Billets avec l'étiquette ‘Web 2.0’

MapMyName

24-04-2007 par Horacio Gonzalez

J’ai découvert MapMyName d’abord dans le blog de Guillaume (qui a utilisé comme photo le dessin que j’avais fait pour lui) et ensuite dans AccessOWeb. Je n’ai pas été capable de résister à la tentation, je me suis donc inscrit dans ce projet qui vise à localiser les internautes du monde sur une carte Google Maps.

Voici donc ma carte de membre 😉

Histoire visuelle des blogs de felins

27-03-2007 par Horacio Gonzalez

J’ai trouvé cette image assez amusante (car assez vraie) via Microsiervos.

1999 [Blogger]: J’ai besoin de raconter à quelqu’un ce que mon chat a fait aujourd’hui…

2004 [Flickr]: Trop cool! Des photos de mon chat!

2005 [YouTube]: Des vidéos de mon chat!

2007 [Twitter]:

13h00 – Mon chat a éternué
13h02 – Mon chat a encore éternué
13h04 – Ca fait un moment que mon chat n’éternue plus. Je commence à m’inquiéter.

L’image a été pris de cet article de Marshable.com, inspiré par plusieurs utilisateurs de Twitter qui racontent en détail la vie passionnate de leurs animaux de compagnie…

Ce type de choses me réaffirment encore plus dans mon avis sur Twitter

Twitter : je ne vois pas l’intérêt…

22-02-2007 par Horacio Gonzalez

C’est le dernier phénomène à la mode dans ce qu’on appelle la web 2.0, un nouveau type de réseau social : Twitter.

L.i.B. et Twitter...

Qu’est-ce que c’est ce Twitter? Benoit Descary l’explique très bien :

L’idée de base de ce service est très intéressante. Il s’agit de décrire en une phrase ou deux ce que vous faites en ce moment. Cette phrase est publiée sur votre espace Twitter et votre communauté d’amis pourra de cette façon suivre vos activités.

[…]

L’intérêt de Twitter c’est qu’il ne limite pas uniquement vos communications à l’espace Web. Vous pouvez aussi vous servir de votre compte Jabber (GTalk) ou de votre téléphone portable. Lorsque vous envoyez un SMS sur votre compte Twitter, il sera aussitôt mis à jour. Votre communauté recevra aussitôt une notification de votre mise à jour par SMS, GTalk ou encore sur leur espace Web.

Grosso modo, Twitter est un service pour raconter à tes amis ce que tu fais à ce moment même, et pour que tu saches ce qu’ils font.

J’ai parcouru les pages de quelques utilisateurs (des blogueurs que je lis habituellement) et j’ai trouvé plein de messages du style Je vais manger, Je regarde Ségo à la télé ou même Je vais au petit coin, je reviens dans 10 minutes. Juste le type de messages que j’étais habitué à voir dans le champ Etat de MSN Messenger ou de GTalk, sauf que on laisse le message pour que tout le monde le sache, pas seulement pour ceux de ta liste de contacts.

J’ai essayé d’aimer le concept, j’ai essayé de trouver une utilisation intéressante pour le service. Mais j’avoue, je n’ai pas trouvé l’utilité, le plaisir ou l’intérêt à utiliser Twitter. Je n’éprouve pas le besoin de raconter au monde ce que je fais à chaque instant, ni de savoir jusqu’au petit détail ce qu’ils font mes amis.

Je suis sûr qu’il y aura des gens avec assez de temps et de patience (et de manque d’inhibitions) pour raconter chaque chose qu’ils font, de la pause café au bain des enfants, pour que leurs amis puissent être au courant. Je suis même persuadé de que ça peut être amusant, et qu’on peut même devenir accro.

