Anamorphoses sur rue

04-12-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et les illusions

La dernière fois que je vous parlais des illusions d’optique c’était en juin dernier, lorsque je vous présentais une énorme anamorphose créé par les artistes allemands Edgar Müller et Manfred Stader sur les rues de Moose Jaw, Canada.

Aujourd’hui j’ai reçu un mail de Edgar Müller, me signalant qu’il a arrêté sa collaboration avec Stader, et que le site web qu’ils partageaient, European Street Painting, sera bientôt fermé (je vous recommande donc d’aller faire un dernier tour, car je ne suis pas sur de que toutes les photos soient disponibles ailleurs).

Anamorphose : Lave dans la rue, par Edgar Müller

Il m’a aussi annoncé l’ouverture de son nouveau site personnel Metanamorph, avec plein de photos et d’information sur ses travaux en solo.

Anamorphose : Lave dans la rue, par Edgar Müller

Les photos qui accompagnent ce billet sont celles d’une superbe anamorphose réalisé par Edgar Müller dans une petite ville d’Allemagne.

Anamorphose : Lave dans la rue, par Edgar Müller

Les photos sont propriété de Mr. Müller (pas de licence Creative Commons pour elles donc), dans son mail il m’a donné permission pour réutiliser les photos de son site.

Courses de vecteurs

01-12-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et les courses de vecteurs

Je devais avoir onze ou douze ans lorsque j’ai découvert le concept de vecteur. A l’époque j’étais déjà un geek en herbe (ou plutôt un vrai nerd), et pendant que mes collègues de classe passaient les récrées à poursuivre des ballons, je me planquais dans un coin du pré pour jouer à Dungeons & Dragons avec une poignée d’amis aussi nerds que moi. Pendant que les autres jouaient à imiter leurs idoles du Real Madrid, nous on parcourait des mondes imaginaires sauvant des princesses et tuant des monstres…

Et c’est grâce aux jeux de rôles que j’ai appris ce qui était un vecteur. Concrètement grâce à Traveller, l’un des premiers jeux de rôles de science fiction. Etant un jeu dit de hard science fiction, les règles de Traveller se voulaient réalistes, et cela se voyait surtout dans les règles de combat spatial, où le mouvement des les vaisseaux spatiaux se faisait selon une mécanique vectorielle prenant en compte la vitesse et l’accélération du vaisseau ainsi la force d’attraction des différents corps célestes l’entourant.

C’est donc comme ça que j’ai passé des soirées entières armé d’un crayon et une règle à planifier des trajectoires pour faire que mon vaisseau traverse des champ d’astéroïdes sans finir écrasé contre un caillou ou brûlé contre le soleil.

Et je pense que c’est en parlant avec le père d’un de mes camarades de jeux de rôles qu’il m’a appris à jouer aux Courses de vecteurs. L’idée à la base était assez semblable au jeu que je jouait déjà avec mon crayon et ma règle, mais avec l’avantage de que ça pouvait se jouer sur du papier à carrés typique des cahiers du collège. Et cela le rendait le jeu idéal pour passer le temps lors des ennuyantes classes de biologie ou littérature.

Course de vecteurs, le jeu papier

Le jeu simule une course de vaisseaux spatiaux dans laquelle chaque vaisseau suit un mouvement vectoriel simplifié en 2D. Il peut être joué en solo ou à plusieurs (je me souviens d’une partie épique avec 8 participants sur un méga-circuit formé par 16 feuilles A4), et le seul matériel nécessaire ce sont des feuilles quadrillées pour faire le circuit et des crayons de couleurs différentes pour chaque joueur.

La première chose à faire est de dessiner un circuit sur la feuille. Il vaut mieux que le circuit soit assez large (cinq ou six cases au moins). Pour les premières parties, un simple circuit elliptique fera bien l’affaire, mais les possibilités sont illimitées, on peut le compliquer plus ou moins en ajoutant des courbes, des chicanes, des obstacles…

Ensuite on place les coureurs dans la ligne de départ, en partant de l’arrêt (vitesse initiale zéro), et la course peut commencer. Dans son tour, chaque joueur fait :

  1. Le joueur reproduit le vecteur de mouvement du dernier tour à partir de la position actuelle
  2. L’étape précédente détermine neuf intersections, celle de la fin du vecteur et les huit adjacentes. Ces intersections déterminent l’effet de correction de trajectoire du aux moteurs du vaisseau.
  3. Le joueur choisit une de ces intersection comme point de destination et trace le vecteur de mouvement du tour
Course de vecteurs

Le gagnant est, bien sûr, le premier des joueurs qui réussit à amener son vaisseau à la ligne d’arrivée sans qu’il sort du circuit ou qu’il ne percute les obstacles.

