Richard Grayson est un pianiste et compositeur américain, dont la longue trajectoire professionnelle a été surtout marqué par sa passion pour les improvisations et variations sur des thèmes connus, et pour sa recherche autour de la musique classique avec des instruments électroniques. Officiellement à la retraite, M. Grayson continue à donner des cours d’improvisation à la Crossroads School et à faire des concerts et ateliers un peu partout.

En mars 2009, lors d’un concert à la Crossroads School, M. Grayson a voulu surprendre le public en improvisant des variations sur des aires bien connues, celles de la bande son de Star Wars. D’abord il prend le thème de la Marche Impériale (ou Darth Vader Theme) et le joue à la façon des romantiques du XIX^ème siècle :

Et ensuite, il s’attaque au thème principal ((alias Star Wars Theme), en faisant cette fois une improvisation en style baroque :

Je trouve simplement magnifique comme M. Grayson réussit à transformer les mélodies tout en gardant leur esprit. Et penser que ce sont des improvisations rend le la performance encore plus époustouflante. La Force est avec M. Grayson…

Au fait, si vous aimez la musique et Satr Wars, je vous conseille vivement la page Wikipédia dédiée à la musique de Star Wars, avec une analyse de chacune des pistes des films de la saga.

Abadía Digital m’a mis sur la piste de ces superbes vidéos.

Comme les trois dernières années précédentes, le blog s’habille aux couleur d’Halloween. Le thème est presque calqué de celui de l’année dernière avec quelques modifications sur les images pour corriger les effets de la bizarre gestion de couleurs de Firefox 3.5+ qui rendaient le site très moche sur certains écrans… mais je parlerai de ça dans un autre billet.

Emotion’s

Cette semaine j’ai profité de quelques moments de repos pour finir de mettre à jour la première version du site web d’Emotion’s, un nouveau magasin de déstockage de grandes marques à Lesneven. Si vous aimez des marques comme Diesel, Guess, Kaporal ou le Temps des Cerises, vous pourrez y trouver votre bonheur à des prix très intéressants.

A ces mauvaises langues qui pensent que je fais de la pub, sachez que je ne gagne rien ni avec le site ni avec la recommandation. C’est un projet dans lequel je crois, et si je le recommande c’est parce que je pense que ça vaut la peine.

Blender

Sinon, je continue à jouer avec Blender et mes petits narizones, en changeant un peu le style en leur donnant des jambes :

J’ai aussi reçu les premières figurines imprimées en 3D avec Shapeways, mais cela reste aussi pour un autre billet.

En août dernier je vous montrais certains des travaux récents de Kurt Wenner, duquel je vous avais déjà parlé il y a longtemps. Aujourd’hui je reviens sur l’œuvre de cet artiste, en vous présentant d’autres de ses travaux, tous plus spectaculaires les un que les autres.

Commençons par une anamorphose inspirée par Alice au Pays des Merveilles, faite en 2007 pour l’arrivée d’Eurostar au centre de Londres :

Image (C) Kurt Wenner

Voici une autre, inspirée du mythe de la Tour de Babel. Pour moi celle-ci est une des anamorphoses où l’effet de profondeurs est le plus réussi :

Image (C) Kurt Wenner

L’une des choses que je trouve le plus amusant des anamorphoses est comment l’effet n’est perçu que lorsqu’on regarde depuis le bon angle. C’est pour cela que j’apprécie particulièrement les photos prises depuis des angles différentes.

Image (C) Kurt Wenner

Image (C) Kurt Wenner

Encore une fois, pour voir des dizaines d’autres exemples, je vous suggère encore une fois d’aller visiter son site.

Il y a quelques mois je vous parlais d’une imprimante LEGO assez étonnante. Aujourd’hui, je vous montre une autre imprimante LEGO encore plus bluffante : une imprimante 3D LEGO qui construit des modèles en utilisant des briques LEGO.

A différence de l’autre imprimante, qui était construit avec des éléments LEGO classiques, celle-ci est construite avec des briques LEGO Mindstorms, mais cela n’enlève rien au mérite de cette imprimante, baptisée Maker LEGObot.

Et pour les vrais fans de LEGO, si vous voulez fabriquer vous même votre propre imprimante 3D LEGO, vous avez toute l’information nécessaire sur BattleBricks.

Punaise, si j’avais du temps…

Trouvé via Boing Boing.

Google n’est pas la seule à fêter les 30 ans de Pac-Man, il y a plein d’entreprises qui sortent des produits inspirés par Pac-Man pour tirer profit des geeks nostalgiques rendre hommage à l’un des icônes des jeux vidéo.

Parmi eux, il y a Moleskine, qui profite des noms de Hemingway, Picasso ou Matisse pour vendre des cahiers qui n’ont rien a voir avec ceux utilisés par ces artistes qui vendent des cahiers haut de gamme à un public aussi fidèle et branché que ceux qui achètent les produits de Steve Jobs.

Chez Moleskine ils viennent donc de sortir un Moleskine Pac-Man, joliment décoré avec des pac-mans et des fantômes. Et là où ça devient intéressant, c’est qu’ils ont pondu une jolie vidéo publicitaire pour leur produit.

Voici donc la vidéo en question :

Trouvé via Notebookism.

L’épisode des Simpsons émis hier aux États Unis avait un générique très particulier , conçu et dirigé par l’artiste britannique Banksy.