Mais moi, comme je me dis souvent lorsque je tombe sur un Skyblog ou une page MySpace, je crois que je suis trop vieux pour ce type de choses…

Le widget à la mode : Autoroll

10-02-2007 par Horacio Gonzalez

J’avais entendu parler d’AutoRoll il y a une dizaine de jours lorsque Jeff m’avait dit qu’il participait à la beta privée de ce nouveau service Web 2.0. Depuis AutoRoll est entré en beta publique, et le widget s’est multiplié parmi les blogs que je lis : Philippe, Tizel, GuiM et la nuit dernière Guillaume

L.i.B. et le widget AutoRoll

En voyant tout ce monde qui s’y mettait je me suis dit que ça serait sympa d’essayer. Surtout car j’avais déjà crée mon compte chez AutoRoll il y a quelques jours, mais je n’avais pas trouvé le moment de copier le petit bout de code dans les sources de mon blog. Alors un petit coup de Gedit sur le code de mon Dotclear et le widget est en ligne.

AutoRoll est donc a widget qui tu installes dans ton blog et qui montre dynamiquement des liens vers d’autres blogs que tes lecteurs devraient apprécier. La clé de l’idée est le Moteur de Recommandation de Criteo un algorithme qui calcule les affinités entre les blogs. Par exemple, si en analysant les visites de mon blog et de celui à Guillaume, il trouve que nous partageons plusieurs dizaines de lecteurs, il en déduit que les contenus de nos deux blogs sont affins, et il décide de montrer le lien vers le blog de Guillaume dans mon AutoRoll, et le lien vers mon blog dans le sien.

Dans cet exemple, la valeur ajoutée d’AutoRoll n’est pas trop élevée, car Guillaume était déjà dans ma blogroll et moi dans la sienne, mais là où ça devient très sympa c’est lorsqu’il montre des liens vers des blogs qui ne sont pas dans ma liste (et que je ne connaît même pas encore), maisdont le contenu montre des affinités avec mon blog.

En tout cas, on verra dans quelque temps qu’est-ce que ça donne, et si ce petit widget restera où pas dans ma barre latérale…

GMail maintenant sans invitation

07-02-2007 par Horacio Gonzalez

Je me souviens de la première fois que j’ai entendu parler de GMail, le service de courrier électronique web (webmail) de Google. C’était le 1et avril 2004, et un collègue thésard vient me voir en riant comme un fou, il venait de voir l’excellent poisson d’avril de Google : l’annonce d’un service de webmail gratuit avec 1 Go de capacité de stockage!

L.i.B. Google

Même les techno-évangélistes les plus optimistes avaient du mal à croire que Google pouvait être sérieux. Il faut préciser que à l’époque, les services de webmail gratuits (comme ceux de Yahoo! ou Hotmail) avaient entre 5 et 10 Mo de capacité, 100 fois moins que celle annoncé par Google.

Mais l’annonce s’est avéré vrai, et lorsque quelques mois après Google a dévoilé GMail, même les plus sceptiques ont été surpris. Ce n’était pas seulement la capacité de stockage, non, mais aussi l’ergonomie et la facilité de son utilisation, à des années lumières des interfaces à l’ancienne qui proposaient ses concurrents. La sortie du webmail de Google a vraiment révolutionné le secteur et sous la pression du nouveau venu, Yahoo! et Hotmail ont fini par faire évoluer leurs systèmes, d’abord en augmentant la capacité de stockage, ensuite en s’attaquant à l’interface.

Deux des caractéristiques les plus remarquables de GMail était son status de beta et son mode de diffusion par invitation. Aujourd’hui ces deux caractéristiques sont devenus la marque de fabrique pour les nouveaux services Web 2.0, mais à l’époque c’était complètement nouveau. Imaginez la joie d’un geek qui voit arriver sur son courrier électronique l’invitation pour un service aussi innovant que GMail, devenant ainsi un beta-tester pour Google. Les invitations pour GMail étaient très prisées ces premières temps, Google ne donnait à chaque utilisateur que quatre ou cinq invitations et les gens attendaient souvent longtemps avant de se faire inviter par quelqu’un…

Aujourd’hui, presque trois ans après, obtenir un compte GMail était beaucoup plus simple car le nombre d’invitations par compte est monté à une centaine, et le nombre de comptes est infiniment plus grand. Mais il restait encore la barrière symbolique d’avoir besoin d’invitation, même si pour l’obtenir il suffit d’aller poster une demande sur n’importe quel forum.

