Pour suivre avec la série initiée hier, voici un petit jeu d’exploration au look retro et à un gameplay qui rappelle des jeux comme le Zelda original : The Fabolous Explorationsland.

Et comme aujourd’hui c’est la veille de Noël, j’imagine qu’avec un seul jeu il suffit pour aujourd’hui…

Bon Réveillon à tous !!

Sous le titre de ravageurs de productivité je compte mettre des petits jeux flash que par leur potentiel addictifs peuvent devenir des vrais ravageurs de votre productivité. Cliquez donc à vos risques et périls…

Aujourd’hui, en cette veille de la veille de Noël, je veux vous proposer quelques jeux qui surfent la vague des retrogames et qui montrent qu’on n’a pas besoin de graphiques photoréalistes ni des une bande son dolby stéreo surround pour faire des petits jeux efficaces et bien addictifs.

Le premier, The fantasy of the Sord est un jeu de plate-formes très simple dans lequel on doit guider le héros, armé de son épée et son courage, et lui aider à survivre à des tonnes de dangers.

Si vous avez un certain age (comme c’est mon cas), en jouant The fantasy of the Sord vous aurez peut-être eu des souvenirs du mythique Ghosts’n Goblins. Et ben, si c’est le cas, préparer vous a renfiler votre armure et reprendre votre épée, car ici vous avez un remake flash du mythique titre de Capcom.

Un autre jeu sympathique que j’ai découvert hier c’est Dino Run, un jeu dans lequel nous devons guider un petit dinosaure dans sa course pour éviter l’extinction. Le petit plus du jeu c’est que les obstacles (ennemis, chutes…) ne tuent pas le dinosaure, mais il lui font perdre de temps… et le temps est juste ce dont il a besoin pour échapper à sa destinée.

Bon, j’imagine que avec ces trois petits jeux vous avez de quoi occuper cet après-midi avant la veille de Noël, alors la suite un autre jour…

Depuis vendredi dernier je suis en vacances, et je dois avouer que ça fait vraiment de bien :tongue_wink_ee:

A différence de l’année dernière, cette année je ne pars pas en Espagne pour Noël, je reste dans la pointe de la Bretagne. J’ai donc profité de ce début de semaine de vacances pour finir mes achats de Noël et préparer les colis.

Heureusement, je n’étais pas seul pour cette préparation des cadeaux, j’ai pu compter sur un vrai professionnel dans la matière, le Père Noël en personne (ou plutôt en plastique). Après deux heures d’efforts devant la télé, voici le résultat :

Désolé pour la pauvre qualité de la photo, depuis la disparition de mon appareil photo je n’ai que mon portable pour assurer la prise d’images…

Cartes de vœux

J’ai aussi profité de la journée pour préparer mes cartes de vœux. Depuis quelques années, j’ai abandonné les cartes papier en faveur des cartes de vœux par e-mail. Mais cette année, en faisant la liste des personnes auxquelles je tenais à souhaiter des bonnes fêtes, je me suis posé la question de si le e-mail était le bon moyen ou si ça serait mieux de passer plutôt par Facebook.

A la fin j’ai choisi l’e-mail et je vous assure que c’est bizarre de se sentir traditionaliste parce qu’on choisit d’envoyer les cartes de vœux par e-mail…

Thème de Noël

J’imagine que vous l’avez déjà remarqué, mais je vous le signale au cas où vous ne lisez que le flux RSS : j’ai à nouveau changé le thème du blog pour le mettre dans l’ambiance de Noël. Une année de plus, j’ai choisi de marquer la dualité franco-espagnole de LostInBrittany, en plaçant à gauche, du côté breton, le vieux Père Noël et à droite, du côté espagnol, les trois Rois Mages.

Étant un fervant utilisateur d’Ubuntu depuis des années, je me sens beaucoup plus à l’aise sur des distributions de type Debian que sur celles basées sur RedHat. Cependant il m’arrive relativement souvent (surtout ces derniers temps) de devoir m’occuper de serveurs RedHat-like, et à chaque fois je constate encore une fois que je préfère la façon Debian d’administrer le système.

