Billets avec l'étiquette ‘Nostalgie informatique’

Ravageurs de productivité : Gnop

26-01-2010 par Horacio Gonzalez
Ravageurs de productivité

La semaine dernière avec les variations du Tetris avec un petit twist, je vous parlais de First Person Tetris, un sorte de Tetris inverti ou ce n’est pas la pièce qui tourne mais le puits.

Aujourd’hui je vous présente un autre jeu qui inverse le paradigme d’un grand classique. Gnop, comme son nom indique, est un Pong à l’envers, où on contrôle la balle et l’objectif est juste de ne pas frapper les raquettes.

Ravageurs de productivité : Gnop

Sinon, dans la même idée de Pong avec un twist, je ne peux que vous recommander aussi Curveball, un first person Pong en 3D joué du point de vue de la raquette.

Ravageurs de productivité : Curveball

J’ai découvert Gnop grâce au toujours excellent Boing Boing.

Processeurs d’aujourd’hui avec des technologies d’hier

27-09-2009 par Horacio Gonzalez
LiB et le 8086

La semaine dernière s’est tenu à San Francisco l’édition 2009 de l’Intel Developer Forum. Pour les fans du hardware, c’est un rendez-vous incontournable (presque autant que les conventions Apple pour ceux qui aiment les gadgets), où Intel présente les nouveautés qui seront bientôt commercialisées et annonce les futures évolutions technologiques.

N’étant pas un passionné des micro-processeurs, mais étant quand même un fan d’électronique, le point que j’ai préféré dans les compte-rendus de ce IDF 2009 sont les photos de Sean Maloney avec des versions des puces Core i7 et Atom construites avec la technologie 1000 nm utilisée à l’époque de l’i386.

Intel Core i7 avec technologie i386
Images (C)2009 Anandtech

Il ne faut pas oublier que là ou le i386 avait des transistors de 1000 nm, les modèles actuels chez Intel sont construites avec des transistors de 45 nm, soit 20 fois plus petits.

Si ce Core i7 version i386 était branchait, on estime que sa comsomation serait autour de 1000 watts à lui tout seul, avec une vitesse d’horloge qui serait au plus de 100 MHz…

Intel Atom avec technologie i386
Images (C)2009 Anandtech

Ces Core i7 et Atom sont donc un des plus beaux exemples pratique de la loi de Moore, non ?

Trouvé via Anandtech

Ordinateurs vraiment portables

20-07-2009 par Horacio Gonzalez
LiB Geek

Aujourd’hui à table je regardais avec envie, encore une fois, le superbe HTC Dream d’un ami lorsque je me suis rappelé d’un article que j’avais lu la semaine dernière sur l’excellent Modern Mechanix : Ordinateurs qui sont vraiment portables.

Ordinateurs vraiment portables

L’article scanné par Modern Mechanix, apparu dans le numéro de mars 1982 du magazine Mechanix Illustrated, fait une comparative de deux modèles d’ordinateurs portables de l’époque, le Radio Shack TRS-80 Pocket Computer et le Quasar/Panasonic HHC.

A mi-chemin entre une calculatrice programmable et un vrai ordinateur, ces deux petits appareils seraient bien l’équivalent d’un téléphone portable de haut de gamme ou d’un netbook actuel : des outils permettant aux travailleurs nomades de rester connectés et continuer à travailler en déplacement. Pas pensées comme machine principale, mais comme machine de support pour le travailleur mobile, ces deux petits ordinateurs pouvaient se connecter au mainframe de l’entreprise en utilisant un modem acoustique (dispositif que les geeks les plus jeunes risquent de ne pas connaître au moins d’avoir regardé WarGames).

Ordinateurs vraiment portables

L’article est très intéressant (au moins pour tout passionné de l’informatique ancienne), car il donne une vision d’ensemble de l’état de l’informatique il y a 25 ans. Personnellement, ce qui m’a impressionné le plus ce sont les dernières lignes, qui lues aujourd’hui acquièrent des consonances presque prophétiques :

Since there seems to be no end in sight to computer miniaturization, a fond dream of science-fiction writers is rapidly becoming a reality. By the year 2000, there seems to be little doubt that you’ll be able to hold in the palm of your hand a computer as capable as the most powerful machines now on the planet.