Cette barrière est définitivement tombé hier, maintenant c’est possible de s’inscrire directement à GMail sans avoir reçu d’invitation, il suffit d’aller sur la page d’inscription de Google et cliquer sur Créez un compte maintenant. Le compte ainsi créé permet non seulement accéder à GMail, mais aussi aux autres services Google comme Google Document et Tableur (toute nouvelle version française de Google Docs & Spreadsheets).

Comme donnée curieux, j’ai remarqué que le système d’invitation continue actif, même si ce n’est plus nécessaire. J’imagine que chez Google ils ont bien compris que le bouche à oreille est le meilleur moyen d’obtenir des nouveaux utilisateurs, et il faut avouer qu’envoyer des invitations aux amis est plus pratique qu’envoyer un lien vers la page d’inscription…

Administration 24h/24

30-01-2007 par Horacio Gonzalez

Pour des raisons de travail, j’ai besoin d’obtenir un extrait de mon casier judiciaire. Je me souviens que la dernière fois que j’avais fait la démarche, c’était pas trop facile, il fallait envoyer une lettre à une certaine adresse, avec des pièces justificatives (plus dans mon cas, en étant étranger), et surtout que ça avait pris un certain temps. Je me préparais donc à partir à la recherche de l’adresse lorsque j’ai pensé à Administration 24h/24, le nouveau guichet unique pour les démarches administratives, inauguré en début d’année. Je me suis donc dit que pourquoi ne pas l’essayer, et en plus écrire un billet sur l’expérience…

En arrivant sur la page d’Administration 24h/24, la première surprise a été agréable : un site bien conçu, ergonomique, moderne et fonctionnel, et qui en plus rend bien sur mon Firefox. La recherche peut se faire directement à l’aide d’un moteur de recherche interne, ou par catégories, ou en suivant un superbe didacticiel graphique, la Maison d’Adèle (Adèle est la mascotte du site, une gentille mamie très sympa).

Dans les trois cas, j’arrive vite et sans problème sur la partie qui m’intéresse : Demande en ligne de l’extrait de casier judiciaire (bulletin n°3). La bas, une explication de la démarche et un lien vers le site du ministère de la justice où on trouve le formulaire à remplir.

Là, pas de bol, comme d’habitude dans ces cas :

Remplissez le formulaire COSA n°11786*01 ci-dessous pour demander VOTRE extrait de casier judiciaire (bulletin n°3) uniquement si vous êtes né(e) en France métropolitaine ou dans un département d’Outre-Mer.
Si ce n’est pas votre cas, retour à l’accueil

Je retourne donc à l’accueil. Là bas on dit que pour les personnes nées à l’étranger la démarche doit se faire par courrier, et ils proposent un PDF à télécharger. Fort heureusement, l’adresse est pré-imprimé dans le formulaire, au moins cette fois je n’ai pas besoin de la chercher, ni de me casser la tête à réfléchir sur quoi mettre dans ma demande…

Bilan? Un 20 sur 20 pour le superbe nouveau site d’Administration 24h/24, et un bilan un peu plus mitigé (quoi que je comprends bien les raisons) pour le site du Ministère de la Justice. En tout cas, ça a été dix fois plus rapide et simple que la dernière fois. Vive l’administration électronique!

Le côté obscur des applications web

15-12-2006 par Horacio Gonzalez

Si vous suivez mon blog plus ou moins régulièrement, vous aurez remarqué que je suis un fervent utilisateur des applications dites Web 2.0 en général, et des applications web Google en particulier. Par exemple, il y a quatre jours, je parlais de la nouvelle fonctionnalité d’accès à des comptes mails externes depuis GMail.

L.i.B. Google

Tout mon courrier électronique est donc géré avec GMail, autant pour mon compte GMail que pour mes comptes e-mail externes. Ca me permet non seulement avoir accès à mon courrier depuis n’importe quel ordinateur connecté à internet, mais aussi profiter de l’excellente capacité de stockage et de la puissance du filtre anti-spam de GMail. Comme je disais à la fin de ce billet sur GMail, le bilan est très positif pour moi.

