Je lis dans DespuesDeGoogle que Samsung vient de sortir à la vente une mémoire flash de 64 Gb.

En fait, ces mémoires flash de grande capacité (impensables il y a à peine deux ans) ne sont plus appelées mémoires, mais SDD (Solid state disks, disques d’état solide, ou plus correctement, solid state drives, unités d’état solide, car ils ne sont pas de disques dans le sens physique, mais des unités de stockage).

Le fait c’est que jusqu’à il n’y a pas si longtemps, la plupart d’ordinateurs portables étaient vendus avec un disque dur de 60 Gb, une capacité plus petite que la de ce petit bijou de Samsung. Les SSDs ont nombreuses avantages sur les disques durs, ils sont plus rapides, légers et ils consomment beaucoup moins d’énergie (car ils n’ont pas des parties mobiles à bouger). Tout cela fait des SSDs l’alternative parfaite pour des systèmes portables, et à mon avis leur utilisation va se généraliser pour les UMPCs et autres dispositifs ultra-portables.

Un exemple de système portable qui a bien compris les avantages des SSDs sur les disques classiques est le Linutop de Laurent Bervas, et le succès obtenu des son lancement montre que les utilisateurs ont bien saisi le côté pratique du mini-ordinateur avec clé USB à la place de disque.

Mise à jour : fautes de frappe corrigées 🙂

Ces derniers temps je passe plus de temps à sculpter des figurines qu’à faire des dessins sur l’ordinateur. Je vous ai déjà parlé des equipe de Bloodbowl style Fanhunter que je suis en train de sculpter.

La semaine dernière j’ai eu envie de sculpter une autre chose qu’un joueur de Bloodbowl. Comme je vous disais hier, le virus Star Wars m’a attrapé à nouveau, alors j’ai choisi de faire quelque chose style Star Wars, un chevalier jedi.

Je préfère préparer deux figurines simultanément , comme ça pendant qu’une durcit, je m’occupe de l’autre. Alors pour accompagner le jedi, j’ai eu envie de faire un personnage tiré cette fois de Star Trek : un officiel vulcanien. Quelques heures après, les deux bonshommes commençaient à prendre vie :

Voici donc le chevalier jedi et le officier vulcanien, coloriés et prêts pour la table de jeu. La prochaine fois je vous montrerai mon premier essai de sculpture d’une figurine féminine, la padawan Twi’lek dont je vous ai montré hier le dessin.

Ces derniers temps, avec la célébration des 30 ans de Star Wars et à la sortie de la nouvelle edition du jeu de rôles de Star Wars, la Saga Edition, j’ai été mordu à nouveau par le virus de la Guerre des Etoiles.

J’ai donc revu les six films, cette fois en français, j’ai relu des bouquins et je me suis encore ne fois laissé immerger dans l’univers créé par Georges Lucas. Alors l’autre jour, lorsque je gribouillais sur un cahier, j’ai eu l’idée de créer quelques planches sur Star Wars.

Et quelques heures après, j’avais déjà quelques planches et quatre héros, quatre Padawans de l’Ancienne Republique Galactique. Je ne sais pas si ça sera seulement quelques planches isolées, ou si je ferai vraiment une petite histoire avec eux, mais en tout cas ça m’a fait me remettre à Inkscape après quelques semaines où j’avais laissé mes petits dessins de côté au profit d’autres projets comme la sculpture de mon équipe Fanhunter pour Bloodbowl.

Ce matin j’ai vu sur le Twitter Ouriel Ohayon, de TechCrunch France, qu’il cherchait quelqu’un pour traduire l’un des billets de TechCrunch US.

Etant un lecteur assidu de TechCrunch, l’idée de collaborer avec eux me plaissait beaucoup. J’ai donc décidé de proposer à Ouriel de faire la traduction, et il a accepté. Je me suis mis à faire la traduction ce soir en rentrant de faire un tour en ville pour la Fête de la Musique, et je viens juste de la finir et l’envoyer à Ouriel.

