. L’organisation elle même est rongée par les loutes de pouvoir, les ambitions personnelles et les différentes façons d’interpréter leur dogmes. Les luttes de pouvoir au sein même de l’organisation, les ambitions individuelles poussent certains à se servir de ce qu’ils sont censés combattre pour arriver à leurs fins. Le jeu met en scène des affrontements entre factions de l’Inquisition et chaque joueur va donc prendre le contrôle d’un Inquisiteur ainsi que ses hommes de main.

Inquisitor m’a tout suite rappelé les débuts de W40K, un jeu de figurines très orienté jeu de rôle. D’un côté, le concept des listes d’armées préfixées et équilibres disparaît, il n’y a qu’un barème de points générique et chaque joueur peut choisir et équiper ses troupes selon ses envies. De l’autre côté, il réintroduit la figure du Maître de Jeu, chargé de l’arbitrage de la partie, de la création de scénarios, de la gestion des personnages non joueurs. Inquisitor reprenait donc les aspect que je préférais de la première édition de Warhammer 40,000 et il ajoutait des règles plus détaillées et un background plein de possibilité.

Games Workshop's Inquisitor

L’autre grande différence entre Inquisitor et W40K était la taille (et le prix) des figurines, 54 mm pour Inquisitor face aux 35 mm de Warhammer 40,000. Mais après quelques essaies, j’ai vite vu qu’on pouvait le jouer sans aucun problème avec les figurines de W40K, donc je n’avais même pas besoin d’investir dans des nouvelles figurines. J’ai donc vite plongée dans le jeu, et je l’ai trouvé vraiment excellent.

Bon, encore une fois le billet est déjà bien long, je crois que je vais arrêter ici. La suite, dans un prochain billet, où je vous expliquerais enfin pourquoi je vous raconte tout ça…

/dotclear ou /blog ?

23-01-2008 par Horacio Gonzalez

Un conseil : si vous pouvez l’éviter, ne mettez jamais le nom de la plate-forme de blogging que vous utilisez dans l’adresse de votre blog. J’ai commis cette avec mon blog, et maintenant le changement risque d’être assez pénible.

LiB geek

Lorsque j’ai démarré ce blog, je ne pensais pas que ça allait vraiment durer. Je voulais seulement essayer ce truc de blogging, j’ai donc installé plusieurs plate-formes de blog et je me suis laissé séduire par Dotclear à cause de la facilité avec laquelle on pouvait personnaliser le thème. Comme je testais plusieurs plate-formes de blog, je les installais dans des répertoires nommés selon la plate-forme, le blog sous Dotclear était donc installé sur dotclear/. Après deux ou trois billets j’avais pris ma décision, je restait sur Dotclear, et https://lostinbrittany.org/dotclear/ devenait l’adresse de mon blog de test.

Doucement, j’ai commencé à prendre goût au blogging, et ce qui avait démarré comme un test est devenu un vrai blog. Et plus ça passait le temps, moins j’avais envie de changer l’adresse, que j’avais déjà commencé à donner partout. Alors le dotclear/ est resté, même si au fond de ma tête cela ne me plaisait pas trop. Maintenant, lorsque j’approche mon 500ème billet, je me dis encore une fois que ce référence à Dotclear dans l’URL me gène.

D’un côté, cela lie mon blog à une plate-forme de blogging. Imaginons que demain je passe sur WordPress, ça serait un peu bête que l’adresse de mon blog continue à faire référence à Dotclear ! De l’autre côté, ce n’est pas intuitif. Lorsqu’on cherche le blog de quelqu’un sur un domaine, on s’attend à le trouver une répertoire blog/ et non dans dotclear/. En plus, Dotclear est presque inconnu hors des frontières françaises, et cela fait que le mettre dans l’adresse soit encore moins intuitif.

Ca fais donc un moment que j’hésite à mettre en route ce chantier de migration d’adresse, vers https://lostinbrittany.org/blog/. Ces dernières semaine je pense de plus en plus à migrer vers WordPress, à cause de certains plugins que je trouve fortement sympathiques, mais surtout à cause du dynamisme de la plate-forme WordPress. Si je fais le changement de plate-forme, à ce moment le changement d’adresse s’impose. Ca fais pas mal de changement d’un coup, j’ai intérêt à bien le gérer, car je voudrais que tous les liens continuent à marcher, et que les moteurs de recherche changent d’une adresse à l’autre sans faire perdre de la visibilité au blog.

Je vais donc commencer à planifier la migration. Si vous avez déjà essayé, autant la migration de Dotclear vers Worpress que le changement d’adresse avec des redirections pour que les liens marchent, je suis preneur de vos conseils et suggestions.

Promenade en poney

20-01-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et la promenade en poney

Fini le look de Noël

13-01-2008 par Horacio Gonzalez
Fini le look de Noël

Et oui, les fêtes sont déjà loin derrière, alors le thème de Noël commençait à faire un peu anachronique sur le blog. Je reviens donc à mon classique thème bleu, en attendant de trouver le temps d’essayer quelque chose d’autre…

Suite de la gastro

12-01-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et la récupération  la gastro

Gastro

09-01-2008 par Horacio Gonzalez
LiB a la gastro