Course de vecteurs, version Java

Et bien, imaginez ma surprise lorsque ce matin je suis tombé sur un petit jeu en Java, Vector Racer, qui a repris la même mécanique du jeu original sur papier, au point que même le circuit semble dessiné au crayon sur la feuille de cahier quadrillé.

Si vous avez eu du mal à suivre mon explication de la mécanique du jeu, Vector Racer est un bon moyen de tester ce que ça peut donner. Le jeu est bien fait, et je dois avouer que si bien le facteur nostalgie me fait préférer la version papier, c’est vachement plus pratique de l’avoir en version informatique…

Piste Vector Racer

Vector Racer trouvé via JuegosDeIngenio.org.

Au fait, en préparant ce billet, j’étais aussi très surpris de voir que la version anglaise de Wikipedia a une superbe explication du jeu, qu’ils appellent Racetrack.

Le succès de Mon beau sapin

29-11-2008 par Horacio Gonzalez

La semaine dernière je vous parlais de Mon beau sapin, le projet monté par Pénélope Bagieu pour récolter des fonds pour la Croix Rouge afin de que des enfants de milieux défavorisés puissent avoir des cadeaux à Noël.

Et il faut dire que le résultat a été bien au dessus de toutes les expectatives. Comme Pénélope a expliqué hier, l’objectif initial du projet pour fin décembre a été atteint à peine une semaine après le lancement. En clair, Orange s’était compromis à donner 15 000 euros à la Croix Rouge si le site arrivait à 100 000 visiteurs uniques, chiffre qui était attendu pour quelques jours avant Noël… et qui a été battue le 25 novembre.

Soutenez MonBeauSapin.org

Alors quoi faire une fois l’objectif atteint ? D’autres auraient pu s’arrêter là, c’est déjà beaucoup d’avoir monté un tel site et d’avoir réussi avec brio un tel exploit. Mais Pénélope Bagieu ne compte pas s’arreter, elle a décider de démarrer une deuxième phase du projet, en proposant aux visiteurs de faire des dons directs à la Croix Rouge à travers du site. Sauf qu’à différence des dons classiques (avec un montant minimal de 10€), elle a négocié avec la Croix Rouge un système de micro-payement qui permet de donner aussi peu que 1€. Et bien sur, tous les dons émis à partir du site seront comptabilisés à part pour donner une vraie idée de la dimension de cette initiative.

La phase deux était donc annoncé jeudi matin, et vendredi matin ils avaient reçu plus de mil dons, pour un montant global de plus de huit mil euros.

Alors, n’hésitez pas à aller encore faire un tour sur , et si le cœur vous le dit, envoyez vos dons à la Croix Rouge. Des centaines d’enfants et leurs parents vous remercieront du fond du leur le sir de Noël.

Après la SCJP, je prépare la SCWCD

29-11-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et le SCWCD

Je vous ai souvent parlé ces dernières semaines de ma préparation pour la SCJP, et je vous ai raconté comment j’avais du mal à me mettre dans une logique d’étude semblable à celle que j’avais en école d’ingénieurs.

Le passage de la SCJP était une première étape dans la chaîne des certifications Sun, qui devait se suivre par d’autres certifications jusqu’à éventuellement culminer dans la SCEA (Sun Certified Enterprise Architect). A priori j’avais pensais faire une pause après la SCJP et commencer à préparer la certification suivante en début d’année, question de ne pas me mettre de la pression. Mais après le succès à la SCJP je me suis dit qu’il me fallait profiter de m’être enfin mis dans une démarche d’étude régulier, et que si je m’arrêtais un mois et demi j’allais ensuite avoir encore du mal à m’y remettre.

En conséquence, en fin de semaine dernière j’ai commandé le bouquin pour la SCWCD, Head First Servlets & JSP. Je l’ai reçu lundi dernière, et j’ai commencé de suite à le lire.

Etant donné que ça fait quelques années que les applications web Java sont une partie centrale de mes activités professionnelles, pour l’instant tout me semble connu. Mais avec la SCJP j’ai appris à me méfier, car il y a plein de petits détails qui peuvent s’avérer problématiques dans l’examen, même pour un développeur chevronné.