A titre d’exemple, voyons le dernier problème auquel je me suis confronté ce matin. L’opération était de la pure routine, je voulais installer un nouveau paquet sur un serveur. Mais lorsque je lance mon yum install, je me suis heurté à un beau message d’erreur pas explicite de tout :

J’ai essayé d’abord la solution classique aux problèmes yum, un bon vieux yum clean all, mais cela n’a rien fait. Les premières recherches sur le net suggéraient que le problème venait de ma base de données des RPM en local, qui serait corrompue, mais la solution proposée ne marchait pas :

Après quelques recherches de plus, j’ai fini par trouver une solution qui marche :

Et oui, ça marche… mais je ne sais pas pourquoi. Ce qui m’ennuie est donc le côté “magique” de la solution, je n’ai trouvé aucune explication du pourquoi du comment. Ca marche, mais personne ne semble savoir pourquoi, ni d’où vient l’erreur. Et j’ai du mal à comprendre qu’est-ce que /dev/urandom, un pseudo-fichier pour génération de nombres aléatoires, a à voir avec des problèmes de yum.

Définitivement, je préfère mon Ubuntu…

Hier j’ai enfin trouvé le temps d’installer la dernière version d’Ubuntu sur mon portable du travail. Comme ça fait déjà deux mois que j’utilise Karmic Koala sur mon ordinateur fixe, je savais que je n’allais pas avoir de problème majeur. Cependant, je suis tombé sur un petit bug énervant, et je profite de ce billet pour vous en parler.

Lorsque j’ai fait tourner Eclipse 3.5 sur mon nouveau Ubuntu, j’ai constaté que certains boutons de fenêtres modales deviennent inutilisables, lorsqu’on y clique on les voit “enfoncées” mais aucune évènement ne se passe. Il fallait donc cliquer sur le bouton pour le sélectionner et ensuite appuyer sur la touche Entrée pour valider la sélection.

En cherchant un peu sur le net, j’ai vu que le problème est dû à une incompatibilité entre la version 3.5 de SWT (le framework graphique derrière Eclipse) et la version 2.18 de GTK. Normalement, la prochaine version de SWT corrigera le soucis, mais en attendant, il y a une solution assez facile.

Pour qu’Eclipse se comporte comme il devrait, il suffit de lui indiquer d’utiliser le mode fenêtre native en GDK, en faisant un export GDK_NATIVE_WINDOWS=1 avant d’appeler l’exécutable eclipse.

Pour faciliter la tâche, la façon la plus simple d’agir est de créer un petit script eclipse.sh et de lancer Eclipse à partir de ce script :

En attendant la sortie d’Eclipse 3.6, cette petite astuce permet donc de contourner le problème facilement.

Ca faisait longtemps que je n’alimentais pas le tag cadeaux geek mais maintenant, à l’approche de Noël (je refuse encore de dire fêtes de fin d’année), c’est un bon moment pour proposer des idées cadeau, non ?

Etsy est une vraie caverne d’Ali-Baba. On peut y trouver presque tout, du summum du kitch aux objets cultes capables de faire fondre le cœur du geek en recherche de cadeaux. Et pour moi Icon Pillows fait partie de cette dernière catégorie.

Si vous êtes tentés par ces jolis coussins aux effigies des icônes iPhone, vous pouvez les commander pour un peu plus de 10€ sur Icon Pillows. Et si vous êtes fans d’Android et vous refusez d’avoir chez vous des coussins-icônes iPhone, chez Icon Pillows ils proposent de faire des coussins-icône sur mesure avec les icônes de votre choix.

Avouez que ces coussins sont vraiment craquants !

Trouvé via Microsiervos.

La photo appartient à Icon Pillows, elle n’est donc pas soumise donc à la licence Creative Commons de mon blog.

Ca y est, le rêve de tout geek est devenu réalité avec ce pack spécial édition pour collectionneurs avec tous les films de Star Wars… je veux dire de Star Trek… de Star Machin-Truc, quoi ! :lol_ee:

J’imagine bien qu’il s’agit d’une édition pirate, mais j’ai du mal à comprendre comme ils ont commis pareille erreur. Le type qui l’a préparé a dû quand même passer du temps à préparer l’affiche qui va avec, il est allé chercher les jaquettes, il a photoshoppé le titre… et il n’a même pas chercher à savoir de quoi il s’agit.

Un beau WTF, en tout cas… :rolleyes_ee:

Trouvé via FailBlog. Where else… ?

La photo appartient à FailBlog, non soumise donc à la licence Creative Commons de mon blog.

Ce weekend dernier je suis tombé sur deux petits jeux vidéo auxquels j’ai bien accroché. Aucun des deux jeux n’est original, il s’agit des versions de jeux qui sont là depuis longtemps (ou même très longtemps).

J’ai découvert le premier grâce à Olivier SC. Il s’agit d’une version JavaScript de la célèbre tortue Logo, qui m’a ramené 25 ans en arrière à l’époque ou je découvrais le monde de la programmation sur l’ordinateur à mon père.

Le seul truc qui m’embête c’est cette vielle manie (heureusement dépassée) de traduire les commandes du langage, de devoir taper AV ou AVANCE à la place de FD ou FORWARD. Mais bon…

Oui, je sais que la tortue Logo n’est pas un jeu vidéo au sens propre, c’est un outil d’apprentissage des concepts de programmation. Mais à l’époque ou je l’ai découvert, je le percevais comme un jeu, un challenge, programmer la trajectoire de cette foutue tortue pour que lorsque je l’active elle bouge comme selon la trajectoire que j’avais imaginé. Donc maintenant, plus de vingt ans après, la tortue Logo reste associé pour moi aux jeux vidéo.

J’ai découvert le deuxième grâce au blog de jeux de Microsiervos. Il s’agit de Penguins attack, une variante du classique Tower Denfense (TD) ou les hordes d’assaillants sont des pingouins .

Comme dans tous les TD, l’objectif est trouver la façon optimale de dépenser son budget et placer et améliorer les tours pour présenter la défense la plus efficace possible contre les vagues successives d’ennemis. Le petit bonus ici sont les personnages bien sympathiques et les décors bien pensés.

A priori les deux jeux n’ont rien à voir l’un avec l’autre, mais après avoir passé quelques heures sur chacun je me suis rendu compte que tous les deux ont un principe semblable, tu programmes ton système, tu l’actives et tu vois le résultat de tes ordres… et c’est juste ce côté de programmation et d’anticipation du résultat que j’adore dans ce type de jeux. Déformation professionnelle de développeur, je pense :rasberry_ee:

Après plusieurs mois de mal de dos et migraines, et surtout vu que les dernières semaines la douleur revenait de plus en plus souvent, j’ai dû me rendre à l’évidence : il fallait que je retourne me faire manipuler le cou.

Ayant eu des très bons échos d’une étiophate du coin, j’ai fini par prendre rendez-vous pour mercredi dernier. Et je dois dire que je ne regrette pas (ou plutôt je regrette de ne pas être allé plus tôt).

Déjà elle a trouvé tout de suite les points ou mes cervicales étaient bloquées, ainsi que les mouvements qui déclenchent mes migraines. Ensuite, elle a manipulé les vertèbres (avec les correspondants craquements à chaque fois, toujours aussi impressionnants) et j’ai senti comment le cou se débloquait.

Le soir j’étais complètement k.o., comme d’habitude après ce type de traitement, mais je sentais déjà le cou libre de blocages. Et maintenant, après quelques jours, je me sens revivre, mon cou est libre de tensions par première fois depuis des mois, c’est un vrai plaisir !

Je sais que beaucoup de monde pense que l’ostéopathie, l’étiopathie et des autres pratiques semblables sont de la pseudo-science, sans base réel. Je n’ai pas assez d’éléments pour y juger, la seule chose que je sais c’est que lorsque j’ai fait recours à cette type de pratiques, le résultat a toujours été au rendez-vous. Pas d’effet placebo, non, ça a simplement marché.