En profitant que j’avais une vingtaine d’euros en commissions chez Comboutique, j’ai décide de me faire plaisir et m’acheter un nouveau sweat.

J’avais l’idée en tête depuis quelques mois. Je pense que j’ai un peu trop joué avec mes LEGO, mais je voulais un sweater inspiré du vieux logo LEGO Space. J’ai donc pris Inkscape et dessiné ma version du classique logo.

Ensuite, après un passage rapide par Comboutique, cela a donné un beau sweat, que je me suis pressé de commander :tongue_rolleye_ee:

J’ai hâte de que la commande arrive !

Un fois les dessins en format vectoriel, je me suis dit que c’était dommage de laisser un coloriage plat. J’ai donc ajouté quelques ombres simples, et voici le résultat :

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J’ai profité aussi d’avoir les dessins sur Inkscape pour corriger rapidement quelques erreurs (comme le pied droit dans le dessin suivant), d’une façon beaucoup plus rapide et simple (pour moi) que je n’aurais pu avec Gimp.

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La bonne nouvelle c’est que ça m’a pris moins de temps que je n’avais imaginé… la mauvaise c’est que je n’ai plus d’excuse pour ne pas le faire systématiquement. 😉

La façon “classique” de traiter un dessin après l’avoir scanné est d’utiliser Gimp ou Photoshop pour nettoyer les lignes et faire le coloriage. Et j’imagine bien que pour quelqu’un d’expert dans ces outils, cette façon là de faire est l’optimale, mais moi, je me suis toujours senti plus à l’aise avec les programmes de dessin vectoriel (surtout Inkscape). La flexibilité, la capacité de pouvoir modifier chaque forme nœud à nœud, la mise à échèle parfaite…

Cependant, pour mes dessins Job of the Dead, j’avais essayé de me passer d’Inkscape et de tout faire sur Gimp. Sur le moment, je n’étais pas mécontent du résultat, mais hier soir, en regardant à nouveau, je me suis aperçu que la qualité était assez médiocre, les dessins avaient un aspect était complètement pixelisé.

Je me suis donc mis à refaire le boulot avec Inkscape. Du coup, non seulement j’ai trouvé ça beaucoup plus rapide (à peine dix minutes pour la vectorisation, le lissage des contours, les corrections des formes et le coloriage), mais je suis beaucoup plus content du résultat

A gauche avec GIMP, à droite avec Inkscape

J’adore Inkscape !

La semaine dernière avec les variations du Tetris avec un petit twist, je vous parlais de First Person Tetris, un sorte de Tetris inverti ou ce n’est pas la pièce qui tourne mais le puits.

Aujourd’hui je vous présente un autre jeu qui inverse le paradigme d’un grand classique. Gnop, comme son nom indique, est un Pong à l’envers, où on contrôle la balle et l’objectif est juste de ne pas frapper les raquettes.

Sinon, dans la même idée de Pong avec un twist, je ne peux que vous recommander aussi Curveball, un first person Pong en 3D joué du point de vue de la raquette.

J’ai découvert Gnop grâce au toujours excellent Boing Boing.

J’aime beaucoup le style de dessin des séries comme La Ligue des Justiciers ou Kim Possible, des dessins assez stylisé, des proportions exagérés, des poses pleines d’action… Et c’est un peu ce style là que j’essaie de suivre avec les deux crayonnés rapides de ce soir. Deux personnages, un héros classique et un antihéros plus ténébreux.

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Et voilà, je continue avec mes zombies. J’imagine que être en train de lire Monster Nation y est pour quelque chose ;).

Je démarre donc Job of the Dead, la mini-série sur les zombies au bureau, que pour l’instant je vois comme une sorte de Caméra Café avec des morts vivants.

Hier ayant été une journée particulièrement dure, en arrivant chez moi je n’ai rien envie de faire mis à part m’assoir devant la télé et me vider le cerveau…

Je me suis quand même forcé à me mettre devant l’ordinateur et faire un coloriage rapide des croquis de l’autre jour.

Pour me changer un peu des zombies des derniers jours, hier soir j’ai repris un crayonné fait l’autre jour et j’ai dessiné plusieurs variations du même personnage…

Si il y un jeu qui par son potentiel addictif mérite bien d’être appelé ravageur de productivité, c’est sans doute le Tetris.

Comme je vous ai déjà raconté, le Tetris fait partie de mon histoire personnelle (et même professionnelle, car mon premier projet informatique sérieux était de développer un clone du Tetris en Pascal et assembleur).

Des clones de Tetris, il y a des centaines, et il faut avouer, une fois qu’on a joué à un on a joué à tous. Cependant il y a toute une série de jeux qui ne se limitent pas à copier le Tetris, mais qui s’inspirent de lui pour créer des expériences ludiques toute à fait innovantes, des jeux avec des gameplays originaux et addictifs, qui tordent et mélangent le paradigme de Tetris pour des résultats surprenants.

Aujourd’hui je vous parle de deux de ces jeux, First Person Tetris et Tuper Tario Bros..

First Person Tetris

First Person Tetris semble être un Tetris toute à fait ordinaire, mais lorsque vous commencez à jouer vous vous rendez compte qu’il a une petite subtilité qui change complètement le jeu. Je vous laisse découvrir laquelle…

Tuper Tario Tros.

Qu’est-ce qu’on a si on mets dans un mixeur Super Mario Bros et Tetris ? La réponse est simple, on obtient Tuper Tario Bros..

Tuper Tario Tros. est donc un mashup de Super Mario Bros et Tetris, avec deux modes de jeu :

• Mode Super Mario, ou on doit avancer par un niveau en collectant des pièces et en esquivant les ennemies
• Mode Tetris, dans lequel les blocs de tetris tombent du ciel sur le parcours de Mario, et il faut essayer de les placer de la meilleure façon pour faciliter la tâche du petit plombier rouge (et éviter que les blocs tombent sur sa tête, bien entendu).

On change d’un mode à l’autre en appuyant sur espace, et la difficulté du jeu est juste de choisir le bon mode à chaque moment pour réussir à avancer et à compléter le niveau.

Bref, un jeu intelligent et original, qui ne se limite pas à s’appuyer sur le facteur nostalgie des deux jeux mythiques mais qui apporte un gameplay innovant.

Je crois que je vais finir par faire un petit webcomic sur cette invasion de zombies…