Maintenant il me faut réfléchir pour la date…

Mise à jour à WordPress 2.6.5

25-11-2008 par Horacio Gonzalez

En me connectant sur l’interface d’administration du blog ce soir, j’ai vu qu’il y avait une nouvelle mise à jour de WordPress, la version 2.6.5.

Mise à jour disponible
LiB et WordPress

Ce qu’à priori m’a surpris c’est le numéro de version, 2.6.5, pour moi ça aurait dû être la 2.6.4. Je suis donc aller vérifier, et ma mémoire ne me trompait pas, la dernière version publiée était la 2.6.3.

J’ai rapidement trouvé la réponse grâce à Korben : il n’y a pas eu de version 2.6.4, car une fausse release 2.6.4 chargée de pièges a fait le tour du net il y a quelque temps, et l’équipe de WordPress a préféré éliminer toute confusion en passant directement à la 2.6.5

Cette 2.6.5 est une version de maintenance qui corrige quelques bugs dans les flux RSS. Comme la dernière fois, la mise à jour est encore plus simple que d’habitude. On peut soit décompresser le fichier wordpress-2.6.5.tar.gz sur le répertoire racine du blog, soit simplement replacer deux cinq fichiers de votre installation WordPress :

  1. wp-includes/feed.php
  2. wp-includes/version.php
  3. /wp-includes/post.php
  4. /xmlrpc.php
  5. /wp-admin/users.php

Ou si vous ne voulez pas vous embêter, voici un fichier .zip avec les fichiers à changer, directement généré par les serveur trac de WordPress.

Et tout est fini, car cette fois il n’y a pas de mise à jour la base de données à effectuer.

Mise à jour

Il semblerait qu’il faut mettre à jour 5 fichiers, non 2 comme ils avaient annoncé hier. J’ai donc corrigé le billet.

Les Monty Python ont compris

24-11-2008 par Horacio Gonzalez

La semaine dernière les survivants des Monty Python ont annoncé la création d’un canal YouTube dédié à la diffusion d’extraits de leurs œuvres.

La vidéo qui annonce la création du canal est un vrai bijou dans le plus pur style Monty Python :

J’adore comme ils expliquent leur démarche avec cet humour caractéristique qui les a rendu célèbres :

Depuis trois ans, vous les YouTubers nous arnaquez, en mettant des dizaines de milliers de nos vidéos sur YouTube. L’heure est venue que nous prenions les choses en main.

Nous savons qui vous êtes, nous savons où vous habitez, nous pourrions vous poursuivre avec des moyens d’une horreur indicible. Mais étant les types exceptionnellement gentils que nous sommes, nous avons trouvé un meilleur moyen de reprendre ce qui nous revient : nous avons lancé notre propre canal Monty Python sur YouTube.”

C’est fini les vidéos d’une qualité merdique que vous avez posté. Nous vous donnons le matériel authentique, des vidéos en haute qualité sorties directement de nos réserves. En plus, nous allons prendre nos vidéos les plus vus sur YouTube et nous allons mettre des nouvelles versions en haute qualité. Et encore plus, nous vous laissons regarder tout ça d’une façon complètement gratuite.

Mais nous demandons quelque chose en échange. Pas de commentaires décérébrés. A leur place, nous voulons que vous cliquez sur les liens et que vous achetez nous films et séries télé pour apaiser notre douleur et dégoût d’avoir été arnaqués tous ces années.

LostInBrittany

Bref, les Monty Python ont compris qu’ils ont beaucoup plus à gagner en collaborant avec leurs fans qu’en essayant de les poursuivre, et ils se sont prêtés au jeu, un jeu gagnant-gagnant. Pour moi, il y a trois leçons fondamentales à tirer de cette affaire, et des autres mouvements semblables chez d’autres artistes :

  • On ne peut pas empêcher la diffusion des contenus sur internet. Même avec toutes les mesures légales et technologiques qu’on puisse mettre en place, les gens vont continuer à diffuser le matériel sur le net. Alors, mieux que de s’embarquer dans une bataille perdue d’avance, qu’en plus ls coûterait d’être très mal vus par leurs fans, les Monty Python préfèrent chercher comment ils peuvent tirer des bénéfices de la situation.
  • Les fans ont de la valeur. Ces fans sont des gens capables de passer des heures et des heures à sélectionner, traiter, mettre en ligne et diffuser des vidéos, tout ça de façon gratuite, poussés par son amour pour le travail des auteurs. Vous vous rendez compte de combien de marques souhaiteraient ce type de fidélité ? De combien les experts en marketing donneraient pour réussir à que le public s’investisse comme ça sur un produit ? Ce type de fans, on pourrait les punir (après tou, ce qu’ils font est techniquement illégal), mais c’est beaucoup plus intelligent de les remercier, de collaborer avec eux et de pouvoir tirer un bénéfice.
  • Sur internet les gens n’aiment pas payer pour avoir un contenu. Par contre, les fans continuent à vouloir acheter les DVDs, le support physique, même s’ils ont vu la vidéo sur le net des dizaines de fois. Alors, mieux que de demander de payer pour regarder leurs vidéos, les Monty Python ont joué la carte réaliste : offrir les vidéos gratuitement et proposer en même temps l’achat des support physique, en sachant qu’une petite partie des gens qui visionneront les vidéos voudra ensuite acheter les DVDs. Et même si ce n’est qu’un petit pourcentage, avec des millions de visiteurs ça peut vite devenir rentable.

Je pense que ce type de démarches deviendront de plus en plus normales, lorsque les artistes comprendront enfin qu’il y a beaucoup plus à gagner en essayant de trouver un bénéfice dans le nouveau paradigme qu’en essayant de lutter des batailles qui sont perdues d’avance.

Free sans Freebox

22-11-2008 par Horacio Gonzalez
CyberLiB

Non, Free ne m’a pas encore expédié ma Freebox, mais après plusieurs heures de bricolages variés et trois modems ADSL de testés, j’ai réussi à me connecter à Free.

Le tout grâce à un petit Olitec WF402G, dans lequel, après plusieurs essais, j’ai enfin réussi à introduire les bons paramètres pour me connecter au réseau Free dégroupé.

Au cas où vous vous retrouvez dans une situation semblable, je vous laisse ici les paramètres de connexion qui ont marché chez moi. A la base, je me suis basé sur le petit tutoriel de Korben, et j’ai complété les informations qui me manquaient en surfant sur des forums pendant les pauses cafés.

Si vous êtes donc en dégroupage total chez Free et vous voulez vous connecter avec un modem ADSL, les étapes à suivre sont :

  1. Trouver un modem récent et débridé

    Beaucoup de modems anciens ont de mal à se connecter au réseau Free, il faut les patcher et bidouiller la configuration, par contre avec les modems récents tout devient plus simple. Par modem débridé je veut dire un modem qui ne soit pas attaché à un opérateur, comme c’était le cas de mon AliceBox (où j’avais beau mettre les bons paramètres, elle ne se connectait pas) ou de la Livebox qu’on m’avait prêté (qui n’acceptais que les identifiant commençant par fti/).

    Personnellement, je vous recommande un Linksys ou Olitec, au pire on peut les trouver par à peine 40€ dans n’importe quelle grande surface.

  2. Récupérer votre adresse IP et l’adresse de la passerelle

    Pour cela il suffit de vous connecter sur votre espace perso Free, aller sur “Caractéristiques de ma ligne” et noter votre IP et la passerelle.

  3. Configurer le modem

    La procèdure exacte dépend de la marque et modèle exact de votre modem, et cela peut requérir des petits ajustements, mais grosso modo il faudra le configurer avec :

    • Mode de connexion : adresse IP fixe
    • Type de connexion : RFC 1483 Routed ou RFC 1483 Bridged
    • VPI : 8
    • VCI : 36 (et non 35 comme la plupart des autres FAI)
    • Multiplexage : VC/MUX
    • Adresse IP : 82.xxx.xxx.xxx (celle que vous avez noté précédemment)
    • Masque de sous-réseau : 255.255.255.0
    • Passerelle : 82.xxx.xxx.xxx (celle que vous avez noté précédemment)
    • DNS Primaire : 212.27.40.240
    • DNS Secondaire : 212.27.40.241

    Les serveurs DNS de Free changent souvent, je vous ai indiqué les valeurs valables aujourd’hui, mais ils ne marchent plus au moment où vous essayez, il faudra chercher sur le net les bonnes valeurs.

Dans le cas d’Olitec WF402G, cela donne :

Configuration Olitec WF402G pour Free dégroupé

Et voilà, LostInBrittany est de retour !

Mon beau sapin

21-11-2008 par Horacio Gonzalez

Une des joies de la vie sans internet à la maison, c’est de ne pas pouvoir blogguer lorsqu’on en a envie. Punaise, si chez Free ils n’envoient pas cette foutue Freebox rapidement je crois que je vais devenir dingue (encore plus que d’habitude, je veux dire).