Sauf que des fois les circonstances se chargent de changer les certitudes qu’on peut avoir sur plein de choses, et aujourd’hui ça a été le cas, lorsque en essayant de me connecter sur mon compte GMail, j’ai eu la surprise de recevoir la réponse suivante :

Erreur GMail

En soi, un serveur indisponible n’a rien d’extraordinaire, et même Google a droit à avoir des moments de saturation ou des problèmes techniques qui empêchent l’accès au service. Mais c’était la première fois que ça m’arrivait avec GMail, et lorsqu’au bout d’une demie heure le problème persistait je me suis mis à réfléchir sur ma dépendance vis à vis de Google pour gérer une partie importante de ma vie.

En effet, j’utilise Google pour mes recherches, GMail pour mon courrier, Google Calendar pour mon agenda, Google Notebook pour mes notes rapides, Google Docs & Spreadsheets pour plein de documents, et j’arrête car ça va devenir long… Autant dit, si un jour Google arrête ses serveurs, ce jour là je n’ai pas accès à plein d’information et d’outils desquels je me sert tous les jours, et pour lesquels je n’ai pas une solution de substitution facile.

Ca va me faire changer mes habitudes de travail? Probablement pas, Google est en ligne 99,99% du temps, donc je considère cette panne de GMail comme l’exception qui confirme la règle. Mais ça va, quand même, me faire chercher des alternatives, et garder des copies locales de tous mes informations critiques stockées dans les différents services Google, même si pour être performant ça veut dire avoir une copie plus ou moins actualisé dans chacun des ordinateurs que j’utilise habituellement. C’est comme avoir une sauvegarde actualisée du disque dur, c’est vraiment ennuyant, ça prend du temps, mais le jour où on en a besoin, on est vraiment content de l’avoir.

Et vous, qu’est-ce que vous en pensez? Avez-vous aussi cette dépendance vers des outils web?

Google Web Toolkit devient open source

12-12-2006 par Horacio Gonzalez

Il semblerait que de plus en plus d’éditeurs décident de libérer leur code, dans un mouvement qui s’accélère de plus en plus. Il y a quelques semaines je vous parlait d’une libération de code qui me touchait directement, car je travaille avec tous les jours : l’ouverture du code de Java. Aujourd’hui je vais vous parler d’une autre libération que je considère assez significative, celle de Google Web Toolkit (GWT).

L.i.B. Google

Google Web Toolkit (GWT) est un framework Java de développement de software, qui permet d’écrire d’une façon relativement facile des applications AJAX (du type de Google Maps ou GMail en s’affranchissant de la plupart des particularités liées aux différents navigateurs.

Pour ceux qui avons l’expérience de coder de l’AJAX à la main, l’utilité d’un tel framework est claire. On passe une bonne partie du temps à tester sur toutes les navigateurs possibles dans toutes les plate-formes qu’on a sous la main, et à corriger l’infinité de bugs qui apparaissent en executant le code dans chaque navigateur, toutes les subtiles incompatibilités qui font du codage en AJAX quelque chose plus proche de l’art que de la science. Avec GWT, on écrit tout en Java, un langage solide et bien carré, et lui il compile ce Java en HTML+JavaScript bien compatible avec tous les navigateurs (au moins avec Firefox, IE, Opera et Safari).

Jursqu’au présent, GWT était gratuit pour une utilisation personnelle, mais pas libre. Je pense que cette libération va permettre que certaines entreprises qui travaillent déjà sur Java (comme celle dont je travaille actuellement) basculent sur cet outil pour les briques AJAX de leurs applications web.

L’annonce a été fait dans le blog officiel de Google, et détaillé dans le blog du GWT. La licence choisi est Apache 2.0, encore une fois une licence plutôt classique (comme Java, qui va être libéré sous une licence GPL v2) et non un truc exotique qui ferait plus difficile son adoption.

Dans le billet du blog GWT, ils expliquent comment le choix de libérer était logique, car depuis le début la mission de l’équipe GWT était :

“To radically improve the web experience for users by enabling developers to use existing Java tools to build no-compromise AJAX for any modern browser.”