Les traductions d’anglais à français sont un vrai challenge pour moi, car ce n’est pas évident de traduire entre deux langues non maternelles. J’ai beau faire des effort (et utiliser le correcteur orthographique), il y a souvent des petits failles dans mes textes : des expressions qui sonnent bizarres en français, des genres des mots qui changent entre espagnol et français, des “faux amis”, des concordances qui rechignent… Cette traduction entre deux langues qui ne sont pas ma langue maternelle est donc pour moi un superbe exercice, et j’ai beaucoup aimé la satisfaction de voir l’article fini. J’ai donc proposé à Ouriel de faire d’autres traductions pour TechCrunch France, et j’espère qu’il acceptera 😉

En tout cas, je vous demande pardon en avance pour les éventuelles erreurs dans l’article. Je vous remercierais aussi de me les signaler afin de les corriger et de m’améliorer.

Mise à jour :

Ouriel a déjà mis le billet en ligne. Il a fait une relecture complète derrière, alors la plupart des erreurs dont je vous parlais vous auront été épargnés 😉

Je continue avec ma série de billets avec des photos trouvés sur le net.

Aujourd’hui je vous présente un flagrant détournement du logo de Firefox, trouvé sur Davinxi.

On voit bien que le propriétaire du magasin ne s’est pas trop creusé la tête pour l’élaboration de son logo, il a simplement pris le logo de notre renard favori, changé la planète par un vortex coloré un peu psychédélique et a ajouté un pinceau :

Du vrai travail de pro, quoi…

La photo originale a été prise par Jams Design

Lorsque je n’ai pas le temps de rédiger des billets, mieux que laisser le blog désert, je préfère faire des petites mises à jour, avec par exemple des photos que je trouve sur le net et qui me font sourire. C’est le cas ce dernier jours, où je passe mes soirées à me battre avec la version de test d’un logiciel d’animation (Anime Studio Pro pour Linux), en l’évaluant pour essayer de savoir si je vais l’adopter et prendre la licence pour la version payante.

Il y a quelques semaine je vous parlait du parfait cadeau pour la fête des mères. Si vous avez apprécié, je suis sûr que vous allez celui-ci, le bon cadeau pour un enfant d’informaticien 😉 :

Et si vous êtes là, profiter pour faire un tour du site, Think Geek, vous trouverez plein d’idées déjantées, rigolotes et très très geek…

Et si cela n’est pas encore assez pour vos enfants, on peut aussi trouve le summum de la geekerie : le t-shirt avec feuille de personnage (trouvé chez WTF Images, un site sympa pour trouver des drôles de photos) :

Encore une fois, c’est un peu tard pour ma fille, dommage 😉

Depuis le 11 septembre 2001 les caméras de vidéosurveillance se développent un peu près partout. Les britanniques sont encore les champions dans cette catégorie, avec près d’une caméra par 10 habitants, mais d’autres pays comme la Suisse ou l’Espagne, suivent leur trace.

Les opposants à la vidéosurveillance parlent souvent atteintes à la vie privée provoquées par cette profusion de caméras, et ils font le parallélisme avec le Big Bother du roman 1984 de l’écrivain Georges Orwell. Dans le roman d’Orwell, la vidéosurveillance d’état est à son paroxysme, avec des équipements de surveillance dans chaque coin de chaque maison, la privacité complètement supprimée par un état soit disant bienveillant.

On n’est pas encore là, mais le fameux argument de pourquoi tu t’inquiètes, si tu n’as rien à cacher tu n’as rien à craindre de qu’on te surveille, non? me fait froid au dos. Je tiens à ma vie privée, je n’aime pas l’idée de me faire filmer à chaque fois que je sors dans la rue, et je trouve qu’avec l’excuse de notre protection et notre sécurité, on est en train d’accepter des choses qu’on ne devrait pas. C’est pour ça que la photo qu’illustre ce billet m’a bien fait marrer, je me demande si au conseil municipal de Barcelone ils sont conscients de l’ironie de placer sous vidéosurveillance la Place Georges Orwell…

Trouvé dans Rayadas Varias.

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