Aujourd’hui je voulais vous parler de Mon beau sapin, le nouveau projet de Pénélope Bagieu.

Soutenez MonBeauSapin.org

Etant donné que vous ne lirez pas ce billet au moment où je l’écris, mais le lendemain lorsque je pourrai enfin le mettre en ligne, je suis persuadé que la nouvelle vous est déjà parvenu, soit par d’autres blogs, soit par des chaînes de mails, soit par le bouche bouche à oreille.

Vous me trouveriez donc rébarbatif si je vous expliquais que :

  • Mon beau sapin est un projet initié par Pénélope Bagieu avec le support d’Orange et la collaboration de dizaines de dessinateurs parmi les plus connus du web français.
  • Chaque jour il y aura sur le site une nouvelle planche par un auteur différente, toujours autour de Noël.
  • Le but de l’opération est de récolter des fonds pour la Croix Rouge afin de que des enfants de milieux défavorisés puissent avoir des cadeaux à Noël.
  • Orange, principal sponsor de l’opération, versera à la Croix Rouge un montant proportionnel au nombre de visiteurs uniques par jour sur le site.

Alors je ne vais pas vous répéter tout ça, je vais me limiter à rappeler que le montant donné à la Croix Rouge dépendra des visites uniques par jour. Pour être clair, si vous voulez maximiser votre soutien, nul besoin d’aller sur Mon beau sapin 42 fois par jour, il suffit d’aller une seule fois tous les jours d’ici à Noël.

Et étant donné que chaque fois que vous irez vous trouverez un beau dessin tout nouveau, aller voir Mon beau sapin chaque matin n’est même pas un effort mais un plaisir, non ?

La vie sans Internet à la maison

20-11-2008 par Horacio Gonzalez
LiB est chez Alice

Depuis lundi matin je n’ai plus internet chez moi. Et je dois avouer que j’ai du mal à supporter la situation, même si j’essaie de prendre mon mal en patience.

Comme je vous ai déjà raconté, ça fait presque deux ans que j’étais chez Alice ADSL après avoir quitté Numericable suite à des mois de problèmes. Je n’ai pas eu de problème majeur dans ces deux ans chez Alice, et les fois où j’ai eu des soucis, le service technique a été rapide, aimable et compétant.

Cependant, là où la plupart des fournisseurs (surtout Free) enrichissent leurs offres en permanence, Alice n’a rien proposé de nouveau dans ces deux ans. Mêmes tarifs, même débit de 6 Mo, même bouquet télé identique à celui proposé par mon décodeur TNT, même qualité médiocre dans la téléphonie. Et le fait qu’Alice se soit fait acheté par Free il y a quelques mois n’aide pas de tout à résoudre cette situation stagnante.

Alors j’ai décidé de faire le saut et aller directement chez Free. Jeudi dernier je me suis inscrit en ligne, et lundi matin ils ont basculé la ligne… et j’ai perdu mon accès internet.

Ma ligne étant activée chez Free, j’ai essayé toutes les manipulations possibles pour que mon AliceBox se connecte, suivant par exemple ce tutoriel de cher Korben, mais rien n’a marché. J’ai aussi récupéré une vielle Livebox, mais le bridage Wanadoo l’empêchait de se connecter avec mon utilisateur Free. Alors je crois que je suis bon pour attendre que ma Freebox arrive, ce qui ne devrait pas trop tarder.

Enfin, j’espère…

SCJP passée !

18-11-2008 par Horacio Gonzalez
LiB et le SCJP

Ca fait des semaines que je vous parle de ma préparation pour la SCJP, alors je pense que je dois clôturer la série en vous disant le résultat.

J’ai donc passé mon examen aujourd’hui à Nantes, et j’ai obtenu un score de 83%, ce que veut dire que j’ai eu ma SCJP !

Et pour tenir l’habitude jusqu’à la fin, il n’y a pas eu de billet sur la SCJP sans dessin. Je vous laisse un autre gribouillage, crayonné, encré et colorié entre des exercices et des examens blancs. On pourrait l’appeler Dur dur d’être Batman…

Dur dur d'être Batman...
Dur dur d'être Batman...

Les trois derniers jours de préparation ont été assez intenses, et maintenant que la pression est retomber je n’ai qu’une envie, faire une bonne nuit de sommeil. Mais avant arrêter, je tiens à finir le billet en félicitant mon collègue Raphaël, qui a aussi obtenu sa SCJP avec un remarquable 94% de bonnes réponses. Ca, c’est du bon boulot !