Couple this with such technical abilities as modern satellite communications and it’s quite possible that the sum total knowledge of the human race could eventually be at the tip of your fingers.

Puisqu’il ne semble pas avoir de limite en vue dans la miniaturisation des ordinateurs, l’un des rêves chers aux écrivains de science-fiction est rapidement en train de devenir réalité. Pour l’an 2000, il n’y a peu de doute que vous serez capables de tenir dans la paume de la main un ordinateur aussi capable que la machine actuelle la plus puissante de la planète.

Combinez ceci avec des avancées techniques comme les communications par satellite et il est très possible que la somme totale de la connaissance humaine puisse éventuellement être à la portée de vous doigts.

Après l’avoir lu, je ne peux pas m’empêcher de regarder le HTC Dream d’un œil un peu différent. Je rêve ou l’auteur de l’article est en train de décrire les smartphones connectés à internet ?

Google dédie son logo aux 25 ans du Tetris

06-06-2009 par Horacio Gonzalez

Cette semaine c’est le 25ème anniversaire d’un des jeux vidéos les plus populaires de l’histoire, le Tetris. Et Google a voulu se joindre aux célébrations en changeant son logo par un constitué d’un ensemble de pièces de Tetris. Le texte descriptif de l’image dit “Celebrating 25 Years of The Tetris Effect – courtesy of Tetris Holding, LLC”

Google fête le Tetris

Lors de sa sortie, Tetris n’était pas seulement un jeu très addictif avec un gameplay révolutionnaire, il était aussi le premier jeu vidéo soviétique commercialisé en occident. L’histoire du Tetris et de son créateur, le russe Alexei Pajitnov, est fortement intéressante. Vous avez un résumé sur Wikipedia, et un article assez détaillé sur GrosPixels.

Comme d’autres jeux emblématiques, Tetris fait partie de mon histoire personnelle. Je ne sais pas combien de centaines d’heures j’ai passé sur le Tetris, d’abord en jouant dans mon vieux IBM PC 5155, ensuite en programmant mon propre Tetris pour le TP d’Introduction à la Programmation en première année d’Ecole d’Ingénieurs (je me souviens bien de ces routines d’affichage et du contrôle du clavier programmés en assembleur car celles que j’écrivais en Pascal n’étaient pas assez performantes sur les vieux i286 du labo).

Même maintenant, lorsque j’ai quelques minutes à tuer et pas envie de m’engager dans quelque activité plus prenante, j’adore démarrer gnometris, le clon de Tetris pour GNOME que j’ai toujours installé sur mes ordinateurs. Certes, je ne suis plus aussi performant qu’avant, pour se tenir au niveau en Tetris il faut lui dédier du temps au quotidien, mais je m’amuse autant qu’avant. 25 ans après le jeu continue à être aussi addictif que toujours.

Félicitations donc, Tetris, et encore plus de félicitations (et de remerciements) à Alexei Pajitnov !

Screenshot de la page d'accueil Google avec le logo Tetris

Dans la catégorie de curiosités, le site Blogoscoped vient de m’apprendre que Vadim Gerasimov, l’un des collègues de Pajitnov dans l’Académie de Sciences et qui a collaboré dans le développement du premier Tetris, travaille maintenant pour Google en Australie, dans le projet Google Wave (qui pour moi est l’un des projets les plus intéressants de ces derniers temps, j’ai vraiment hâte de pouvoir y toucher).

P.S. : Le site officiel du Tetris, tetris.com, a rouvert récemment ses portes. Théoriquement on peut y jouer en ligne, se comparer à d’autres joueurs et même télécharger des vielles versions du Tetris, mais le site semble ne pas marcher avec mon Firefox sur Ubuntu. Si vous y parvenez, laissez-moi un commentaire, please.