Comme on pouvait s’attendre d’un artiste aussi engagé et controversé (avec des attitudes des fois limite anti-système) que Banksy, son générique des Simpsons est tout sauf innocent, surtout lorsqu’on sait que la plupart du travail pour l’animation de chaque épisode est faite par des petites mains anonymes en Corée…

Ce n’est pas la première fois que dans les Simpsons on fait référence plus ou moins critique aux conditions de travail de ces artistes chargés
de l’animation de la série, mais c’est peut-être la première où ça va si loin dans cette satire.

Quelques heures avant de voir la vidéo via Boing Boing je l’avais découvert grâce à un mail de mon frère. ¡Gracias hermanito!

Ca y est, une fois de plus, la nouvelle release d’Ubuntu, Ubuntu 10.10 Maverick Meerkat, est sortie.

A l’origine, cet Ubuntu Maverick Meerkat ne devait sortir qu’à la fin octobre, comme c’est habituel pour la distribution. Mais cette année, la date du 10/10/10 était trop juteuse pour la laisser passer. Alors le cycle de releases a été un peu accéléré et la distribution est donc sorti dans la date emblématique.

Maverick Meerkat ? Kesaco ?

Maverick Meerkat est donc le surnom de cette release¹. Meerkat est un des ces mots en anglais dont je savais la signification mais je ne connaissait pas le mot pour le designer en français ni même pas en espagnol. En fait je voyais bien l’animal en question, mais j’étais incapable de trouver son nom en français, tout au plus je pouvais dire que c’est une sorte de mangouste africaine.

Car, vous verrez, vous aussi savez sûrement qu’est-ce que c’est un meerkat sans forcement savoir son nom en français : vous voyez Timon, l’un des compagnons de Simba dans Le Roi Lion, le petit, pas le sanglier Poumbaa. Timon est un meerkat. 🙂

Quelques recherches wikipedia plus tard, j’ai appris que en français cela s’appelle une suricate (suricata en espagnol). Ubuntu 10.10 Suricate Rebelle…

Mais revenons au sujet

Quoi de nouveau dans ce Maverick Meerkat ? D’abord aucun changement majeur, mais plein de petits changements qui dans son ensemble rendent le système plus agréable.

L’un des premiers points positifs se voit dès l’installation, maintenant Ubuntu peut chercher des mises à jour pendant l’installation et non après. Par contre, cela risque de poser des problèmes dans des environnements corporatifs, où la sortie internet passe par un proxy (dès que j’aurai testé au travail je vous ferai un retour sur ce point).

L’interface de base est semblable à celui de Lucid, en gardant les boutons à gauche par défaut (voir ici pour les remettre à droite). Comme nouveauté, il faut signaler une famille de polices de caractères, Ubuntu Font, assez jolie.

Sous le capot, des nouvelles versions de Gnome (2.32) et d’Evolution (à priori beaucoup plus rapide, mais je n’utilise plus évolution depuis deux ans…), l’inclusion de Shotwell comme logiciel par défaut pour le traitement de photos (remplaçant à F-Spot), des améliorations sur le client de micro-blogging Gwibber…

La nouveauté la plus voyante, peut-être, c’est une meilleure intégration par défaut d’Ubuntu One, qui passe d’être un simple stockage en ligne à la Dropbox à être un vrai cloud avec beaucoup de possibilités. Par contre, il me reste à savoir si ils ont enfin donné le support proxy au client, car sinon Ubuntu One sera encore complétement inutile pour moi (et pour la plupart d’utilisateurs corporatifs…).

Pour finir, les utilisateurs de netbooks il y a le nouveau interface Unity Desktop, censé permettre de mieux profiter du système sur un petit écran. Je vous raconterai lorsque je l’installerai sur mon Eee PC…

Comme d’habitude, les release notes complètes sont sur le site d’Ubuntu.

¹ : Selon la coutume, les noms des releases Ubuntu sont des couples Adjectif – Nom d’animal commençant par la même lettre, lettre qui est incrémentée dans chaque release : Karmic Koala, Lucid Linx, Maverick Meerkat…

Au moment où ce billet sera mis en ligne il sera 10 heures, 10 minutes et 10 secondes du 10 octobre 2010, 10/10/10…

En plus, en binaire 101010 correspond au 42 en base 10. Oui, 42.

Curieuse journée, curieux instant…

Plusieurs collègues m’ont reproché d’avoir laissé le blog un peu à l’abandon ces deux dernières semaines, et je dois les donner raison.

Même si je n’ai pas trouvé le moment d’écrire, j’ai noté pas mal de choses dont je voulais parler, parmi lesquelles des photos de mon week-end à Ouessant, ou l’Ubuntu nouveau, qui débarquera normalement ce dimanche, et dont la bêta est vraiment bien sympathique…

En attendant, je reviens sur mon billet précédent. J’ai continué à jouer avec Blender, modelant et animant mes narizones. J’ai refait en numérique toute mon equipe de Blood Bowl, et quelques personnages de plus. J’ai mis quelques exemples sur Flickr, vous pouvez les voir en cliquant ici ou sur l’image qui suit.

Et où est-ce que cela m’amène ? Mon prochain objectif est clair, tester des services d’impression 3D et transformer ces modèles en miniatures à la même échelle que ces que je fais à la main, et voir qu’est-ce que ça donne.

Des fois je me dis que ça fais beaucoup d’efforts pour pas grande chose, que je devrais peut-être grandir et laisser ces gamineries de côté.

Heureusement, ces moments de faiblesse passent rapidement :wink_ee: