Billets avec l'étiquette ‘Geek’

Encore à Paris

17-12-2008 par Horacio Gonzalez
LiB à Paris

Encore une fois je suis à Paris pour le travail, et cette fois je reste deux jours.

J’ai fait le voyage avec deux collègues qui venaient aussi à la capitale, mais pour d’autres sujets. Comme les lieux de nos rendez-vous respectifs n’étaient pas trop loin, et comme il y avait un avis de grève dans le RER, on a décidé de prendre un taxi ensembles.

Si la semaine dernière j’ai expérimenté la joie des transports en commun bondés, ce matin c’était le tour des embouteillages monstres. Un vrai parcours touristique de deux heures pour aller d’Orly à Opéra, avec tous les topiques qu’on a lorsqu’on pense à la circulation parisienne : des voitures à perdre de vue, des motos aux parcours chaotiques, des grosses Peugeot noires aux vitres tintés et aux gyrophares hurlants qui montrent que le concept d’égalité ne s’applique pas à tous (et moins encore dans les bouchons), une radio branché sur RFM Info et un chauffeur de taxi stéréotypé qui donne son avis sur chaque nouvelle (surtout si c’est politique)…

Ensuite une bonne journée de travail, très productive. Et maintenant enfin à l’hôtel, je pose mon sac, j’écris mon billet et je pars me balader et regarder les illuminations.

Petite commentaire geek

Cyber LiB

Ces derniers jours j’ai passé mon temps à changer entre mon poste normal sur Ubuntu et une plateforme de test sur Scientific Linux (une distribution dérivée de RedHat).

Je ne vais pas parler des différences entre les deux distributions, ni entre la philosophie apt-get - .deb et yum - .rpm, ni des problèmes pour que la machine physique sur Ubuntu puisse communiquer avec la machine virtuelle sur Scientific Linux, ni de la compilation des sources d’Apache et de PHP avec tous les bibliothèques qui vont bien pour le projet. Non, après la longue journée je n’ai plus vraiment envie de parler technique.

Par contre, et sur le ton de l’anecdote, je veux vous parler d’une des conséquences de devoir jongler entre des différentes distributions de Linux : le fait de devoir changer des automatismes à causes des petites différences entre elles. Ce sont des différences souvent infimes, mais qu’au bout d’un moment deviennent agaçantes.

Un bon exemple c’est le cas de l’alias ll (pour ls -l), activé par défaut sur les distributions RedHat mais désactivé sur Ubuntu. Heureusement, la solution est bien simple, il suffit d’éditer son ~/bash.profile et ajouter une ligne d’alias :

alias ll='ls -l'

Rien d’extraordinaire, mais bien pratique. Le problème c’est que comme celle-ci il y a des dizaines d’autres…

Courses de vecteurs

01-12-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et les courses de vecteurs

Je devais avoir onze ou douze ans lorsque j’ai découvert le concept de vecteur. A l’époque j’étais déjà un geek en herbe (ou plutôt un vrai nerd), et pendant que mes collègues de classe passaient les récrées à poursuivre des ballons, je me planquais dans un coin du pré pour jouer à Dungeons & Dragons avec une poignée d’amis aussi nerds que moi. Pendant que les autres jouaient à imiter leurs idoles du Real Madrid, nous on parcourait des mondes imaginaires sauvant des princesses et tuant des monstres…

Et c’est grâce aux jeux de rôles que j’ai appris ce qui était un vecteur. Concrètement grâce à Traveller, l’un des premiers jeux de rôles de science fiction. Etant un jeu dit de hard science fiction, les règles de Traveller se voulaient réalistes, et cela se voyait surtout dans les règles de combat spatial, où le mouvement des les vaisseaux spatiaux se faisait selon une mécanique vectorielle prenant en compte la vitesse et l’accélération du vaisseau ainsi la force d’attraction des différents corps célestes l’entourant.

C’est donc comme ça que j’ai passé des soirées entières armé d’un crayon et une règle à planifier des trajectoires pour faire que mon vaisseau traverse des champ d’astéroïdes sans finir écrasé contre un caillou ou brûlé contre le soleil.

Et je pense que c’est en parlant avec le père d’un de mes camarades de jeux de rôles qu’il m’a appris à jouer aux Courses de vecteurs. L’idée à la base était assez semblable au jeu que je jouait déjà avec mon crayon et ma règle, mais avec l’avantage de que ça pouvait se jouer sur du papier à carrés typique des cahiers du collège. Et cela le rendait le jeu idéal pour passer le temps lors des ennuyantes classes de biologie ou littérature.

Course de vecteurs, le jeu papier

Le jeu simule une course de vaisseaux spatiaux dans laquelle chaque vaisseau suit un mouvement vectoriel simplifié en 2D. Il peut être joué en solo ou à plusieurs (je me souviens d’une partie épique avec 8 participants sur un méga-circuit formé par 16 feuilles A4), et le seul matériel nécessaire ce sont des feuilles quadrillées pour faire le circuit et des crayons de couleurs différentes pour chaque joueur.

La première chose à faire est de dessiner un circuit sur la feuille. Il vaut mieux que le circuit soit assez large (cinq ou six cases au moins). Pour les premières parties, un simple circuit elliptique fera bien l’affaire, mais les possibilités sont illimitées, on peut le compliquer plus ou moins en ajoutant des courbes, des chicanes, des obstacles…

Ensuite on place les coureurs dans la ligne de départ, en partant de l’arrêt (vitesse initiale zéro), et la course peut commencer. Dans son tour, chaque joueur fait :

  1. Le joueur reproduit le vecteur de mouvement du dernier tour à partir de la position actuelle
  2. L’étape précédente détermine neuf intersections, celle de la fin du vecteur et les huit adjacentes. Ces intersections déterminent l’effet de correction de trajectoire du aux moteurs du vaisseau.
  3. Le joueur choisit une de ces intersection comme point de destination et trace le vecteur de mouvement du tour
Course de vecteurs

Le gagnant est, bien sûr, le premier des joueurs qui réussit à amener son vaisseau à la ligne d’arrivée sans qu’il sort du circuit ou qu’il ne percute les obstacles.

Course de vecteurs, version Java

Et bien, imaginez ma surprise lorsque ce matin je suis tombé sur un petit jeu en Java, Vector Racer, qui a repris la même mécanique du jeu original sur papier, au point que même le circuit semble dessiné au crayon sur la feuille de cahier quadrillé.

Si vous avez eu du mal à suivre mon explication de la mécanique du jeu, Vector Racer est un bon moyen de tester ce que ça peut donner. Le jeu est bien fait, et je dois avouer que si bien le facteur nostalgie me fait préférer la version papier, c’est vachement plus pratique de l’avoir en version informatique…

Piste Vector Racer

Vector Racer trouvé via JuegosDeIngenio.org.

Au fait, en préparant ce billet, j’étais aussi très surpris de voir que la version anglaise de Wikipedia a une superbe explication du jeu, qu’ils appellent Racetrack.

Les Monty Python ont compris

24-11-2008 par Horacio Gonzalez

La semaine dernière les survivants des Monty Python ont annoncé la création d’un canal YouTube dédié à la diffusion d’extraits de leurs œuvres.

La vidéo qui annonce la création du canal est un vrai bijou dans le plus pur style Monty Python :

J’adore comme ils expliquent leur démarche avec cet humour caractéristique qui les a rendu célèbres :

Depuis trois ans, vous les YouTubers nous arnaquez, en mettant des dizaines de milliers de nos vidéos sur YouTube. L’heure est venue que nous prenions les choses en main.

Nous savons qui vous êtes, nous savons où vous habitez, nous pourrions vous poursuivre avec des moyens d’une horreur indicible. Mais étant les types exceptionnellement gentils que nous sommes, nous avons trouvé un meilleur moyen de reprendre ce qui nous revient : nous avons lancé notre propre canal Monty Python sur YouTube.”

C’est fini les vidéos d’une qualité merdique que vous avez posté. Nous vous donnons le matériel authentique, des vidéos en haute qualité sorties directement de nos réserves. En plus, nous allons prendre nos vidéos les plus vus sur YouTube et nous allons mettre des nouvelles versions en haute qualité. Et encore plus, nous vous laissons regarder tout ça d’une façon complètement gratuite.

Mais nous demandons quelque chose en échange. Pas de commentaires décérébrés. A leur place, nous voulons que vous cliquez sur les liens et que vous achetez nous films et séries télé pour apaiser notre douleur et dégoût d’avoir été arnaqués tous ces années.

LostInBrittany

Bref, les Monty Python ont compris qu’ils ont beaucoup plus à gagner en collaborant avec leurs fans qu’en essayant de les poursuivre, et ils se sont prêtés au jeu, un jeu gagnant-gagnant. Pour moi, il y a trois leçons fondamentales à tirer de cette affaire, et des autres mouvements semblables chez d’autres artistes :

  • On ne peut pas empêcher la diffusion des contenus sur internet. Même avec toutes les mesures légales et technologiques qu’on puisse mettre en place, les gens vont continuer à diffuser le matériel sur le net. Alors, mieux que de s’embarquer dans une bataille perdue d’avance, qu’en plus ls coûterait d’être très mal vus par leurs fans, les Monty Python préfèrent chercher comment ils peuvent tirer des bénéfices de la situation.
  • Les fans ont de la valeur. Ces fans sont des gens capables de passer des heures et des heures à sélectionner, traiter, mettre en ligne et diffuser des vidéos, tout ça de façon gratuite, poussés par son amour pour le travail des auteurs. Vous vous rendez compte de combien de marques souhaiteraient ce type de fidélité ? De combien les experts en marketing donneraient pour réussir à que le public s’investisse comme ça sur un produit ? Ce type de fans, on pourrait les punir (après tou, ce qu’ils font est techniquement illégal), mais c’est beaucoup plus intelligent de les remercier, de collaborer avec eux et de pouvoir tirer un bénéfice.
  • Sur internet les gens n’aiment pas payer pour avoir un contenu. Par contre, les fans continuent à vouloir acheter les DVDs, le support physique, même s’ils ont vu la vidéo sur le net des dizaines de fois. Alors, mieux que de demander de payer pour regarder leurs vidéos, les Monty Python ont joué la carte réaliste : offrir les vidéos gratuitement et proposer en même temps l’achat des support physique, en sachant qu’une petite partie des gens qui visionneront les vidéos voudra ensuite acheter les DVDs. Et même si ce n’est qu’un petit pourcentage, avec des millions de visiteurs ça peut vite devenir rentable.

Je pense que ce type de démarches deviendront de plus en plus normales, lorsque les artistes comprendront enfin qu’il y a beaucoup plus à gagner en essayant de trouver un bénéfice dans le nouveau paradigme qu’en essayant de lutter des batailles qui sont perdues d’avance.

De la Terre à la Lune

29-09-2008 par Horacio Gonzalez
LiB geek

Si je vous disais que votre four à micro-ondes ou votre nouvelle machine à laver ont des micro-controlleurs plus puissants que ceux qui ont permit à l’homme d’atterrir sur la Lune, vous penseriez peut-être que j’exagère. Mais la comparaison est rigoureusement exacte, comme vous allez voir…

Les micro-constrolleurs dans vos appareils ménagers tournent à des vitesses de plusieurs dizaines (ou même centaines) de MHz et stockent leurs programmes sur des mémoires de plusieurs Ko, le tout dans une petite puce de quelques cm de côté.

De son côté, l’ordinateur de vol des capsules spatiales du projet Apollo avait des spécifications bien modestes : processeur de 1 MHz avec 11 instructions, mémoire RAM de 2Ko (1024 mots de 16 bits) et mémoire ROM de 12 Ko où il était stocké le programme Colossus 249 de contrôle de vol. Et ça sur une “carte mère” que faisait presque 2 mètres par 1 mètre.

Ordinateur de vol de l'Apollo

Vu d’aujourd’hui, il semble presque incroyable qu’un ordinateurs comme celui-là puisse avoir permit à la NASA de réussir la conquête de la Lune. Et c’est surtout un témoignage de l’ingéniosité et la compétence des ingénieurs du programme spatial, qui ont réussi à profiter jusqu’à dernier octet de cette mémoire pour écrire un programme capable d’amener la capsule sur la Lune et la faire ensuite revenir sur Terre.

Ordinateur de vol de l'Apollo

Pendant quelques années, cet ordinateur de vol de l’Apollo a été exposé dans le musée de l’Université de Standford, vous pouvez donc trouver plus d’information sur leur site.

Et si vous avez l’âme d’un vrai geek de l’électronique, vous pouvez vous construire votre propre réplique de l’ordinateur Apollo en suivant ces instructions détaillées.

Trouvé via Microsiervos.

Google dédie son logo au LHC

10-09-2008 par Horacio Gonzalez

Sauf à avoir vécu dans une île déserte les dernières semaines, vous êtes au courant qu’aujourd’hui, 10 septembre 2008, est un jour historique pour la science, le jour du démarrage du LCH (Large Hadron Collider ou grand collisionneur de hadrons).

Le LHC, le plus grand accélérateur de particules du monde, a été allumé ce matin au CERN, sur la frontière franco-suisse.

A l’heure ou j’écris ce billet les premiers faisceaux de protons ont déjà parcouru les 27 km de ce grand anneau, et le monde est encore là malgré la crainte de certains sur la création d’un trou noir qui engloutirait la planète.

En tout cas, un événement aussi importante ne pouvait pas passer inaperçu chez Google, et comme tout le monde imaginait, ils ont aujourd’hui dédié leur logo au LHC :

Logo Google dédié au LHC

Pour moi l’un des plus beaux logos Google de ces derniers temps.

Geekini

27-08-2008 par Horacio Gonzalez
Mario

Vous vous souvenez peut-être des boucles d’oreille geek ou de la sexy culotte username/password dont je vous parlais l’année dernière.

Aujourd’hui je vais vous présenter un autre cadeau pour geekettes (ou copines de geek) qui montre qu’être geek n’est pas incompatible avec être sexy, bien au contraire : le geekini.

Le geekini
Link

Le geekini est une création du designer John Nouanesing (dont le site est offline au moment où j’écris ces lignes). Comme vous pouvez voir, il s’agit d’un bikini classique dans lequel il a placé de façon très stratégique les boutons de la manette Nintendo classique.

Oui, tous les boutons, même Select et Start, je vous laisse le soin de les trouver dans la photo suivante.

C’est dommage que le geekini ne soit pas encore en vente. Sinon, ça ferait le cadeau idéal pour offrir à quelqu’un comme Valérie, de Hello Geekette.

Ah, et si le blanc ne vous va pas bien, ça existe aussi en noir…

Le geekini noir

Trouvé via No puedo creer que lo hayan inventado.

Orchestre LEGO Star Wars

07-08-2008 par Horacio Gonzalez
Star Wars

Disclaimer : Avec plus de 9 millions de spectateurs sur YouTube, et publiée en 2005, la vidéo dont je vais vous parler aujourd’hui est sans doute loin d’être une nouveauté. Mais par une étrange combinaison de facteurs, je n’était jamais tombée sur le morceau et je viens de le découvrir aujourd’hui. Une vidéo aussi bien faite, mélangeant deux de mes obsessions les plus geeks, je ne peux pas y résister.

La Marche Impériale est l’un de mes morceaux musicaux favoris, et lorsque c’est interprété par des musiciens de la catégorie de cette Orchestre Philharmonique de Coscurant. C’est un morceau d’une rare Force…

Ca me rappelle que je dois commencer à épargner pour l’Etoile de la Mort qui sort dans les prochains mois… :cheese1_ee:

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01-07-2008 par Horacio Gonzalez
Anniversaire SOS

Aujourd’hui Times Online publie un article intitulé SOS: the signal that has saved thousands turns 100.

Car le 1er juillet 2008 est la ratification des accords qui instaurent le SOS comme signal radio original de détresse.

Il y a beaucoup de légendes urbaines au tour de pourquoi on a choisi SOS comme signal de détresse, si ça voulait dire Save Our Souls (sauvez nos âmes) ou Save Our Ship (sauvez notre navire), mais la vérité est beaucoup plus simple : il fallait un signal simple a émettre et simple à comprendre, que même un novice en Morse puisse comprendre, et SOS (● ● ● ▬ ▬ ▬ ● ● ● ou ti ti ti ta ta ta ti ti ti) remplissait bien ces caractéristiques.

Bien sûr, on ne peut pas parler de SOS sans parler du Titanic et de la nuit du 14 avril 1912 lorsque le paquebot réputé insubmersible coule après avoir percuté un iceberg. Cette nuit là, les opérateurs radio du Titanic ont lancé le signal de détresse international dans ce qui est l’une des premières fois dont son utilisation est confirmé.

Titanic

Dans cette époque numérique où le Morse est devenu presque une “langue morte” et le SOS n’est plus utilisé, le SOS reste emblématique, un symbole universellement connu qui a sauvé des innombrables vies.

Joyeux anniversaire, SOS !

Comme souvent, c’est Microsiervos qui m’a mis sur la piste.

Super Smash Bros Brawl

28-06-2008 par Horacio Gonzalez
Mario

Malgré être un fan de la Wii, je ne m’achète pas souvent des jeux, deux ou trois par année tout au plus.

Cette année, en attendant la sortie de Star Wars : the Clone Wars à Noël, l’autre jeu dans ma liste était Super Smash Bros Brawl (SSBB). Le jeu sortait hier, et hier soir, en sortant du boulot, je suis aller me l’acheter.

Link

Je ne vais pas passer des heures a louer la gloire d’un jeu qui a été l’un des plus grands succès de Nintendo (avec des très bonnes critiques et plus de 3 millions d’exemplaires vendus aux USA depuis sa sortie en début d’année). Le gameplay est fluide et amusant, la prise en main très simple même pour ceux qui ne sont pas trop habitués aux jeux de combat et le mode en ligne marche très bien (je suis resté jusqu’à deux heure de matin à combattre des inconnus sur le net).

Mais ce qui rend ce jeu vraiment spécial ce sont les 35 personnages parmi lesquels ont peu choisir. De Mario à Link, de Sonic à Solid Snake, ils sont tous des vrais icônes de l’histoire des jeux vidéo, des personnages qui ont marqué toute une génération. Les voir tous ensembles dans un sorte de catch déjanté fait que SSBB soit beaucoup plus qu’un simple jeu de combat.

Et si vous n’est pas encore convaincus, regardez cette vidéo et jugez par vous mêmes :

Et maintenant je vous laisse, je vais encore donner une raclée à Pikachu…

Etoile de la mort LEGO

20-06-2008 par Horacio Gonzalez

Billet garanti 100% sans promotion de Firefox 3. :cheese1_ee:

Star Wars

Que vous soyez passionné de Star Wars ou fan de LEGO, vous serez sans doute profondément attirée par la nouvelle boîte annoncé par le fabricant des briques en plastique : l’Étoile de la Mort.

La nouvelle boîte LEGO, destinée aux collectionneurs, est le rêve d’un geek devenu réalité. Avec ses plus de 3800 pièces, ses 14 scènes de la trilogie, ses 22 personnages, ses 40 cm de diamètre, et les 400$ que ça coûtera, l’Etoile de la Mort est probablement la boîte la plus spectaculaire jamais produite par LEGO.

Etoile de la mort LEGO

Vous pourrez la pré-commander sur la LEGO Shop à partir du 1er juillet, ou directement dans votre distributeur LEGO agréé à partir de septembre prochain.

Pour ma part, je crois que je vais commencer à épargner. Elle sera à moi cette boîte, mon trésooooooor…

Trouvé dans Gizmodo grâce à Abadia Digital.