P.S.2 : Etonnement, le logo Tetris est dans la plupart des sites de Google (sites français, espagnol, allemand, anglais…) mais pas sur le site américain, google.com continue à arborer le logo classique de Google. J’imagine que c’est le décalage horaire…

Histoire de la famille x86

14-04-2009 par Horacio Gonzalez
LiB et le 8086

Comme je vous ai déjà raconté, mon premier ordinateur était un IBM PC 5155 équipé d’un puissant processeur Intel 8088 à 4.77MHz.

Depuis, j’ai passé par presque toute la gamme de processeurs de la famille du 8086 : d’abord le i286 du IBM PS1, ensuite le i386DX du IBM PS2, ensuite le i486DX4-100 de mon premier clonique, avec sa vitesse incroyable de 100 MHz. Et à partir de là, j’ai commencé à monter moi même mes ordinateurs, et à les mettre à jour régulièrement. Là il y a eu des Pentium, Pentium 2, Pentium 3, Celeron, Pentium 4, Centrino, divers AMD…

Bref, comme la plupart des geeks de ma génération, j’ai connu pas mal des processeurs de la famille du 8086, ils font partie de mon histoire personnelle. Et c’est pour cela que j’ai trouvé très intéressant l’article de MaximumPC dont je veux vous parler aujourd’hui : A Brief History of CPUs: 31 Awesome Years of x86.

L’article fait une rétrospective assez complète des principaux processeurs de la famille x86, dès l’humble Intel 8086 aux recents Intel Core i7 ou AMD Phenom II. Le tout, sans trop rentrer dans des technicités, et avec plein de petites notes curieuses (du type Did you know that…) qui font plus agréable la lecture.

Trouvé via Gizmodo.

De la Terre à la Lune

29-09-2008 par Horacio Gonzalez
LiB geek

Si je vous disais que votre four à micro-ondes ou votre nouvelle machine à laver ont des micro-controlleurs plus puissants que ceux qui ont permit à l’homme d’atterrir sur la Lune, vous penseriez peut-être que j’exagère. Mais la comparaison est rigoureusement exacte, comme vous allez voir…

Les micro-constrolleurs dans vos appareils ménagers tournent à des vitesses de plusieurs dizaines (ou même centaines) de MHz et stockent leurs programmes sur des mémoires de plusieurs Ko, le tout dans une petite puce de quelques cm de côté.

De son côté, l’ordinateur de vol des capsules spatiales du projet Apollo avait des spécifications bien modestes : processeur de 1 MHz avec 11 instructions, mémoire RAM de 2Ko (1024 mots de 16 bits) et mémoire ROM de 12 Ko où il était stocké le programme Colossus 249 de contrôle de vol. Et ça sur une “carte mère” que faisait presque 2 mètres par 1 mètre.

Ordinateur de vol de l'Apollo

Vu d’aujourd’hui, il semble presque incroyable qu’un ordinateurs comme celui-là puisse avoir permit à la NASA de réussir la conquête de la Lune. Et c’est surtout un témoignage de l’ingéniosité et la compétence des ingénieurs du programme spatial, qui ont réussi à profiter jusqu’à dernier octet de cette mémoire pour écrire un programme capable d’amener la capsule sur la Lune et la faire ensuite revenir sur Terre.

Ordinateur de vol de l'Apollo

Pendant quelques années, cet ordinateur de vol de l’Apollo a été exposé dans le musée de l’Université de Standford, vous pouvez donc trouver plus d’information sur leur site.

Et si vous avez l’âme d’un vrai geek de l’électronique, vous pouvez vous construire votre propre réplique de l’ordinateur Apollo en suivant ces instructions détaillées.

Trouvé via Microsiervos.

De la nostalgie, des Atari et des rêves…

05-04-2008 par Horacio Gonzalez

Vous vous souvenez que je vous ai parlé déjà de comment lorsqu’on s’intéresse à quelque chose on le remarque partout ?