Pour que le développement soit vraiment ouvert, ils ont créé un projet google-web-toolkit dans Google Code, et ils ont libéré aussi toute la documentation sous une licence Creative Commons.

En résumé, un autre beau exemple de libération de code par un des grands acteurs du web.

Gmail et mes comptes e-mail externes

11-12-2006 par Horacio Gonzalez

Je sais que ne vais pas faire un scoop si je vous raconte que GMail a récemment annoncé que des maintenant c’est possible de gérer d’autres comptes emails depuis votre interface Gmail. D’autres comme TechCrunch l’ont déjà expliqué en détail ce weekend (weekend ou grâce encore à Numéricable je n’ai pas pu profiter d’un accès internet normal).

L.i.B. Google

A priori, cette option n’est pas encore active sur tous les comptes GMail, mais la mienne semble avoir eu de la chance, car ça a bien marché au premier coup. Je vais donc vous parler de mes premières expériences avec cette gestion des e-mails externes.

Après deux jours à l’utiliser pour récupérer l’e-mail d’un vieux compte, où il y avait tellement de spam qui arrivait chaque jour que j’avais fini par presque même plus la lire. Le compte avait un accès POP, mais comme j’utilise quotidiannement trois ordinateurs différents, l’option d’utiliser un lecteur de mail comme Thunderbird me posait plein de problèmes de synchronisation, il me fallait une solution webmail. La dernière fois que j’avais survolé ce compte avec le webmail Squirrel (celui installé par mon hébérgeur, sans filtre anti-spam) sur 927 messages de la dernière semaine j’avais 2 messages intéressants et 925 spams.

Je suis donc allé sur mes Settings de GMail, j’ai introduit les paramètres POP de ce compte, et j’ai créé un filtre pour mettre une étiquette spécifique aux e-mails venant de ce compte. Et j’ai laissé passer le weekend.

Ce matin j’ai constaté que j’ai reçu 168 messages sur le compte. Parmi eux, GMail a impitoyablement (et de façon très juste) bloqué 164 dans leur boîte à spam et un seul message spam s’est échappé et il est atterri sur ma Boîte d’Entrée. Trois messages utiles, bien étiquettés, complétaient le panorama du weekend.

Bilan? Ultra-positif, pour moi au moins. Le filtre anti-spam de GMail fait vraiment la différence, j’ai récupéré une compte que je ne pouvais plus utiliser.

Suite au test de viralité de la blogosphère

24-11-2006 par Horacio Gonzalez

Mardi dernier je vous parlait du test de viralité de la blogposphère conduit par Blogospherus. Les test semble se dérouler très bien, les trackback arrivent constamment au billet de test.

J’ai eu plusieurs commentaires positifs sur le dessin qui accompagnait mon billet, et cela m’a inspiré à le refaire, en essayant d’améliorer le précédent. Voici la nouvelle version :

Blogospherus

J’ai voulu représenter les liens qui se tisent entre des internautes de toute genre, race, age et lieu de provenance, car pour moi c’est une des plus grands effets bénéfiques d’Internet. Le dessin est sous licence Creative Commons, donc si vous voulez l’utiliser pour illustrer vos billets sur le sujet, vous pouvez le faire.

Et j’ai profité aussi pour répondre à la demande de Guillaume en faisant le bonhomme du Québec à son image 😉

Sinon, aujourd’hui j’ai découvert une deuxième initiative semblable, née de la précédente. C’est le Second test de viralité de la blogosphère de Barrablog. La différence avec l’initiative de Blogospherus est subtile mais importante :

Reprennant l’idée de Blogospherus, je veux également savoir si la blogosphère est opérationnelle, mais sans commentaire, ni trackback de départ, surtout sur un blog influent. D’ou une évaluation de la puissance virale partant d’un blog non influent. Pas de dépôt de message, pas de trackbacks de ma part.

Dit avec d’autres mots, est-ce que le test marcherait aussi si le blog de départ n’était pas un de ces blogs influents dont on entend tant parler ces derniers temps ? Comme la question m’a intrigué, j’ai décidé apporter mon grain de sable avec ce billet…