Hier soir mon cerveau m’a refait à nouveau le tour. Je venais de poster mon billet sur l’annonce de la CPU Intel 8086, qui m’avait laissé plongé dans la nostalgie d’un temps passé (qui sûrement n’était pas si bon que dans les souvenirs). Je faisais donc une revue rapide des blogs avant d’aller dormir lorsque je tombe sur un billet de Boing Boing.

Et là je vois une photo de 1983, en noir et blanc, avec un poste de travail qu’à l’époque était à la pointe de la technologie :

Atari user's desk, circa 1983

Un poste de travail avec un Atari 800, des lecteurs de disquette et de cassette, imprimante et modem, et un poste de télévision qui servait de moniteur. Le tout agrémenté de quelques verres promotionnels Burger King pour Le Retour du Jedi, sorti cette même année.

En regardant ce poste de travail, je l’ai comparé à mon poste actuel et je me suis rendu compte de comment les choses sont au même temps complètement différentes mais étrangement semblables 25 ans après. Ensuite, en voyant que la nostalgie allait à pire, j’ai décidé que la meilleure chose que je pouvais faire était d’aller dormir.

Ce matin, au réveil, j’ai décidé d’écrire ce billet. Car cette nuit, la nostalgie a envahi même mes rêves : j’ai rêvé de Tron.

C’est grave, docteur ?

Toute la puissance d’un 8086 à 4MHz pour seulement 895$

04-04-2008 par Horacio Gonzalez

Ca faisait quelques temps que je ne postais pas de billet sur des vieux équipements informatiques.

Aujourd’hui je suis tombé sur un annonce de 1979 pour des processeurs Intel 8086. Avec le typique langage publicitaire, il nous parle de la puissance de la CPU, avec son bus de 16 bits et ses 4 MHz de fréquence d’horloge.

L’annonce nous montre aussi des photos des produits, où on peut encore voir des composants électroniques discrets sur des plaques PCB à l’ancienne, ces circuits que on pouvait encore monter soit même à l’aide d’un fer à souder et un fil d’étain-cuivre…

The power of the 8086

Il y a une douzaine d’années lorsque j’étais en école d’ingénieurs, on avait encore des TPs où on devait construire des systèmes intégrés à partir des composants discrets tels que mémoires, portes logiques, multiplexeurs.

Il y a cinq ans, lorsque j’étais ATER au Mans les élèves ne mettaient presque plus la main sur les circuits, tout le TPs se faisaient sur des simulateurs et des circuits logiques programmables.

Il y a quelques mois, le dernier magasin de composants électroniques de Brest, Radiosell, a fermé définitivement ses portes. Et ce qui m’a surpris le plus c’est la réaction indifférente de certains collègues et amis, pourtant des vrais geeks, pour lesquels un magasin de composants électroniques n’avait plus de sens.

C’est vrai qu’à l’époque où un seul circuit intégré programmable peut contenir toutes les fonctionnalités qu’on peut souhaiter, l’idée de monter ses propres systèmes avec une poignée de portes logiques ou avec quelques transistors et amplificateurs opérationnels peut sembler drôle et carrément inutile. Mais je trouve qu’il y a un plaisir inhérent à monter le circuit de ses propres mains, souder les composants un par un, appuyer sur l’alimentation et voir le circuit prendre vie, telle qu’un monstre de Frankenstein. Quoi que peut-être ce n’est que mon côté neo-luditte

Annonce du 8086 trouvé dans Abadia Digital, qui l’a vu chez Origins of DOS.

Los Alamos Sales Company

30-11-2007 par Horacio Gonzalez

J’imagine que pour certains d’entre vous, le Laboratoire national de Los Alamos (LANL) vous dit quelque chose. Si vous n’arrivez pas à l’ubiquer, je vais donner une autre piste, dans les années 40s, le LANL a été un des siège du Projet Manhattan.

Le Projet Manhattan était le nom de code du projet de recherche nucléaire mené par les Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, qui a conduit à la réalisation des premières bombes atomiques en 1945. Le LANL était le siège du projet, et il continue encore aujourd’hui à être (avec le Laboratoire national Lawrence Livermore) le siège de la recherche nucléaire militaire américaine. Actuellement le LANL emploi plus de 10 000 personnes, avec un budget de plus de 2 millards de dollars.

Avec un budget si énorme dédié à la recherche, vous pouvez imaginer qu’au LANL, ils achètent des tonnes et des tonnes de matériel électronique chaque année. Et en conséquence, chaque année des tonnes et des tonnes de matériel sont déclarés obsolètes. Tout ce matériel (au moins la partie qui n’est plus secret défense) est donc vendu comme ferraille. Et la plupart finit dans l’endroit qui est le sujet de mon billet : un magasin de récupération de matériel électronique à proximité du LANL, le Los Alamos Sales Company, aussi connu comme The Black Hole (Le Trou Noir).

Pour quelqu’un qui s’intéresse à l’histoire de l’informatique et l’électronique, Los Alamos Sales Company est un vrai rêve. Les allées de l’énorme hangar, de la taille d’un petit centre commercial, sont remplis du sol au plafond de matériel électronique qui était à la pointe de la technologie il y a une vingtaine, une quarantaine ou une soixantaine d’années. Le patron de l’endroit est un ancien travailleur du LANL, Ed Grothus, qui a été remercié dans les années 60 après avoir participé dans une manifestation pacifiste. Après son limogeage, il a ouvret son magasin à proximité du laboratoire pour pouvoir continuer à vivre de sa passion, les instruments électroniques.

Même l’extérieur du hangar est bien rempli de matériel, ce que, combiné avec le paysage désertique du Nouveau Mexique, donne à endroit un aspect de film post-apocalyptique, style MadMax…

A l’intérieur, au détour d’une allé, on peut trouver même du matériel qui a été utilisé dans le Projet Manhattan, comme cet appareil photographique Marley construit en Anglaterre en 1944. Il était capable de prendre 10 000 images par secondes, et il était utilisé pour photographier en détail les premières explosions atomiques.

Les photos ont été pris par Dave Bullock, un geek passionné de l’électronique qui a y travaillé un été au Black Hole pendant ses études. Il a profité d’un voyage dans le coin pour rendre visite à Ed et photographier le Black Hole. Dans son blog, il commente et explique plein de photos, et il a mis encore plus de photos sur Flickr. De quoi perdre un bon moment à regarder chaque photo et à essayer de trouver à quoi ça pourrait servir ce matos dans le LANL…

Trouvé via Microsiervos./

Festival des ordinateurs vintage

07-11-2007 par Horacio Gonzalez

Vous vous souvenez que je vous ai parlé de comment lorsqu’on s’intéresse à quelque chose on le voit partout ? Bon, c’est encore arrivé…

Pas plus tard que lundi je vous racontais ma passion pour les vieux ordinateurs, et ce matin en lisant Microsiervos je suis tombé sur un article de Wired qui parle du Vintage Computer Festival.

IBM 026
Perforatrice de cartes IBM 026

Le Vintage Computer Festival est une rencontre international de passionnés des vieux ordinateurs, mais pas seulement ça. Il aspire aussi à être un évent qui montre aux non initiés ces machines qui ont fait partie de l’histoire de l’informatique. Les ordinateurs y présentés sont en parfait état de marche, propres et soignés comme le jour où ils ont été livrés.

Micro-ordinateur Sol-20
Micro-ordinateur Sol-20

Parmi les bijoux qu’on peut y voir il y a une IBM 026, avec laquelle on préparais les cartes perforées qui servaient pour stocker les programmes il y a quelques dizaines d’années, ou un Sol-20, un des prédécesseurs des ordinateurs personnels, avec son caractéristique boîtier en bois et acier bleu.

Bref, un site à ne pas manquer si, comme moi, vous appréciez voir des ordinateurs anciens…